Ambivalence

met en garde contre la séduction des orateurs les plus habiles, que ce soient les hommes politiques opportunistes ou les sophistes. Ces inquiétudes se retrouvent aujourd’hui. Les succès de la communication sont, par exemple, ambivalents. D’une ambivalence que dénonçait déjà Platon. Conclusion : Cela nous permet de mesurer l’enjeu du débat : C’est le langage tout entier, dans sa fonction essentielle (l’accompagnement de l’humanité par le dialogue et par la pensée) qui pourrait, dans ces questions

trismégiste » (ici encore, les rimes renforcent ces antithèses). « trismégiste »: « trois fois grand ». Adjectif qui sert habituellement à qualifier le dieu Hermès, inventeur de l’écriture (+ hermétisme). C’est le Dieu des voleurs et des orateurs: ambivalence sur la figure du poète. Fausse rime: poète charlatan. Réflexion sur l’illusion de l’ « art poétique ». Apollinaire, Alcools « Crépuscule »

La Fontaine refuse les «vains ornements»/refus des excès, cible la Préciosité Esthétique double /esthétique de l'ornement = le Baroque Intention d'épurer bien qu'il faille bannir certains traits délicats/ Ambivalence de La Fontaine. Complexité des fables avec éloge de la simplicité tempéré par le goût du Baroque. Il annonce dans la dédicace ce qu'il va mettre en place. La fable est l'application de ses choix. Il reste des traces d'une appartenance a l'esthétique

élevée    - conditions de travail difficile   - publicité incitative      - Grande accessibilité   - Milieu exerçant des pressions      - Nombreuses occasions de consommer   EFFETS NEFASTES SUR L'INDIVIDU - faible estime de soi    - Ambivalence    - Repli sur soi   - Difficulté d’affirmation  - Isolement, solitude    - Attitude de rébellion   - Lacune au niveau de la communication   - Attitude de rébellion  - Lacune au niveau de la communication   - Peu de résistance au stress

symbolique s’il y a lieu). b) En posant ces deux extrêmes, l’auteur attire l’attention du lecteur (voir le texte, mais cela ira souvent dans un aspect d’intensité, puisque deux position extrêmes sont posée - la force d’un sentiment, l’ampleur d’une ambivalence, etc.) 9. a) Cette question est en fait une question rhétorique, puisque (expliquer en quoi c’est une fausse question, ou une question biaisée). b) Celle-ci permet (d’orienter la réponse ; de forcer à envisager ; d’exprimer de la colère/frustration/panique

donnant l’initiative de la parole à un narrateur protagoniste, Toundi qui raconte sa propre histoire, il donne à son œuvre des allures autobiographiques qui confondent le point de vue du narrateur à l’histoire racontée. On note à ce propos une ambivalence entre le romancier lucide et neutre et son personnage narrateur complètement immergé dans son propre récit. 6.      La signification de l’œuvre Il faut noter la portée didactique de l’œuvre, notamment les leçons que tout lecteur pourrait tirer

illogique avec des changements de sujet, le patient saute du « coq à l’âne »… * Au niveau du langage avec la formation de mot inventé (néologisme) pouvant aller jusqu’au néolangage. * Au niveau des affects, il peut y avoir un vide ou bien une ambivalence. * Au niveau comportemental, on peut retrouver de la bizarrerie, des stéréotypies, voir un syndrome catatonique. LES FORMES CLINIQUES Étant donné que la schizophrénie peut se manifester par toute une gamme de symptômes, la maladie est classée

double poltron, fils de catin ». Enfin, le cardinal qui est le seul à dénoncer ce théâtre dans le théâtre : « vous croyez à cela ? » « c’est bien fort, c’est bien fort ». Conclusion Cette scène complète le portrait de Lorenzaccio. Ambivalence de ce portrait présente dans l’injure même qui lui est adressée « double poltron » : Soit du côté du personnage dangereux : débauché, susceptible de trahir le duc. Soit du côté de la fragilité, de la féminité, de l’ombre et fidèle au duc.

figuratif et art abstrait. Il y a là comme une mise en abîme de l'acte pictural de la représentation. Le fait qu'il soit à l'envers oblige à considérer la qualité d'artefact de toute peinture, sa volonté de ressembler au réel mais sans en être. Cette ambivalence de l'art de Baselitz se retrouve aussi dans la structure de ces coups de pinceaux. Ceux-ci sont le fait d'un geste furtif, discontinu, et récurrent qui a pour effet de présenter des figures en instance de désintégration, en instance d'abstraction

peut commencer quelque chose de nouveau. Si la journée d’hier a été catastrophique, celle de demain sera peut-être meilleure. Pour l’insomniaque, il y a ce continuum de lucidité qui est terriblement éprouvant et qui ruine toutes les illusions. Ambivalence de l’insomnie : malédiction et sentiment d’élection (appartenance à une catégorie d’esprits détrompés  isolement de l’humanité). Il faut refuser toute collaboration avec le monde et la lumière. L’humour est une aussi une forme de destruction et