Introduction
Études déjà proposée servira de grille de lecture de l’espace du décideur qui doit prendre des décisions adéquates, donc il doit y avoir une visibilité qui peut venir soit des SIG , soit de la perception des individus (selon le point de vue de chacun), mais toute fois il faudra que les stratégies de tous les acteurs convergent vers une même stratégie qui vise à atteindre l’intérêt général qui est l’objectif du développement ( rendre l’espace de vie agréable). Donc :
Peut-on trouver une typologie spatiale adéquate aux informations fournies par les TIG ?
Peut-on avoir la même vision des choses pour les modèles cognitifs et physiques ?
Avant tous on doit d’abord définir ce qu’est les SIG et les TIG :
Définition :
Les SIG : c’est l’ensemble des informations données par les satellites qui permettent de localiser les points forts et faibles des territoires géographiques, ils permettent d’être informé sur le territoire pour pouvoir ajuster les décisions suivant la réalité géographique, ils procurent plusieurs informations et permettent d’étudier chaque chose en détaille puis les jumeler, ils s’affranchissent de certaines limites cognitives. Les TIG ne sont rien d’autre que la représentation physique, qui diffère de la représentation cognitive considérée comme la notion des territoires déjà connus liés à des images perçues :
• L’Etat va améliorer cette perception dans le but de modéliser (première action volontaire pour localiser les individus comme il le souhaite)
• En suite c’est la population qui va changer l’aménagement du territoire
Les déterminants de processus de la représentation spatiale :
Ici les deux auteurs proposent neuf déterminants de perception qui différent selon le point où on se positionne. Nos activités et actions sont fortement liées à notre perception de l’espace
Les neufs déterminants sont :
• L’espace vectoriel ou matriciel : le premier est un espace plat, à deux dimensions et homogène (les couts de transport