Analyse Du Conte Raiponce

LE CA, LE MOI, LE SURMOI DANS LE CONTE DE GRIMM RAIPONCE Christophe PERROT Université Paris 8 Département Psychanalyse LE CA, LE MOI, LE SURMOI DANS LE CONTE DE GRIMM : RAIPONCE Riches et intemporels, les contes merveilleux procurent l’occasion de les revisiter au travers de l’analyse qui peut en être faite. Leur étude nous permet alors de déceler la manière dont ils font écho auprès des instances psychiques de chacun d’entre nous. C’est ainsi que dans la plupart d’entre eux il

6 Introduction Il était une fois, des histoires racontées, le soir au coin du feu pour divertir ou faire endormir les enfants. Ces histoires permettaient de faire entrer les enfants dans un monde féerique et merveilleux. Le conte est un objet universel qui est omniprésent dans toutes les cultures du monde. Depuis la nuit des temps, les gens n’ont cessé de se transmettre ces récits oralement. Les contes sont en effet des récits très anciens et très répandus à travers

et couleurs que les originales. Description : Raiponce : La scène se déroule dans une chambre d’hôpital, car on peut voir un lit d’hôpital et l’appareil de perfusion. Les murs sont blancs et le sol est bleu, se sont des couleurs pâles. Il n’y a pas de fenêtre. On reconnaît Raiponce car elle est assise sur le lit à côté d’une perruque de longs cheveux blonds. Elle est chauve. Elle porte une robe noire, rouge et blanche et est pieds nus. Raiponce est malade car elle est à l’hôpital, est chauve et

Conte et maîtrise de la langue Compte- rendu de la conférence Anne Popet « Dire le conte, c’est constituer le groupe autour de la parole du maître, choisir de mettre en Jeu une pédagogie de la langue qui dépasse le champ de l’utilitarisme immédiat, mais aussi Promouvoir la fonction de l’imaginaire ». Sylvie Loiseau Plan de la conférence „ -Ce que disent les contes „ -Le conte et la tradition orale „ -Le répertoire à transmettre „ -La réception du conte „ -Structuration

Fiche pédagogique - Contes de Sorcières - Page 7 — Z27481SORC — Rev 18.02 DE L’ANTIQUITE´ A` NOS JOURS Le conte merveilleux ANTHOLOGIE Contes de sorcières (ISBN : 9782081212848 – 3,20 €) I. Comment étudier Contes de sorcières en classe de Sixième ? L’anthologie Contes de sorcières a été élaborée pour une étude en classe de Sixième dans le cadre d’une séquence d’apprentissage sur le conte merveilleux. Cette démarche pédagogique a conditionné la conception même de l’ouvrage, puisque nous avons privilégié

Silly Symphonies. Quelques histoires sont originales cependant la plupart sont des réécritures. En effet, les contes Disney sont souvent des réadaptations de contes originaux (Le Vilain Petit Canard des Silly Symphonies, 1933. Réadaptation d’un conte d’Andersen, 1842). Aussi, durant cette période, les studios Disney se lancent dans les longs-métrages d’animations (Blanche-Neige et les Sept Nains, 1937, premier long-métrage de Disney). Cette décision est très ambitieuse car elle est très couteuse

b) Origines La littérature ne sait pas qui a inventé le premier conte de fée mais on sait en revanche que Charles PERRAULT a été le premier à les transcrire. Il le faisait dans le but d’amuser la cour du Roi au XVIIème Siècles. Les contes de fées prennent leurs sources à l’époque du Moyen- Age et nos ancêtres les racontaient autour du feu. Cette littérature était au départ destinée aux adultes. c) Buts Educatif : Le conte de fée offre accès à la prise en compte de soi et des autres ainsi

est limité, moindre que celle de son client. Il n’est pas là pour mettre en œuvre des méthodes ou des outils qui ont fait leu preuve ailleurs ni pour préconiser une manière d’être ou d’agir mais pour emmener le coaché a Co-construire avec lui les raiponces qui lut conviennent, il agit moins comme un donneur de leçons que comme un révélateur de sens. Il y a quatre formes de coaching, il y a le coaching de vie, c’est une relation individuelle, une collaboration qui fait jaillir des expériences transformatrices

rapport à Gauvain et le Chevalier Vert ; la principale source d’imagerie étant l’illustration elle-même, la sobriété de l’album (la mise en page du texte justifiée et espacée, le fond blanc des pages…) laisse penser que les auteurs ont pris le parti du conte, du mythe, plutôt que de celui de l’exotique Moyen Âge pour enfants. Il y a toutefois un travail sur la typographie : d’une part, celle-ci n’est ni trop sobre (il s’agit d’une serif), ni trop complexe (elle reste lisible et relativement standard) ;

ogresse cherchant un enfant à dévorer, finissant par en trouver un chez elle, le mangeant, et se désespérant ensuite de l’avoir fait, cherchant alors « un enfant à aimer ». Mais, à y regarder de plus près, cette histoire de surface n’est peut-être qu’un conte, au sens de « récit mensonger » (Petit Larousse) car si le texte commence par « Il était une fois », il s’achève ainsi : « Les mots sont confondants », autrement dit, déconcertants. Et bien d’autres indices incitent à chercher d’autres sens, plus symboliques