Ambiguïté

particulièrement dans le domaine mathématique, puisque l'esprit y définit ses objets en même temps que les règles de leur emploi,* de façon plus générale par la rationalité scientifique, qui suppose la définition d'un vocabulaire débarrassé de toute ambiguïté, et des règles de formation des énoncés qui sont pratiquées par tous les membres de la communauté scientifique.- Toutefois, il n'est jamais absolument garanti que les discours scientifiques eux-mêmes soient totalement débarrassés d'implications passionnelles

eux, servent d'échos à Lorenzo, dont ils représentent chacun une parcelle, et ils sont déchirés, selon le même symbolisme, entre l'ombre et la lumière. C'est ainsi que le texte de théâtre représente les pensées et les actes des hommes, dans leur ambiguïté et dans leur complexité. 3.1.2. Des personnages entre ombre et lumière Les personnages, nous l'avons vu, représentent des parts d'ombre ou de lumière de Lorenzo. Cependant, ils ne sont pas seulement cela, et ils englobent l'ambiguïté de l'homme

procès (Pierre a assassiné quelqu’un) ou à l’objet de ce procès (quelqu’un a assassiné Pierre) : c’est l’une des ambiguïtés possibles du possessif. c) Ambiguïtés : 1.Marie a fêté avec Louis son anniversaire deux interpétations possibles : l’anniversaire de Marie l’anniversaire de Louis Pour lever cette ambiguïté on recourt soit à un renforcement à l’aide de à + pr. pers. non-clitique : son anniversaire à elle (=Marie)

rythme ternaire du mot tout «  son œil semblait aller au fond de… » ce qui met en évidence son côté divine. Cette figure mythique est peux rassurante ce qu’il explique derrière à ces éléments mythiques il y a du mystère caché et a une certaine ambiguïté. Ensuite à partir de la figure employé dans les caractéristiques physiques de M Vautrin « poils touffus d’un roux ardent » par leur symbolique diabolique, apportent un supplément d’inquiétude et d’interrogation du personnage. Nous pouvons constater

durassienne ? – Montrer que cet incipit véhicule une critique des codes (de la bourgeoisie et romanesques).  AXES   I.    Intensité dramatique de cet incipit/ Caractéristiques de cet incipit/spécificité…   a) tension enfant/prof b) ambiguité de l’attitude de la mère c) le cri, aboutissement de la tension II. une opposition symbolique entre extérieur et intérieur a) Les marques du monde ext/int b) rapports de l’enfant avec le monde exterieur c) Rejet du piano et rejet du monde figé bourgeois

ses yeux, suite à sa colère (cf. l'étonnement de la cousine quand il lui annonce où il a dormi). Est-ce que la demeure était fermée à tout chevalier? Ou alors le château apparaît-il à certains moments? Chrétien prend bien soin de maintenir cette ambiguïté... Il devient très difficile, voire impossible de savoir si le château naît vraiment devant les yeux de Perceval, ou si Perceval avait mal regardé la première fois (on a le point de vue du personnage). Ensuite, l'étonnement du roi Pêcheur et

histoire, qui a pour fondement une révélation, par exemple un texte dicté par Dieu à un chef religieux. Ce texte comporte une morale, des lois dictant un comportement, mêlant souvent la confiance et la crainte en une puissance surnaturelle. 2) AMBIGUITE ENTRE LA CRAINTE ET LA CONFIANCE Cette attitude est fondée sur la distinction entre profane et sacré. Le profane n'est défini que par opposition au sacré. Le sacré exprime une puissance relevant d'un ordre supérieur, donnant sa signification à

de docteur à la leçon de physique Leçon inadapté car elle est donnée à la femme de chambre Locuteur détourne l’énoncé, joue avec l’énoncé Femme de chambre : « petite brune très jolie et très docile », ce qui n’a rien à voir avec la leçon Une ambiguïté C’est une expérience ambiguë Champ lexical de la pédagogie employé à contre sens (« raison suffisante du docteur », …) Pourrait être pris pour une leçon de science-physique mais libertinage Pangloss utilise ce précepte pour abuser de la femme

de changer de chapitre. Il y a aussi ce même changement dans le récit quand Mrs C. passe à un autre moment des vingt-quatre heures.         Tout au long du récit se développent deux passions, tout d’abord celle du jeu puis celle de l’amour. Des ambiguïtés naissent entre les deux personnages, tantôt Mrs C. est la mère (quand elle sauve le jeune homme de la noyade), tantôt l’amante/une femme/l’amie (lors de la promenade en « voiture »). Ses sentiments sont confus, et elle est elle-même perdue. En ce

et celui-ci n'est d'ailleurs sûrement pas son véritable père. Son géniteur serait un anonyme, qui se serait séparé de sa mère lorsque Roman Kacew était encore petit... La difficulté identitaire de l'auteur Gary provient donc notamment de cette ambiguïté.