Antoine et Cléopâtre

hommes politiques comme Cicéron, qui espèrent encore réformer la république. Cicéron va quand même réussir à faire voter par le peuple, l’abolition de la dictature. Il y avait un autre parti, les Césariens, composé par l’un des consuls de l’année Marc Antoine, élu consul sous l’influence de César, et la foule romaine, et le petit peuple romain des citoyens pauvres, qui ne sont pas attachés à la nobilitas traditionnelle, et qui aimaient dans César, son coté populaire. Il y a aussi dans le parti des Césariens

toutes les querelles internes de l'Empire, reste de fait autonome. Le roiJuba II (25 av. JC) se distingue par son ouverture à toutes les cultures du bassin méditerranéen. Nourri à la culture grecque la plus classique, il épouse Cléopâtre Séléné, fille de Marc-Antoine et de Cléopâtre VII. Une civilisation maurétanienne se constitue ainsi, principalement urbaine, synthétisant avec originalité l'héritage punique et les influences hellénistiques et égyptiennes. En 40, le royaume des Maures perd son dernier

œuvre constitutionnel durable. C'est même la rivalité entre les 3 héritier (Octave, son neveu, un général, son adjoint Marc-antoine et enfin un financier), qui revient dans le deuxième triumvirat, le financier ne joue pas un grand rôle mais une lutte entre les d eux autres. Cette lutte se traduit par la victoire militaire, navale d'octave, marc-antoine voulait avec Cléopâtre voulait un grand empire avec une monarchie de type hellénistique. Octave devient alors le seul maître de Rome, le sénat n'a

l’Afrique et du peuple noir, l’idée d’une Egypte africaine et nègre était encore une évidence parmi les meilleurs esprits européens : on pense, bien sûr, ici à Volney (1757-1820), mais aussi à l’Abbé Grégoire (1750-1831), Victor Schoelcher (1804-1893), Antoine Barthélemy Clot, dit Clot-Bey ( 1793-1868), Johan Ludwig Burckhard (1784-1817), Frédéric Caillaud (1787-1817), et tout naturellement à Jean-François Champollion (1790-1832), le père de l’égyptologie. Au sein de la Société française d’Anthropologie

s’en est que trop éloigné dans son roman, qui d’ailleurs est plein de choses admirables. Il y en a qui sont de la derniere perfection dans le genre pastoral ; mais il y en a aussi, si je ne me trompe, qui demanderoient à estre dans Cyrus ou dans Cleopatre. Souvent les bergers de l’astrée me paroissent des gens de cour déguisez en – 15 – BERNARD DE FONTENELLE bergers, et qui n’en sçavent pas bien imiter les manieres ; quelquefois ils me paroissent des sophistes tres-pointilleux ; car quoy que

pour le nom « La Pléiade », qui est aussi le nom d'un groupe de sept poètes d’Alexandrie. Ronsard peut être considéré comme le « meneur », mais la Pléiade regroupe selon lui sept poètes : Joachim du Bellay, Jacques Peletier du Mans, Rémy Belleau, Antoine de Baïf, Pontus de Tyard et Étienne Jodelle. Ils déclarent trois genres nobles : l'ode, l'épopée et la tragédie. On leur doit une grande partie des mots de la langue française actuelle. Les poètes Lyonnais ont beaucoup fait pour l'introduction du « pétrarquisme » en

les pharisiens, et par l'hostilité des membres survivants de la famille asmonéenne, qui se trouvèrent un allié en la personne de Cléopâtre, reine d'Égypte. Hérode l'emporta en fin de compte sur ses adversaires, en partie grâce à la défaite de Cléopâtre et de Marc Antoine face à Caius Octavius (Octave), le futur empereur Auguste. Bien qu'Hérode ait soutenu Marc Antoine dans sa lutte contre Octave, celui-ci n'en conforta pas moins Hérode comme roi en 31 av. J.-C., persuadé qu'il continuerait à gouverner

entreprise. Du Bellay signe en 1549 un manifeste collectif, la Défense et illustration de la langue française. La Brigade se transforme en Pléiade avec l'arrivée de quatre nouveaux membres : Rémi Belleau, Etienne Jodelle, Pontus de Tyard et Jean-Antoine de Baïf. Joachim Du Bellay publie dès l'année suivante, en 1550, son premier recueil de sonnets, L'Olive[3], imitant le style de l'italien Pétrarque. En 1553 Du Bellay quitte la France pour accompagner le cardinal Jean Du Bellay, un cousin de son

imparfait qu’on ne faisait guère avec mille rames que ce qui se fait aujourd’hui avec cent [57]. Les grands vaisseaux étaient désavantageux, en ce qu’étant difficilement mus par la chiourme ils ne pouvaient pas faire les évolutions nécessaires. Antoine en fit à Actium une funeste expérience [58] : ses navires ne pouvaient se remuer, pendant que ceux d’Auguste, plus légers, les attaquaient de toutes parts. Les vaisseaux anciens étant à rames, les plus légers brisaient aisément celles des plus

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