Académiques

Etats-Unis. II° Biographie du peintre Jean-Léon Gérôme, né à Vesoul en Haute-Saône le 11 mai 1824 et mort à Paris le 10 janvier 1904, est un peintre et sculpteur français membre de l'Académie des Beaux-Arts. C'était un emblème de la peinture académique du Second empire, il compose des scènes orientalistes, mythologiques, historiques ou religieuses. Il a réintroduit la polychromie dans la sculpture. Il se rend à Paris en 1841 et y devient l'élève de Paul Delaroche et le suit en Italie en 1844-1845

d'une création artistique liée à la représentation réaliste.S'il fallut trente ans pour que les yeux de leurs contemporains s'habituent à la peinture des impressionnistes, c'est bien parce que celle-ci remettait en cause des siècles de peinture académique et codifiée. Les peintres impressionnistes, tout en maintenant le lien avec la peinture du monde réel, se sont totalement affranchis du carcan du passé, par le libre choix des thèmes qu'ils abordaient pris dans la vie quotidienne de tout un chacun

académisme français) et forme un petit groupe composé de peintres marginaux néo-grecs. Avec l'aide de son professeur, il expose ses premières toiles qui remportent un vif succès. Il remporte d'ailleurs une médaille de troisième place avec une toile académique Jeunes Grecs faisant battre des coqs. Il fut également l’élève de Charles Gleyres (peintre néo-classique). En 1843, il effectue son premier voyage en Italie. Il va s'intéresser à la vie des hommes sous tous les aspects. Il adore la matière, les

lumineuses, se juxtaposent, composant à distance une vision instantanée et unique. Les impressionnistes libèrent la couleur du sujet, et annoncent la grande révolution de la peinture moderne et de l'art abstrait. Se démarquant radicalement de la peinture académique et des paysagistes classiques qui peignaient une nature irréelle et idéalisée, il ne s'agit plus, , de reproduire la nature, mais bien de représenter la perception des jeux de lumières. Une reconnaissance tardive : Au total, huit expositions

d'indépendance, ma destinée de peintre s'était ouverte. »  Monet rejoint l’atelier Gleyre en 1862 et y rencontre Renoir, Sisley et Bazille, qui formeront le noyau du groupe impressionniste. Sa volonté d’indépendance mêlée à sa critique de la peinture académique l’amènent à réaliser des œuvres novatrices, telles que les Falaises de Sainte-Adresse (1864), Camille (1866),Femmes cueillant des fleurs (1866), le Déjeuner sur l’Herbe (1866), La Pie (1868).  Monet et ses amis peignent en plein air, en région

plus vivement que lui. Il s'agit de l'expression s15[pic] du "homogène / hétérogène" Étapes de réalisation 1. "De la couleur avant toute chose", pourrait-on dire de Matisse. Dédaignant le clair-obscur qui faisait les délices de la peinture académique, il s'amuse à déstabiliser le spectateur en confondant volontairement les différents plans en les unifiant grâce à la couleur. De cette façon il aplatit l'image et tourne définitivement le dos à l'illusion de réalisme : la seule réalité qui compte

rapide. Ils centrent leurs recherchent sur l'expression de la lumière et de l'ombre. Les couleurs, claires et lumineuses, se juxtaposent sur la toile, et se recomposent à distance dans une vision instantanée. Se démarquant radicalement de la peinture académique, les impressionnistes libèrent la couleur du sujet, et annoncent la grande révolution de la peinture moderne et de l'art abstrait. Il ne s'agit plus de reproduire la nature, mais bien de représenter la perception. Cette évolution, visant à traduire

dans ce salon que des tableaux impressionnistes ont fait scandale. De 1874 jusqu’en 1886, il y a eu huit expositions de tableaux impressionnistes. Cet art a marqué la rupture de l’art moderne avec l’Académisme.Il remettait en cause une peinture académique codifiée. En choisissant des thèmes modernes , les peintres ont inventé une nouvelle technique visant à traduire les impressions instantanées et à reproduire les effets d’ombres colorées et de lumière, en plein air (peinture dite « sur le motif

l'école des Arts Décoratifs de Vienne, où il apprend le dessin classique, académique* et la décoration. Klimt devient un peintre décorateur célèbre, et on fait appel à lui pour décorer des murs et des plafonds. Son art est très ornementale, et marie la peinture avec l'architecture. Il se passionne pour tous les arts et s'intéresse au Symbolisme* et à l’Impressionnisme*. En 1897, il décide de laisser de coté la peinture académique et décorative pour créer la Sécession*. Il meurt le 6 février 1918

Jules Lefebvre sans oublier William Bouguereau ou Luis Ricardo Falero, se révèlent comme d'incontestables spécialistes de la représentation d'Académie, au sens noble du terme. Nu académique ou nu érotique ? Dérivé d'Eros, Dieu de l'Amour, l'érotisme peut se définir comme l'art de susciter le désir. Le nu académique, qu'il soit d'inspiration mythologique ou orientaliste, correspond bien à cette définition. De nombreuses peintures au XIXème siècle, en particulier celles figurant le corps nu de