Vivre sans se retenir
En 1550 un nouveau courant poétique vois le jour, c’est la pléiade. Ce courant né d’un groupe de sept poètes a pour but de renouveler la posée française de l’époque. Ce courant voue une admiration pour l’antiquité, les poètes veulent redonner à la langue française des chefs-d’œuvre dignes des Grecs et des Latins, en fessant appele au lyrisme, sentiment amoureux et à la mythologie. Pierre de Ronsard née en 1524, figure majeure de la littérature poétique de la Renaissance est un grand de ce courant littéraire. Qualifier comme le « prince des poètes et poète des princes » doit sa gloire à ses Odes. Il travaillera d’ailleurs sur ces livres toute sa vie, en les corrigeant et les complétant, tout au long de sa vie. Ronsard s’inspire du poète grec Pindare et le latin Horace, dans ces Odes il retient les sentiments épicuriens, le nécessiter de profiter de la vie ainsi que l’amour de la nature. Dans son poème « J’ai l’esprit tout ennuyé » il nous expose son point de vue d’un art de vivre épicurien au profit de l’étude savante. Dans cette analyse il va être exposé trois idées qui repause sur : les études savante, l’épicurisme et enfin le lien de tout à la mort.
Rien que à partir du titre Ronsard nous explique déjà le thèmes de son poème. Etant un homme de la haute il reçoit, pendant son enfance, une éducation digne de son rang. Et c’est pourquoi son poème traite de son éducation. « J’ai l’esprit tout ennuyer d’avoir trop étudié », ici il n’y a pas beaucoup d’explication a donné, il dit déjà tout. L’étude savante lui a pris bien trop de temps dans sa vie et il en a marre, ce qu’il souhaite c’est ne plus être ennuyé. Même si il ne dénigre pas les études au complet il affirme juste que trop étudier lui pèse au plus haut point. « Que nous sert d’étudier, sinon de nous ennuyer » avec la répétition qu’il fait sur l’ennuie on comprend bien que pour lui les études c’est fini. Il dit aussi ici qu’étudier autant n’est pas une n’nécessiter en soit. Être