Aporie

français avec entre autres Le Moment Guizot (1985) et Le Modèle politique français (2004). Continuant sa réflexion sur la démocratie, il a publié récemment La contre-démocratie. La politique à l’âge de la défiance (2006). II/ La démocratie et ses apories : la question de la représentation démocratique en France A travers son ouvrage, Pierre Rosanvallon retrace l’histoire de la question de la représentation démocratique en France. En effet, cette question est centrale dans la mise en place de la

faut un homme pour élever un enfant, personne ne naît pédagogue : les hommes ne peuvent s’éduquer eux-mêmes. De même, il faut des lois pour qu’il y ait des hommes justes, et il faut des hommes justes pour qu’il y ait des lois. Kant répond à cette aporie que si les hommes sont courbes par nature, on peut néanmoins dire qu’ils sont les uns pour les autres des tuteurs courbes, et dans la forêt sociale, ils tendent vers la rectitude, c’est pourquoi l’humanité ne réalisera jamais qu’une approximation

Ironie socratique ( Il fait semblant de ne pas savoir et interroge son  interlocuteur sur un sujet )   ● La dialectique ( Échange de questions ­ réponses )   ● La maïeutique ( Art de faire accoucher l’interlocuteur soit de la vérité, soit du  mensonge, soit la discussion ne mène nul part ­> aporie )   Lors de l’accouchement, réactions de l’interlocuteur :   ● D’accord, reconnaissant  ● En colère  ● Indifférent                  3. ​ Projet philosophique    Socrate  Sophistes  ● Humilité, humble. “ Je ne sais  qu’une chose, je ne sais rien

Critique et discussion de cette thèse. Retour au sujet. Qu’avons-nous gagné avec cette deuxième partie par rapport à la pbmatique/ sujet ? 3 ème partie si nécessaire CONCLUSION -Apport d'une nouvelle idée et explication. -Répondre au sujet (Aporie dans le pire des cas) -Ouvrir sur un autre pb qui découle de votre position (= montrer que vous ne pensez pas en avoir fini définitivement avec le sujet.) seulement si cela s'impose naturellement. Vous pouvez aussi choisir le plan dit a tiroir

majeurs de l'histoire de la philosophie occidentale5. Chaque dialogue de Platon est l'occasion d'interroger un sujet donné, par exemple le beau6 ou le courage. La pensée de Platon n'est pas monolithique ; une partie de ses dialogues aboutissent à des apories philosophiques : apportant une solution aux problèmes posés, ils ne constituent pas une réponse unique et définitive. Théophraste dit que Platon fut le premier par la renommée et le génie, tout en étant le dernier dans la chronologie. Comme il avait

I/ une tragédie dans le malheur : misère de l’homme. - la condition mortelle : destin des hommes ; dimension baroque. - vanité et divertissement : la plus grande de nos misères . - L’absurdité : a influencé le tragique moderne. = une aporie tragique (absence d’issue) ; figure récurrente du chiasme : enferme l’homme . Un Dieu caché : homme sans réponse à ses questions. - inspire la pitié (pour les hommes) et la terreur (devant la misère de cette condition): 2 sentiments du tragique

de l'histoire de la philosophie occidentale[5]. Chaque dialogue de Platon est l'occasion d'interroger un sujet donné, par exemple le beau[6] ou le courage. La pensée de Platon n'est pas monolithique ; une partie de ses dialogues aboutissent à des apories philosophiques : apportant une solution aux problèmes posés, ils ne constituent pas une réponse unique et définitive. Théophraste dit que Platon fut le premier par la renommée et le génie, tout en étant le dernier dans la chronologie. Comme il avait

aucun torrent…. » « aucun », « n’y »= puis aboutissement à la tournure présentative « c’est une terre de plaine » = un paysage sans relief, plat et ce côté amorphe est accentué par la description qui en est faite. Amorphe comme son existence. Aporie : « Rien ne m’oppose,… » = valeur d’une vérité générale, idée plaquée présent à vérité générale : binarité révèle oppression, cycle sans fin : insatisfaction comme éternelle. Cf les amplifications, hyperboles, exagérations qui renforcent idée d’insatisfaction

en dialogues, dans lesquels il met en scène des personnages (tel Socrate dans Le Menon) dont il se sert pour exposer ses thèses et exprimer des critiques. L’œuvre platonicienne n’est pas monolithique : la plupart de ses dialogues aboutissent à des apories philosophies, c'est-à-dire qu’elle laisse le lecteur dans un état de doute et d’embarras quant au prolongement du cheminement de sa pensée, car les dialogues de Platon, bien qu’apportant les solutions aux problèmes posés, ne constituent jamais

on renonce à l’autre. Descartes ne connaît pas la « solution » de cette difficulté, mais il nous conseille d’adopter plutôt la liberté éclairée si nous souhaitons être heureux. La liberté et la loi Rousseau et Kant ont cherché à dépasser ces « apories » (difficultés insurmontables). Etre libre, pour Rousseau, c’est obéir à la loi que l’on se donne à soi-même. Un peuple est libre dans un système républicain puisque, en obéissant à la loi, le citoyen suit la règle qu’il a lui-même promulguée : «