Antiphrase

cas-ci que Paul utilise le sarcasme afin de se réjouir ironiquement de sa présence. Aussi on peut penser que Paul s’empêche de commenter son affirmation, voulant peut-être dire «Anne, tu es venue… tu n’aurais pas dû!» En somme, que ce soit par une antiphrase ou par la ponctuation, on note que Paul n’est pas du tout content de sa présence et ceci confirme pour la qu’il n’aime vraiment pas cette personne, et qu’il désire se tenir loin d’elle, et de ses propos. Deuxièmement, Paul craint Anne une fois

« nous éviterons le ridicule » (l.4), « je ne puis m’empêcher de » (l.7) → prise d’opposition du locuteur pour influencer le lecteur ; - « il est vrai que cette méthode est bien lente » (l.2) → l’auteur utilise la concession, c’est de l’ironie, antiphrase ; - ce texte a un aspect polyphonique : qui est à plusieurs voix → « la plupart des gens » (l.2) ; - utilisation de la satire → « nous éviterons le ridicule d’avoir trouvé la cause de ce qui n’est point » (l.4), montre le ridicule de ces savants

dans un second temps on s’aperçoit qu’il s’agit en fait d’un réquisitoire. 2. Les arguments des paragraphes 2 à 5 sont des antiphrases. Dans le paragraphe n°3, l'adjectif « trop » démontre l'ironie de Montesquieu car plaisir de la consommation des européens et aussi la peine des esclaves. Dans le paragraphe n°4, le modalisateur « presque » fait de la phrase une antiphrase, Montesquieu pense le contraire, que nous avons le devoir de les plaindre car ils ont un traitement d’esclave. 3. 4. Ce

expression sur des témoignages le rendant plus construit et sûr mais il est surtout utilise de façon impersonnelle, on remarque donc la prudence de Montesquieu face à la censure. On remarque une certaine flatterie de l’auteur « talent de se faire obéir » antiphrase dissimulant de l’ironie par rapport à ses répétitions hyperboliques « avec le même génie » et son insistance « sa… sa… son » du possessif. Changement du pronom personnel au second paragraphe, signalant le passage du « on » au « je » pour passer

oncle déjà inquiet un dialogue dans les propos interrogatifs. Son oncle perçoit la pièce négativement, pour cela Hamlet le rassure « Ils font tout cela pour rire ; du poison pour rire » (l.5), antiphrase, Hamlet ne pense pas ce qu’il dit et le présent est la pour faire office de commentaire. Cette antiphrase est ironique et est très destructive. • Dans les réponses d’Hamlet on a des rapports d’opposition « fourbe » (l.10) et « conscience libre » (l.11). Il fait coïncider le fourbe et le roi

amant ! / Rome qui t’a vu naître, et que ton cœur adore ! / Rome enfin que je hais parce qu’elle t’honore ! » Antiphrase (féminin) : Procédé qui consiste à exprimer une idée par son contraire. L’ironie repose souvent sur l’antiphrase. Ainsi, « Tes résultats au bac sont vraiment exceptionnels ! » dans le sens de « Tes résultats au bac sont vraiment catastrophiques. » est une antiphrase. Antithèse (féminin) : Une antithèse est un procédé qui consiste à rapprocher deux pensées, deux expressions, deux

défaut ou d'un comportement. | * Portrait dépréciatif * Comparaison et métaphore dévalorisante, antiphrase (contraire), exagérations * Ironie * Interrogation rhétorique * Caricature | Ironique | → Il caractérise l'attitude de moquerie. L'auteur peut énoncé l'inverse de ce qu'ils pensent afin de provoquer le lecteur. | * Sous entendu * Rapprochement inattendu de mot opposé * Antiphrase | Tragique | → Suscite une impression de terreur et de fascination devant le destin implacable

d'abord l'homme, puis ridiculise les propos de ce dernier tout en généralisant ses arguments, lesquels pourraient s'appliquer à toute guerre. Dès le début de son article, Maupassant attaque M. de Moltke pour lui soustraire de la crédibilité. Par une antiphrase ironique, laquelle est tout de suite explicitée par la suite, l'auteur qualifie le stratège prussien "d'artiste habile", de «massacreur de génie» en réalité, comme cela est dit un peu plus loin. Le fait de placer les deux périphrases l'une à côté

mais la belle cérémonie. Dénonce l'horreur sans jamais la décrire 2) SCARMENTADO VICTIME A SON TOUR : Dénonciation des procédés de l'inquisition - la torture avec les antiphrase - le champ lexical de la tendresse : « m'embrassèrent tendrement », « une affection toute paternelle », « cordialement »... - les antiphrases de l'inquisiteur. Motif de l'emprisonnement de Scarmentado : absurdité, « indiscrètes parole » (l.139), insolence et irrespect face à l'inquisition et à Dieu. Approximation

esclavagiste, qui argumente et justifie la justesse de ses actions. L’auteur nous invite donc à lire le texte au second degré et à deviner son opinion à travers la voix de l’esclavagiste. Il utilise des procédés subtils, comme l’ironie, à travers des antiphrases, du cynisme, des rapports de causalité inversés ou des conclusions apparentes différentes des conclusions réelles. Dans le premier paragraphe, nous sentons particulièrement le cynisme de Montesquieu : « Les peuples d’Europe ayant exterminé