Voyage au bout de la nuit, céline, céline
Tania meurt de la grippe. Le narrateur la suit alors dans son délire et tente de la …afficher plus de contenu…
"Il fallut deux chefs de gare pour la dissuader, lui faire comprendre que c'était bien trop tard"
cette phrase décrit les efforts déployés pour calmer Tania et la raisonner. Le choix des mots
"dissuader" et "faire comprendre" indique que Tania est dans un état d'émotion intense qui peut la conduire à des actes irrationnels. L'emploi du pronom "lui" met en évidence le fait que les deux chefs de gare ont affaire à une personne qui a perdu la raison.
"Dans l'état où elle s'était mise on ne pouvait songer à la quitter"
cette phrase montre que la détresse de Tania est telle que personne ne peut l'abandonner. Le choix des mots "état" et "mise" montre qu'elle est dans une situation de grande …afficher plus de contenu…
L'auteur utilise un champ lexical de la tromperie : "mensonges", "tentations", "canon" pour décrire comment les amoureux peuvent se raconter des histoires pour se rassurer mutuellement.
Cette phrase est construite en quatre parties, chacune commençant par un comparatif ("plus",
"plus", "plus", "plus alors"), qui insiste sur le caractère amplifié des mensonges en fonction de l'éloignement. Le ton est ici plus sérieux, voire fataliste, car il semble que l'auteur considère que ces mensonges font partie de la condition humaine.
"La vérité c'est pas mangeable", est une affirmation catégorique qui semble conclure la réflexion amorcée dans les phrases précédentes. Cette phrase est construite en utilisant une comparaison entre la vérité et un aliment ("mangeable"), ce qui crée une métaphore et renforce l'idée que