Anastasie De Restaud

une parente éloignée, une cousine de Rastignac, qui prend celui-ci sous sa protection et décide de se charger de son éducation mondaine. Elle comble le vide avec le marquis d’Ajuda Pinto b. Mme Anastasie Restaud (Voir p.46) Elle est l’autre fille du père Goriot, l'aînée. Elle était mariée au Comte de Restaud. Elle a deux enfants adultérins Son amour absolu pour son amant, Maximes de Trailles la conduira à sa perte ; car à cause de lui, elle se compromet dans des dettes qu’elle ne peut honorer et cause

cousine, Mme de Beauséant, qui peut le faire entrer dans la haute société, lui livre. Le bonhomme a pour filles deux des femmes les plus brillantes de la société parisienne, richement mariées et mêlées à des intrigues de toute sorte : Anastasie, comtesse de Restaud ; Delphine, baronne de Nucingen. Leur père, veuf de bonne heure, leur a voué un amour exclusif, aveugle, est animé à leur égard d'une passion paternelle exagérée ; « martyr de la paternité », il s'est dépouillé peu à peu de ses biens en

des déités parisiennes » = femmes « une de ses femmes que doit adorer tout d’abord un jeune homme » -> jeune va passer par une femme pour approcher les choses de l’amour -> étape obligatoire -> divinisation de l’amour et de la femme Comtesse Anastasie De Restaud (Re) : « Grande et bien faite » -> critère propre à l’esthétique de l’époque « passait pour avoir l'une des plus jolie taille de Paris » -> tour de taille = corset serré (du 16e au 19e s.) = élément en cuir + métal = mutilation des organes

etudes-litteraires.com/pere-goriot.php Les déboires financiers des deux filles du Père Goriot resurgissent avec plus d'acuité. Le baron de Nucingen indique à sa femme qu'il lui est impossible de lui rendre sa fortune sans que leur couple ne soit ruiné. Quant à Anastasie, elle ne parvient plus à rembourser les dettes causées par son amant, Maxime de Trailles et se voit dans l'obligation de mettre en vente les diamants de la famille. A l'annonce de cette double déroute financière, le père Goriot est victime d'un grave

-Eugène de Rastignac : Jeune homme, teint blanc, cheveux noir, yeux bleu, beau Grenier à étendre le linge et deux mansardes où loge Christophe un garçon de peine et Sylvie la cuisinière) -Horace Bianchon : étudiant médecine, ami de Rastignac. -Anastasie de Restaud : comtesse ravissante, divine, furieusement belle, une des plus jolies femmes de Paris, jolie fille, grande, bien faite, brune, cheveux noir, œil vif, grands yeux noirs, formes pleines et rondes, -Delphine de Nucingen : blonde, mince de taille

Les calomnies émergent de tous les sens dans la Maison-Vauquer. Selon elles, le père Goriot soustrairait de l’argent à ces femmes qu’il prétend être ses filles en échange de quelques services inappropriés de leur part. Eugène reconnait en Anastasie de Restaud et Delphine de Nucingen ces deux femmes. Il ira voir sa cousine, de Beauséant, afin de faire d’elle son  « initiatrice» dans le monde. Il recevra par la même occasion la confirmation de la paternité de Goriot sur les deux femmes. Il apprendra

désire, la comtesse Anastasie de Restaud + Vautrin au cœur d’intrigues dans la pension Vauquer (trafic d’or, manipulation de Victorine Taillefer, moqueries et rumeurs concernant le PèreGoriot). -Goriot : Rastignac le surprend pendant la nuit à tordre son plat en vermeil pour le transformer en lingot. Goriot en est triste et sanglote, murmurant « Pauvre enfant ! ». Il vend son vermeil et se rend chez l’usurier Gosbeck avec la somme gagnée pour y régler un billet d’Anastasie de Restaud (Vautrin le surprend)

donne à Rastignac un conseil pour monter en haute société : arriver par les femmes. Le plus vieux pensionnaire est le père Goriot. Il a fait son argent comme fabricant de pâtes pendant la révolution. Il s’est quasiment ruiné pour ses filles, Anastasie de Restaud et Delphine de Nucingen, afin de leur assurer une bonne place dans la haute société. A la pension, Vautrin révèle cyniquement à Rastignac les rouages de la société et les moyens de parvenir à la puissance. Il veut faire sa fortune et il le

cousine. Il se propose de devenir son chevalier servant et de risquer sa vie pour elle. Une peinture de la société • L’aristocratie sous la restauration est un monde très fermé et qui accepte rarement l’intégration d’un nouveau membre. Madame de Restaud doit son acceptation à la naissance de son mari. En revanche, sa sœur mariée à un banquier n’est pas acceptée dans le cercle de la noblesse. Le fait de prendre un amant ni à rien changer (ligne 27) Les rites sociaux comprennent des réceptions :

noir : Rastignac s’en aperçoit en voyant Maxime de Trailles en redingote[1].  Rastignac se rattrape par la suite, en profitant des conseils de Mme de Beauséant. La vicomtesse lui fait comprendre son erreur d’avoir jeté son dévolu sur la comtesse Anastasie de Restaud, fille aînée du père Goriot car cette dernière avait déjà un amant en la personne du dandy Maxime de Trailles. C’est ainsi que sur les conseils de la vicomtesse, il va tenter sa chance auprès de Delphine de Nucingen, femme du riche baron de