Albert de Mun

des États-Unis de 1977 à 1981, se trouve à la tête de l’État au moment où la répercussion de la crise atteint le plus durement le pays. Michel Albert, économiste français, auteur du Pari français, livre à grand succès dans les années 1960, explique ici les causes du revirement de la politique économique du président américain. Le texte de Michel Albert décrit la volte-face de la politique économique de Carter. Il avait inauguré son mandat par une politique économique résolument keynésienne afin

Caillaux. « Caillaux entre, écrit Jean-Denis Bredin. Il est en redingote, et bien sûr, il porte monocle. Il a un peu vieilli. Il est amaigri. […] Il traverse lentement la salle, parmi les sénateurs qui le regardent. Quelquesuns s’inclinent. M. François Albert ose lui serrer la main 26. Il s’assied, au pied de la tribune, devant ses avocats (Demange, assisté de MoroGiafferi 27 et Marius Moutet). Ici même, ministre des Finances, président du Conseil, il est si souvent venu pour défendre les intérêts de l’État

(qui était un di­ plomatique pied de nez à la Corée du Nord), le président chinois Xi Jinping a souligné que la Chine et la Corée avaient pareillement souffert de l’impérialisme nippon au siècle dernier. Pour exhorter Séoul à faire front com­ mun avec Pékin contre Tokyo, à l’heure où Chinois et Ja­ ponais se disputent des miettes de rochers en mer de Chine orientale, M. Xi n’a pas hésité à remonter plus loin encore dans le temps pour rappeler qu’à la fin des an­ nées 1500, la dynastie des

vérité crue et essentielle donne à voir une possible réconciliation avec le xéel et ce, par la médiation du beau artistique. 97 Ibid.,p. 26. '* Cf. L *aventure,pp. 305-325.Et François Leger, op. ciî.,p. 256. 99 Testament philosophique, p- 297. Albert Camus cité dans Jacques Truchet, La tragédie classique en France, Paris, PUF, 1 9 7 5 , q . 181. Cette citation de Camus renvoie parfaitement à l'idée de Hegel. 101 Marie-Andrée Ricard, op. cit., p. 45. 100 13.2 Le monde tragique chez Nietzsche

retrouver toutes les émissions sur le site de la chaîne : www.clermont1ere.com ASSOCIATIONS ■ Les Amis du Vieux Clermont Aujourd’hui, dimanche 11 avril, à partir de 10 heures, au centre associatif Jean­Richepin, rue Jean­Richepin, à Clermont, Albert et Monique Pinto présenteront une approche sur « L’art roman et nous ». Entrée libre. ■ Homme d’un vaste mon­ de, l’écrivain a mené une vie d’errance qui a nourri son œuvre. Sa vie et ses écrits témoignent d’un es­ prit cosmopolite et enga­ gé

le général MacArthur envisage d’employer l’arme atomique pour faire reculer les Chinois - par crainte d’une troisième guerre mondiale, des pourparlers s’engagent qui n’aboutissent qu’en juillet 1953, après la mort de Staline, à l’armistice de Pam Mun Jom. B – Le raidissement des blocs (1950-1952) - la guerre de Corée provoque une véritable psychose anticommuniste aux Etats-Unis - « chasse aux sorcières » de MarcCarthy -recherche d’alliances avec tous les pays qui se sentent menacés par le

britannique La particularité du Royaume-Uni est évidemment d’être une île. Il en résulte qu’en sus des thèmes généraux qu’ils développent au même titre que les autres mercantilistes européens, les mercantilistes britanniques (les plus célèbres sont Thomas Mun, Discours sur le commerce anglais aux Indes orientales, 1621 ; Josiah Child , Brèves Observations concernant le commerce et l’intérêt de l’argent, 1688 ; John Locke , Considérations sur l’intérêt et la valeur de la monnaie, 1691) vont insister sur l’importance

britannique La particularité du Royaume-Uni est évidemment d’être une île. Il en résulte qu’en sus des thèmes généraux qu’ils développent au même titre que les autres mercantilistes européens, les mercantilistes britanniques (les plus célèbres sont Thomas Mun, Discours sur le commerce anglais aux Indes orientales, 1621 ; Josiah Child , Brèves Observations concernant le commerce et l’intérêt de l’argent, 1688 ; John Locke , Considérations sur l’intérêt et la valeur de la monnaie, 1691) vont insister sur

couchait tard, fréquentant les théâtres avec assiduité. Il était servi par une vieille femme en haillons, dînait à la gargote et vivait sans maî-tresse. Ses connaissances, ramassées pêle-mêle, ren-daient ses paradoxes amusants. Sa haine contre le com-mun et le bourgeois débordait en sarcasmes d’un lyris-me superbe, et il avait pour les maîtres une telle reli-gion, qu’elle le montait presque jusqu’à eux. Mais pourquoi ne parlait-il jamais de Mme Arnoux ? Quant à son mari, tantôt il l’appelait un bon

panislamisme (qui valorise l’unité de la communauté musulmane), y était égale­ ment très présente. Cette littérature appelait à unir les Arabes pour lutter contre l’Empire ottoman comme les Arabes mènent aujourd’hui leur révolte dans un rassemblement com­ mun (que la presse qualifie de « Printemps arabe ») contre les régimes autoritaires. Au XIXe siècle, le mouvement littéraire prenait ainsi la forme d’un nationalisme culturel, d’une révolution contre les tentatives panislamiques de l’Empire ottoman qui