L'adolescent est il toujours révolté
Nous étudierons, dans un premier temps, la relation de l’Homme avec son idéal, dans un second, les sanctions qui en découlent et enfin le point de vu psychologique de l’aliénation qui suit.
L’Homme suit un transfert de sa vie par la foi. En effet, selon Henri de Lubac, l’humain suit le divin alors que c’est une réalité de l’individu par rapport à son désir d’humanité qu’il recherche. La foi permet une possibilité de grandeur de l’homme. Selon Freud, le marxisme est une conception du monde qui se veut différente de toutes les autres religions tout en adoptant des textes et des idéologies similaires de souffrances sur Terre avec un espoir de vie meilleur dans l’au-delà. Selon Karl Marx, la vie et la foi n’est pas un lien à double sens. En effet, ‘l’homme fait la religion mais la religion ne fait pas l’homme’. C’est un moyen de protester contre la misère réelle. Selon François Roustang, la comparaison de Freud entre l’armée et l’Eglise illustre ce lien. La foi donne le sens de l’existence humaine mais aussi une route à suivre. Donc le transfert de la condition humaine est conditionné par la foi.
Toute vie en communauté oblige un cadre régit par des sanctions.
Ces sanctions peuvent être subies ou inconscientes. Le champ lexical de la confrontation et de la misère est mit en avant. Par ailleurs, selon Karl Marx, la sanction de la religion ou du concept est la misère. Pour Freud et François Roustang, les sanctions reposent sur le non respect et entrave la cohésion de groupe. Par exemple, l’interdiction de critiquer l’esprit marxisme sous peine de châtiment pour crime. De plus, Freud met l’accent sur l’attente d’un monde meilleur après une vie de douleurs. C’est la condition sine qua none pour