Argument d'autorité

dénoncer toutes les formes d’asservissement b) LECTURE. c) CARACTERISTIQUE DE L’EXTRAIT : l’extrait que nous étudions, est une dénonciation de l’esclavagisme reposant sur le procédé de l’ironie. Montesquieu choisit de donner a voir les arguments qui servent a justifier cette pratique mais il en montre indirectement l’absurdité. d) ANNONCE DU PLAN. PLAN POSSIBLE : I°/ L’ironie : donner à entendre la voix de l’autre. Plutôt que de dénoncé directement la barbarie

ont », « suivi de l’anaphore », « un autre ayant » et « autres formes ». -2ème paragraphe : Enoncé de la thèse (l.9-10) au présent de vérité générale + modalisation « il est certain ». Justification de la thèse =>argument d’autorité : « la bible », « les sages », « les anciens ». Ces arguments renvoient tout deux à Dieu et justifient donc bien la thèse. -3ème paragraphe : Exemple historique (l.18-19), exemple de monstres (20-22) ; rapport de cause à effet « après on vit » (l.20) B) Un texte d’aspect

indiscutable sa conception contre toute forme d’objection et de critique. Cette attitude contraire de l’autocritique ne remet pas en question son opinion, la tient pour vraie de manière définitive alors même qu'elle pourrait être critiquée. Par un argument d'autorité: « Moi je pense que », on met le poids de son ego dans la balance pour peser sur autrui et compenser ainsi la faiblesse de notre position. Et si on nous demande pourquoi ?, nous ne pouvons répondre que : «C'est comme ça ! Ce sont mes opinions

l’examen de conscience qui est impliqué par cette recherche devrait aboutir à épurer ce qui est moi et ce qui ne l’étant pas mérite de le devenir. Ce n’est donc pas la solitude qui est l’objectif de cette epuration c’est bien le lien social vérifié, argumenté, solide. Le premier mouvement commence par la compréhension de cette influence de l’autre dans la défintion du moi. Nietzsche, aurore La structure logique A/ le paradoxe : l’Egoïsme est une attitude consistant à tout ramener à son profit (

respira profondément, sur 1 ton + bas, d'un voix calme'' Mise en scène par les interpellations du discours qui on pour but de se rapprocher, s'élève et accuser l'auditoire '' mes frères, médité et tomber, voyer le, sachez le bien, vous, nous '' Argument d'autorité: '' châtiment du pharaon, légende dorée, accumulation des pers biblique ''+ lien présent et passé '' depuis le début de toute l'histoire, trop longtemps, pendant si longtemps, aujourd'hui dans nos rue'' Utilisation de la religion et surtout

à l’utilisation d’un vocabulaire mélioratif. « bel » v.117 « « amour » v.128 « bonté » v.145 « je l’admire » v.157 Argument d’autorité « Pantagruel » v.117 « le ciel » v.139 Ainsi cela montre une argumentation visant à défendre à la fois la femme et le mariage. Utilisation d’exemples afin d’appuyer le propos « l’autre jour… » v.159 Champ lexical du discours argumenté. « argument[…]discours » v.126 « prêchez » v.119 « persuadé » v.121 « conférence » v.155  « juger » v.156 Conclusion : On peut

un discours, ni un récit, mais tout à la fois. Le texte proposé, à la tonalité satirique, est d’une part un plaidoyer en faveur des femmes et d’autre part un réquisitoire contre les homes. Ainsi, nous allons voir comment la maréchale parvient à argumenter son point de vue ? Nous nous pencherons tout d’abord sur la personnalité de la maréchale, à la fois sur son caractère et sur sa façon de s’exprimer et de se comporter avec les autres ; puis, nous étudierons la portée critique et revendicatrice du

« Écoutez son langage », faisant référence au langage du prophète, il oriente, une fois de plus, le destinataire vers la religion en mettant en avant la parole de Dieu. Ensuite, il fait preuve de sa connaissance et de sa compétence en utilisant un argument d'autorité, « prophète Jérémie », pour convaincre l'audience en affirmant une certaine crédibilité. On observe également l'interjetion « Ha ! »l.19 et 33, qui interpelle le destinataire sur Dieu. L'auteur fait encore une fois une référence à Dieu, à la

nous allons observer les enjeux du texte. Tous d'abord, le locuteur qui est le démon du jeune homme se nomme Socrate "J'en demandais la cause à mon démon" (l 4-5). Celui-ci est le fondateur de la pensée philosophique en Europe. C'est donc un argument d'autorité car personne n'oserait contester ce qu'il dit. Cela confère du poids à ses propos et les rend donc plus difficiles à réfuter. De plus, Socrate rabaisse son interlocuteur "mon fils" (l 45). Par conséquent, dans cet extrait, c'est le philosophe

thèse. C’est un procédé courant à la Renaissance : la référence aux auteurs antiques permet d’assurer la validité d’un propos. Celui-ci ne doit pas émaner d’une simple personne mais trouver sa source dans une tradition littéraire. C’est un argument d’autorité qui permet à l’auteur de démontrer que l’anthropologie est une pratique noble donc non condamnable. L’acte cannibale est décrit des lignes 6 à 15. Après avoir constaté la violence des combats entre peuple sauvages, Montaigne relate les différentes