Allan Kardec

différentes auteurs  qui parlent du spiritisme, l’un des les principales sont «Le livre ses Esprits par Allan Kardec «  cette ouvrage est du XIX  siècle le livre introduit la doctrine spirite, répond des questions sur la nature de la vie et de la mort pour enseignement donnes par des Esprits supérieurs.  « Le livre des mediums « l’évangile selon   Le  spiritisme «   sont ouvres aussi de Allain Kardec. Il est important  de dire que  la philosophie du spiritisme est aussi base sur la lecture donc des milliers

monde matérielle avec les esprits. Selon Allan Kardec, le spiritisme est fondé sur l’existence, les manifestations et l’enseignement des esprits, possédant des lois morales et reposant sur une échelle spirite. Ce courant de pensée estime que les médiums peuvent communiquer avec les défunts, par l’utilisation d’une énergie appelée périsprit. C’est grâce à une série progressive de phénomène que cette doctrine a pu voir le jour.  Portrait d’Allan Kardec. Les premières manifestations furent

L'AVENIR DE L'HUMANITE Selon l'enseignement donné par les Esprits supérieurs à l'aide de dioers médiums RECUEILLIS ET MIS EN ORDRE PAR ALLAN KARDEC Pseudonyme de H.-L. RIVAIL Bachelier ès lettres et ès sciences, Docteur en médecine - Linguiste distingué - Auteur pédagogique. PREMIERE EDITION EN 1857 EDITIONS DE L'UNION SPIRITE KARDECISTE BELGE 1954 ALLAN KARDEC ______________ H.-L. RIVAIL est né à Lyon en 1804. On aurait cru que comme tous les membres de sa famille, il serait entré au barreau

d’aujourd’hui qui sont moins primitifs et plus riches en anxiété due à la vie modernisée. Les progrès en neurosciences et notamment en imagerie cérébrale poussent les réflexions et les recherches encore plus loin en science cognitive. En effet, en 1973, Allan Hobson et Robert McCarley (Harvard Medical School) défendent l’idée que le rêve serait des stimulations électriques cérébrales aléatoires présentées sous formes d’images au cerveau. Et celui-ci réorganiserait ces données afin d’établir une signification

1960/2010 : ce livre entend décrire et éclairer un demi-siècle dont on postule qu’il a vu, au plan mondial, des transformations profondes des pratiques artistiques et des rapports que les contemporains peuvent entretenir avec les formes de création qui leurs sont contemporaines. Il est aisé de mesurer l’étendue des changements si l’on songe que vers 1960, peu de temps après la mort de Matisse et Léger et alors que Picasso, Braque, Ernst, Miró, Dalí ou Villon sont encore actifs, l’art paraît dominé

1872, des élections générales ont lieu. Le premier ministre John A. Macdonald, également chef du parti conservateur a besoin d’argent pour sa campagne. Sir Hugh Allan, un promoteur, leur offre de l’argent. Il espère que grâce à son don, il pourra obtenir le contrat de construction du futur chemin de fer. Macdonald remporte les élections et Allan obtient comme il le souhaitait le contrat. Cependant, il se fait accorder le contrat à la condition qu’il se débarrasse du contrôle américain exercé sur son

officiellement reconnu comme professeur (pendant 10 ans). C'est en 1960 que son intêret pour la proto-pop renaît, due à l'influence d'un certain Allan Kaprow, un autre enseignant et c'est a parti de cette année qu'il devint connu pour ses dessins. Melheureusement il contracte une pneumonie en 1997 et en meurt à New York. Grâce à l'influence de l'enseignant Allan Kaprow, il commence a faire des tableaux pop, reprennant ainsi les dessins animés et employant une technique inspiré par l'aspect des publicités

musique- et accède à un statut hybride lorsqu’elle se déplace dans le monde des arts-plastiques et visuels. Pour expliquer l’engouement de cette pratique artistique, il faut remonter jusqu’au précurseurs qui ont eu l’idée de lié l’art avec la vie. Allan Kaprow est un des premiers artistes à proposer des installations. Avec Transfer, son premier happening en 1968, une quinzaine de personne et lui-même transportent en des points variés vingt barils ayant contenu de l’huile avant de les ramener à leur

projets associant diverses formes d’expressions artistiques, c’est l’heure de l’association et de l’hybridation des techniques et des méthodes. Du Junk Art (mouvement post dadaïste) dans les années 1950 (Dine, Rauschenberg) aux premiers Happenings de Allan Kaprow, une véritable refonte des valeurs traditionnelles de l’art va s’opérer. On assiste alors à une remise en question des matériaux d’usage de la sculpture traditionnelle. Le carton et le métal, les objets trouvés et recyclés étaient déjà entrés

l´analyse d’autres ouvres telle que celle de Valie Export avec l’extension de la réalité du cinéma. Delpeux réexamine donc l’un des chapitres obligés de l’historiographie de cet art qui engage le corps, en expliquant comme Hans Namuth va permettre à Allan kaprow, père du Happening, de voir Jackson Pollock comme un artiste incitant à redécouvrir le corps et son expérience immédiate pour ensuite créer l’ expérience du happening. Sophie Delpeux, renforce cette intention photographique et cite Rosalind