Adoubement

contrat, le lien vassalique comporte des droits et devoirs réciproques. VASSAL | SEIGNEUR/SUZERAIN | -FIDELITE (serment de fidélité) ; - CONSEIL (participe au conseil) ; -ENGAGEMENT MILITAIRE ; -AIDE AUX 4 CAS (Mariage de la fille aînée, Adoubement fils aîné, départ en croisades, paiement des rançons. | INVESTITURE-> FIEF (un bien, une seigneurie, une terre que le vassal reçoit pour la durée de son engagement mais à partir du 10e siecle ça devient même héréditaire) PROTECTION et JUSTICE

par des châteaux forts. - Fief : Un bien, le plus souvent une terre confiée par un seigneur à un vassal qui dépend de lui. Le vassal bénéficie de son fief ; en échange, il doit à son seigneur fidélité, conseil et aide en cas de guerre. - Adoubement : Cérémonie d'entrée en chevalier organisée à la cour d'un seigneur. - Reliques : Ce qui reste du corps d'un saint ou d'un martyr conservé dans le but de vénération. - Contrat féodal : Gestes et paroles vus et entendus de tous

pouvait se montrer hostile dans cette position. Ce n'est que bien plus tard que l'accolade évoluera avec la chevalerie, passant d'une tape sur l'épaule à trois tapes. Ce salut fraternel des chevaliers entre pairs se faisait déganté et rappelait leur adoubement, lorsqu'ils avaient été touchés par trois fois par l'épée nue. Je n'ai pu retrouver l'origine de cette pratique, mais les premiers récits qui en parlent sont ceux de la Table Ronde et des Chevaliers Teutoniques. Les Templiers ajoutaient à cette

cours, vole ‘’. C’est l’épée (métonymie : ‘’ et ce fer, je le remets à ton bras ‘’) assure le lien entre la victime et le vengeur, c’est elle qui va ‘’laver ‘’ le sang de la famille déshonorée. Cette transmission de l’épée peut faire penser à un adoubement : c’est par elle, en recourant l’honneur perdu qu’il va devenir un héros tragique. Chimène à son tour ne peut concevoir une quelconque relation avec Rodrigue et veut sa mort par la justice. A la fois dure et sensible, elle aime l’assassin de

d’abords par nécessité économique puis par corporatisme. Le XIIème siècle fut sans doute l’âge d’or de la chevalerie. En effet, celle-ci se structurait comme une véritable classe sociale avec ses valeurs et son mode de vie. Au bas Moyen-Âge, les adoubements devinrent moins nombreux, de nouvelles tactiques furent mises au point et la cavalerie perdit de sa puissance avec l’arrivée de l’artillerie sur les champs de bataille comme peuvent le démontrer la bataille de Courtrai (1302) et de Crécy (1346)

économique. 2°) Les chevaliers : Les chevaliers étaient des combattants au service d’un seigneur. Ils recevaient dès leur enfance une formation sportive et militaire intense. A 18 ans, ils étaient faits chevaliers au cours d’une cérémonie appelée « adoubement ». Leur équipement était très coûteux. Ils étaient le bras armé du seigneur à la guerre, à la chasse et aux tournois. Ils devaient protéger les femmes et les orphelins. III/ L’Eglise au Moyen Age Presque tous les habitants de la France et

apprenaient le métier des armes en assistant le chevalier de différentes façons. Par exemple ils s'occupaient de ses chevaux et de son armure. Ces jeunes s'appelaient « écuyers ». En même temps ils apprenaient a monter et a se battre a cheval. Au début 'adoubement était une cérémonie laïque faite par les chevaliers pour que le jeune écuyer devienne un chevalier mais a pâtir de XIIIe siecle l'église a pris la parole des chevaliers et l'adoubement a devenu beaucoup plus élabore et importante. La veille de

II) L’ADOUBEMENT Le fils de chevalier accède lui-même à ce titre après une cérémonie appelée adoubement. Avant l’adoubement, vers l’âge de sept ans, il est placé chez un seigneur. Il y gravit tous les degrés de l'éducation qui vise à en faire un guerrier. Entre 17 et 21 ans, il passe l’adoubement, cérémonie de sacrement à laquelle de nombreux nobles assistent et qui marque le passage de l'état d'écuyer à celui de chevalier du roi. Agenouillé, le futur chevalier prête à haute voix le serment des

faire du bien. Il y a ensuite l’obligation "auxilium et consilium", d’aide et conseil. L’aide est militaire (Ost, sorte de service militaire, et Chevauchée, partir en campagne) et financière (dans quatre cas : demande de rançon, dot de la fille aînée, adoubement du fils aîné et départ en croisade). - La composante réelle, le fief : Institution de la récompense, le fief peut être de différentes natures, que ce soit foncière (don de terres), pécunière (bourse allouée, fonction donnée,...) ou potestative

-Juste en dessous théoriquement on trouve les seigneurs, qui sont en réalité bien plus puissants que le roi, possédant des territoires immenses comme l'Aquitaine. Donnent des conseils aux rois (concilium) et applique l'aide aux quatre cas (mariage, adoubement, prisonnier et croisade). Ils possèdent le pouvoir de ban sur leurs terres, c'est à dire le pouvoir public (impôts, justice, défense). -Les vassaux. Ils jurent fidélité à un seigneur via la cérémonie de l'hommage. Il obtient alors des droits et