Ahmadou Bamba

« voyage intérieur ». Puis le troisième et dernier niveau est celui de l'âme apaisée. ------------------------------------------------- Maitres soufis[modifier] Dans son ouvrage en vers "Les itinéraires du paradis" ("Masaalik al Jinan"), cheikh Ahmadou Bamba définit ainsi les soufis : 654. Le vrai sûfi est un savant, mettant réellement son savoir en pratique sans transgression d'aucune sorte 655. Il devient ainsi pur de tout défaut, le cœur plein de pensées justes 656. Détaché du grand monde pour

remarquable. Mais lui, à l’opposé du roi du Djoloff refuse de quitter son Cayor natal préférant affronter l’armée de Faidherbe malgré le déséquilibre des terreurs entre les deux troupes. Ce qui motive Lat-Dior, en dépit des conseils de Cheikh Ahmadou Bamba de ne pas combattre l’oppresseur, relève de son code d’honneur (« Je vais de ce pas à la rencontre des toubabs partis dans la nuit de Ndade pour venir m’expulser du Cayor »). Ainsi, pour le roi, il était hors de question de laisser des étrangers

ses Djihads. Dans ce contexte, Mohammed NIASS père d’El Hadji Abdoulaye quitta le Djolof pour le Saloum vers les années 1864. Naissance Mohammed NIASS vivait dans le village de BELLI avec son épouse Sokhna Khadidiatou THIAM. Leur premier fils Ahmadou, mourut dans sa tendre enfance. Deux ans après, vers 1845, El Hadji Abdoulaye NIASS vit le jour dans le village de BELLI. Il fut un jumeau qui naquit quelques jours après son frère jumeau décédé aussitôt après sa naissance. La venue au monde du premier

Dékhelé. En 1890, les Français s'attaquèrent au Diolof et chassèrent son roi, Alboury Ndiaye. Celui-ci apporta son soutien à Ahmadou, fils et successeur d'El-Hadj Omar, et poursuivit la lutte. D'autres grands noms, comme celui de Mamadou Lamine Dramé, s'ajoutent à la longue liste de ceux qui s'opposèrent héroïquement à la conquête française. Sous l'impulsion d'Amadou Bamba Mbacké, fondateur du mouridisme au XIXe siècle, et d'al-Hadj Malick Sy, de la confrérie tidjane, la résistance se fondait sur

ACADEMIE DE THIES Exposé de français LYCEE AHMADOU NDACK SECk Professeur surveillée, Mme FALL Classe TL2C Thème : ANTIGONE de Jean Anouilh -------------------------------------------------

avec bravoure le colonialisme français et anglais. L’Almamy Samory Touré met sur pied une armée solide. Il conquit des Etats dans le pays mandingue pour former l’empire du Bissandougou. En 1891 le général français Archinard qui a chassé de Ségou, Ahmadou, le fils de El Hadj Omar en 1890, attaque la ville de Kankan, l’une des principales villes du royaume. Samory résiste pendant quelques années avant de fuir vers Kong en Côte d’Ivoire. En 1895, il prit et détruisit la cité commerçante et musulmane

Alain Dr RAHIS Alain Adresse : Av. Cheikh A. Bamba Mbour B.P. 371 Tél : 33-957-13-84 Ville ou rue : Mbour Département ou localité : Mbour Région : Thiès Dr SOW Oumar Dr SOW Oumar Adresse : Carrefour du Relais- Mbour Tél : 33-957-29-00 Email : oumarb68@yahoo.fr Ville ou rue : Mbour Département ou localité : Mbour Région : Thiès MEDECINS GENERALISTES Dr ASSICE Michel Dr ASSICE Michel Adresse : Av. Cheikh T. Barro x Cheikh A. Bamba- MBOUR Tél : 33 957-11-56 Département ou localité

mouridisme : un aspirant à Dieu, Muridul-Allah en arabe), fondée et enseignée par Cheikh Ahmadou Bamba, est un ensemble de pratiques cultuelles et de règles de conduites : un soufisme basée sur l’amour et l’imitation du Prophète Muhammad et dont la finalité est le perfectionnement spirituel. Un mode de vie et un ensemble de croyances et de pratiques cultuelles qui tirent leurs origines du Prophète de l’Islam. Ahmadou Bamba (1850-1927) fût d’abord initié à la « Qadryya (une confrérie musulmane) » à st Louis

politique, affrontement public d'idéaux en décomposition. Cruauté, dignité, impulsivité de Fama. Contamination de l'énervement progressif ignoré par Fama, "enivré" par la colère. Deuxième provocation venant du peuple cette fois (un homme qui s'appelle Bamba) pour faire taire Fama. L'affrontement devient physique : témoignage de sa déchéance. Le prince répond aux provocations et se bat : il perd sa dignité. Puis retour soudain à la normale avec les excuses (on lui propose de l'argent). Il donne l'honneur

dramaturge composent souvent des œuvres baroques où désespoir, comique et découragement se mêlent (Le Pleurer rire d’Henri Lopes, La vie et demie de Sony Labou Tansi). Les écrivains abandonnent le réalisme et se livrent à un travail sur la forme : Ahmadou Kourouma est le premier avec Les Soleils des indépendances. A partir des années 80, on assiste à l’éclosion d’un genre nouveau pour la littérature africaine, le roman policier (Achille Ngoye). En même temps une littérature jeunesse commence à se