L'identité sociale
Comme je l’ai mentionné ci-haut, sans identité sociale, on ne pourrait s’identifier à rien. Étant moi-même québécois, je m’identifie énormément à notre langue, notre culture et notre histoire.
D’abord, la langue. Évidemment, ce texte est un texte d’opinion individuel. En d’autres mots, quelqu’un d’un autre pays, d’une autre culture ou tout simplement d’un autre avis que la mienne ne s’identifierait pas aux mêmes choses que moi. En tant qu’habitant du seul territoire en Amérique qui parle français, je m’identifie énormément à la langue québécoise française. Si, par exemple, je parlais uniquement anglais ou espagnol : je ne me sentirais pas comme un Québécois à part entière puisque ma langue, un élément crucial à la vie sociale, ne serait pas la même que la majorité des autres Québécois. Notre langue et du même coup notre accent permet de nous identifier, mais permet également aux autres de nous identifier. Après tout, n’importe quel voyageur s’est déjà fait dire : « oh, you’re a canadian! » (en dehors du Canada les gens ne font pas la différence entre Québécois et Canadien) après avoir parlé. Ce trait particulier permet de nous distinguer des autres habitants dans le monde, mais aussi des autres canadiens. Sans la langue, comment pourrait-on s’identifier ? On ne serait rien de plus qu’un Canadien ou un Américain bien banal.
Ensuite, la langue, malgré son importance capitale, n’est pas tout. La culture est également