Aporie

Brunschwig, «Dialectique et ontologie chez Aristote»; W. Jaeger, Aristotle, Fundamentals of the History of His Development; P. Aubenque, La prudence chez Aristote, p. 7-30. Cours 4 à 6, Aristote et l’histoire de la science Les prédécesseurs et leurs apories La logique comme outil du savoir La philosophie première et réponse au platonisme — Métaphysique (passages choisis); Analytiques (passages choisis); Physique II; Éthique à Nicomaque I 4; Platon, Parménide (1re partie). — R. Bodéüs, Aristote,

(cercle vicieux) * Relation (un point de vue dit relatif est dépendant d’un individu ou d’un groupe ou d’une culture) * Principe des sceptiques « Pas plus ceci que cela ». Le sceptique doit ê indifférent. Ataraxie : Absence de trouble Aporie : Absence de solution * Relativisme cognitif Ce relativisme est celui des sophistes. Notre connaissance des choses est dépendante de notre sensibilité et donc de notre particularité. Selon Protagoras, le réel est contradictoire en lui-même

bon sens : contradictoire à ce qu'on voudrait voir, ou à ce qu'on voit sous les yeux (enfin, un paradoxe quoi). Antinomie :C’est un conflit entre deux propositions cohérentes. Ex : textes de lois, administration de Paul Va'. Aporie : (http://fr.wikipedia.org/wiki/Aporie) c’est une image qui met en scène la contradiction. Un problème qui apparaît comme insoluble ; exemple de l'éducation (le but = c’est que l’élève deviennent autonome. Mais en même temps l'éducateur veut maîtriser l'élève et lui

substituer, au XVIIIème, avec Hume, le projet de détermination du sujet de la science. Il s’agit de caractériser la manière dont l’entendement humain fonctionne, en recensant tous les matériaux dont il dispose, la manière dont il les organise et enfin les apories qui sont inhérentes à cette organisation. Puisque Hume est empiriste, les matériaux en question sont donc constitués principalement des perceptions qui nous viennent de notre rapport au monde, et dont Hume dit qu’elles sont toutes des copies d’impressions

entièrement reflué. Ce ne sont pas seulement les familles qui doivent traverser l'épreuve de l'individualisme – le projet de chaque enfant devenant l'élément dominateur de l'évolution –, mais toutes les institutions. Ici encore, nous retrouvons une aporie d'équilibre, un véritable paradoxe : personne ne voudrait retourner à un autoritarisme antique ou traditionnel, qui fixe de manière rigide les devoirs de chacun, mais nous déplorons tous le vide créé par la montée du libéralisme moral et politique

passage a) dans le siècle (historico-littéraire) Risibles amours est conçu dans un contexte de guerre froide, marqué par l’affrontement des idéologies (bloc de l’ouest vs bloc de l’est). Kundera est un intellectuel particulièrement sensible aux apories du communisme (du point de vue politique, du moins). D’où une tonalité critique, désabusée (voire ironique, ou cynique), où l’idéal est une des formes contournées, fabriquées, de son propre désenchantement. Ce « désenchantement » contemporain est

époque d’écriture, évoque aussi la vacuité du langage et de la parole, mais nécessité de continuer à parler pour garder le contact. Ouverture 2 : Beckett, L’innommable, roman de la même année avec le raisonnement illogique qui n’aboutit à rien (aporie), la vacuité de la parole mais l’impossibilité de s’arrêter de parler, et ainsi, la parole qui comble le vide.

9/10CM2EPISTEMOLOGIE La question de la connaissance empirique. La pensée et le réel (problème de l'objet et du sujet) Pour échapper à cette aporie (= impasse, problème insoluble), la philo de l'époque classique sent que la pensée opère à partir des éléments de base qu'elle ne constitue pas elle même. Elle opère à partir des idées données sensuellement (empiriste) et intuitivement (idéaliste). Ces idées ne viennent pas de pensées, elle sont issue de l’expérience de l'objet. Descartes insiste

sauf peut-être en procédant par la négation : le Mal se pose comme l’opposé du Bien. Cependant cet antithétisme n’apporte pas de réponse à la question posée, et non content de ne pas cerner la notion l’individu intelligent se retrouve bloqué par une aporie double. Penser le Mal, voilà une affaire délicate. Appuyons nous alors sur l’héritage que les siècles nous ont laissé : tant de fois le Mal a été combattu, on a cherché à l’éradiquer, à le mettre à distance traditionnellement pour des motifs religieux

et est basée sur les trois concepts importants nommés précédemment. L’aporie est la dernière étape de raisonnement de Socrate elle est utilisée seulement quand une impasse survient dans la pensée (difficulté d’ordre rationnelle). Pour Socrate une aporie vaut déjà beaucoup plus qu’une mauvaise opinion, car plus une opinion est examinée meilleur elle sera. Cette méthode très poussée par le philosophe confirme l’importance de la connaissance pour lui et ce pour quoi la connaissance est nécessaire au