Ambiguïté

elles revendiquent la position de Bérenger « je en capitule pas » l.29. C’est un renversement ultime de la situation qui renvoie les rhinocéros à leur monstruosité. Dans le sens de la pièce, c’est un rejet de l’idéologie dominante. III.B) Il y a ambiguïté dans la mesure où il n’y a pas d’explications explicites. L’exclamation « tant pis » l.26 laisse penser que la capitulation n’est pas un choix ou une volonté mais une résignation. Cette fin est ouverte : Ionesco ne se prononce pas, il ne fait pas

alexandrins – vers à 5 syllabes, combinance vers pairs et impairs Six rimes : les 2 premières strophes ont une rime en commun en – oile, rimes croisées sauf les 2 dernières qui sont plates, alternance rime féminine – rime masculine (originalité) Ambiguïté du sens de « mer » (vers 1 et vers 13) Trois phrases seulement, dont 2 exclamatives. Elles se complètent en s’opposant : la 2e phrase est une gradation ascendante dans la longueur des éléments de la phrase : 3 vers – 4 vers – 4 vers ½. Gradation

Rappel sur les critères de validation d’un argument : Un argument porteur est une idée qui vient à l’appui d’une thèse, celui-ci devra être prouvé dans un paragraphe. Un argument porteur se formule en une phrase claire, ne comportant aucune ambiguïté tant sur le plan syntaxique que sur le plan sémantique. Un argument porteur se formule en une phrase généralement concise. a. Nous Français avons la chance de voter, de donner notre opinion car pour l’avenir, toute la vie politique de notre

son comportement et à relever ces paroles. Cependant le lyrisme et la poésie trouvent une place dans le roman (Avec Marie, où à la fin quand il sait qu'il va mourir (Beauté dans ses mots)). 3°) Un roman ambigu dans ces significations    A- Ambiguïté du héros    Diverses interprétations sont possibles, Meursault est peut-être un héros absurde dont la vie traduit le non-sens de l'existence : Il vit dans l'inertie, séparé de lui-même, égaré au milieu de la société. Enfin Meursault est intégré

colère revient. : « Ah, je vous jure » ; « recommence » ; « recommence, je te dis » Ainsi le lecteur éprouve un sentiment de tension, presque d'étouffement dans cette chambre, auprès de ce professeur de piano rigide, exaspéré et inefficace. b) ambiguïté de l'attitude de la mère Anne, la mère apparaît comme un personnage contradictoire face à l'attitude de son fils, elle a deux réactions opposées : – parfois, elle semble comprendre le désespoir du professeur de piano « sa tête se pencha un peu de

de DJ récusent le caractère surnaturel des manifestations. Il feint de croire qu’il est victime d’un subterfuge. Veut pratiquer son esprit de libre examen (« je veux voir »), il passe tout au crible de la logique. À la fin il affirme sans aucune ambiguïté, dans dernière réplique scène 5, avec orgueil, qu’il y a peu être quelque chose mais qu’il refuse de se repentir. I b – DJ ne manque pas de courage il agit face à toutes ces manifestations effrayantes comme un chevalier du Moyen-âge, il

ambigu car répète à cinq reprises « mes gages » = peine peut être simplement matérielle comique de répétition « mes gages » trivial = fini avec une phrase terre à terre Sganarelle apparaît comme ridicule face à DJ qui est déterminé et sur de lui B. Ambiguïté du châtiment est-il puni pour son impiété ou pour son côté libertin (pensée) criminel, débauché, impie = puni, est foudroyé du châtiment divin, la morale est sauve = retour à l'ordre social et moral traditionnel : « Ciel offensé, lois violées, filles

rapport à ses fonctions dramaturgiques traditionnelles). Le spectateur comprendra-t-il enfin le personnage de Bérenger? * Un moment de crise, de paroxysme : rôle des objets dans la mise en œuvre de l’intensité dramatique de la scène? * Ambiguïté généralisée de la scène, celle du héros comme celle de la mise en scène telle qu’elle est exigée par Ionesco dans les didascalies. Problématique : Pourquoi, au dénouement, un monologue au message aussi brouillé? Dénouement d’une pièce du théâtre

termes.” L’esprit du contrat l’emporte sur la lettre. La volonté l’emporte sur l’écrit. Consécration de la toute puissance de la volonté. Cet article pose les bases de l’interprétation subjective du contrat, invitant le juge à rechercher, au-delà des ambiguïtés et des termes écrits de la convention, la véritable volonté des parties. Ainsi, dans son travail d’interprétation, le juge ne doit pas imposer sa vision du contrat mais au contraire restituer à la convention le sens que les contractants avaient

alexandrins – vers à 5 syllabes, combinance vers pairs et impairs Six rimes : les 2 premières strophes ont une rime en commun en – oile, rimes croisées sauf les 2 dernières qui sont plates, alternance rime féminine – rime masculine (originalité) Ambiguïté du sens de « mer » (vers 1 et vers 13) Trois phrases seulement, dont 2 exclamatives. Elles se complètent en s’opposant : la 2e phrase est une gradation ascendante dans la longueur des éléments de la phrase : 3 vers – 4 vers – 4 vers ½. Gradation