Art poétique

II) Ecriture d’invention « L’imagination ne fait pas tout » Je pensais que lorsque mon recueil serait lu de tous, je serais compris et jugé sans explication préalable, mais il faut croire que tout le monde peut se tromper. Après de multiples accusations concernant mon recueil, et en particulier, après l’accusation d’un journaliste insistant qui se croit assez fort pour braver le dégoût des lecteurs, j’ai décidé de réagir en ne répondant pas seulement aux accusations que l’on m’a adresser

| |Trouver une définition de la poésie, la comparer avec celle d’autres poètes. | |Produire des écrits poétiques « à la manière de… ». | |Produire des écrits poétiques personnels. | |Apprendre à lire et interpréter des poèmes.

oxymore « carcasse superbe », comparaison avec un tableau : « Les formes s'effaçaient et n'étaient plus qu'un rêve,/Une ébauche lente à venir/Sur la toile oubliée, et que l'artiste achève » Ponge : image poétique « Tu es si belle, après l'orage qui te fonde, avec tes ailes bleues ! », évocation poétique de la genèse de la boue (cf. corrigé du commentaire) - vision même fantastique : Baudelaire insiste sur la vie paradoxale qui anime le cadavre, fascination pour le cycle mort/vie : « On eût dit

Ces quatre textes, qui sont Le beau navire, confession, Le serpent qui dans et A une dame créole, qui sont tous écrit par Charles BAUDELAIRE, ont tous pour point commun d’avoir étés inspirés par une femme. En effet Le beau navire est inspiré par Marie DAUBRUN, confession par Madame de Sabatier, Le serpent qui danse par Jeanne DUBAL et A une dame créole par Madame de Bragard. Cela nous amène donc à nous demander, quelle place occupe la destinatrice féminine dans ces quatre textes et quel est son rôle

autres hommes ? Notre société a-t-elle encore besoin de poètes ? Doit-on penser que le poète est un fou ? Les poètes peuvent-ils encore toucher les jeunes d’aujourd’hui ? Quels mouvement littéraires connaissez-vous qui ont structuré la création poétique ?

écriture, elle, est parnassienne. D’ailleurs, Les Fleurs du Mal sont dédicacées à Théophile Gautier. De plus, les poèmes de ce recueil ont largement inspiré les symbolistes qui ont suivi Baudelaire et qui ont fait de lui le précurseur de leur conception poétique. De ce point de vue quelque peu symboliste, le poème L’Invitation au Voyage est exemplaire. En effet, dans ce poème composé de trois strophes alternées avec un refrain en distique, Baudelaire évoque un voyage idéal et mystérieux vers un ailleurs

I - La poésie célèbre l'amour      A- L'amour heureux , réciproque , idéalisé. J'opterais, en plus de tes exemples, pour "Fin d'amour" de G.de Maupassant car elle décrit parfaitement l'univers amoureux dans lequel souhaiterait s'épanouir tout un chacun. Dans ce poème, Maupassant analyse avec passion les gestes affectifs auxquels jouent les individus amoureux.      B - Le drame amoureux (et amicale). Un reflet d'un brisement profond qui apparait alors dans la poésie. Le poète veut alors dégager

Ces anaphores sont l’occasion de préciser les raisons qui justifient une lutte (vers 18 et 19). -Mise en place d’antithèse : (ombre/lumière ; enfermement/ouverture ; profondeur/élévation) péjoratif : guerre ; mélioratif : amour. -Rigueur poétique de l’écrivain qui ne recourt qu’à l’octosyllabe et à des sonorités plus dures quand il évoque la guerre. III/UN APPEL A LA LUTTE L’énonciation est ambigüe : dans la première strophe le poète recours à la première personne du singulier (vers 2

Thèmes : riches/pauvres, violence = choquer le lecteur pour le faire reagir | Rythme | | -longues phrases, notamment lors de la bagarre (nombreuses actions séparées par des virgules) avec adverbes, bagarre préparée « demon action, combat » -phrases exclamatives l.35 -champ lexical combat/bagarre, beaucoup de verbes d'actions : intensité, impression de réalité | 2e partie : Baudelaire utilise plusieurs procédés pour se intensifier son récit, notamment en mettant des

[Conclusion : récapitulation] Pour conclure, nous voyons qu’à travers le regret de l’être aimé, le poète propose une réflexion sur la brièveté de la vie, sans cesse menacée par la mort. Cependant, ce poème semble avoir une vision plus sombre que d’autres, du premier recueil des Amours, comme « Mignonne… » ou « Quand vous serez bien vieille… », où il propose, en réaction à la vieillesse et à la mort imminentes, de profiter de sa jeunesse. Dans « Comme on voit sur la branche… », rien de tel : la mort