Article 1382 Du Code Civil Camerounais

dénient ce qu’ils donnent sur le plan formel. La question qu’il serait intéressante de poser ici est celle de savoir dans qu’elle catégorie se classe le Cameroun. Le législateur camerounais organise t-il un régime discriminatoire à l’égard des femmes ? Pour être clairement plus proches de notre thème ? Le droit camerounais reconnait-il une égalité des droits hommes-femmes ? Une égalité des droits qui serait alors le gage d’une égalité de chances et source de progrès social pour tous ? Le sujet est

THEME : Les Prestataires de Service D’investissement en Droit des Marchés Financiers Camerounais : INTRODUCTION GENERALE. I- CONTEXTE Les entreprises du Cameroun ont longtemps souffert de l’accès difficile au financement bancaire, en dépit de la surliquidité des banques. La création de la DSX en décembre 1999 devenue opérationnelle en 2004 a suscité bien des espoirs. A coté du financement bancaire, ce fut une nouvelle voie de financement offerte

des droits de l’homme et du citoyen, et plus tard la Déclaration universelle des droits de l’homme par l’O.N.U. le 10 décembre 1948, la qualité de citoyen est dévolue à tout individu, sans discrimination de race, de sexe ou de statut social. Le code civil français de 1804 pousse plus loin la reconnaissance de la qualité de citoyen à tout individu dès avant même la naissance, d’où la doctrine de l’« Infans conceptus », selon laquelle la personnalité juridique est reconnue à l’enfant au moment précis

en dehors de tout lien contractuel et on parlera de responsabilité civile délictuelle. Celle-ci trouve sa source dans les articles 1382 de code civil « tout fait quelconque de l’homme qui cause à autrui un dommage, oblige celui par la faute duquel il est arrivé à le réparer » et 1383 « chacun est responsable du dommage qu’il a causé non seulement par son fait, mais encore par sa négligence ou son imprudence ». De ces articles il ressort que la faute est le fondement de la responsabilité délictuelle

LE DROIT PRIVE Il a pour objet les rapports entre les particuliers (personnes privées). Il comprend plusieurs subdivisions : ▪ Le droit civil : il représente le droit commun, il est le droit privé lui-même. A défaut de règles spéciales établies pour les situations particulières, on applique les règles du droit civil ; ▪ La procédure civile ou droit judiciaire privée relatif aux règles à suivre pour faire connaître ses droits en justice. Si les droits individuels sont contestés, il

 UCAC 2013-2014 MASTER II EN CONTENTIEUX ET ARBITRAGE DES AFFAIRES UE: DROIT DE LA CONSOMMATION Code: Enseignant: Dr OLOMO Thérèse I – OBJECTIFS : 1- OBJECTIFS GÉNÉRAUX L’étudiant doit aussi maîtriser les bases fondamentales du droit de la consommation. L’étude du droit de la consommation permet de sensibiliser l’étudiant aux règles spécifiques de la vie des affaires et de lui permettre de découvrir les différentes activités y relatives, à savoir, la production et/ou d’échange de biens et

une prestation c'est-à-dire ce que le débiteur doit au créancier, cette prestation a une valeur économique ; le créancier peut avoir intérêt à tirer profit de cette prestation et à céder sa créance. Le législateur en a tenu compte, désormais le code civil admet à l’article 1690 le principe de la cession de créance. Le droit commercial a développé cette cession de créance et lui a donné des formes simplifiées. Le droit positif interdit la cession de dette parce qu’il serait dangereux pour un créancier

droit. Dans la première catégorie, l’engagement résulte de la loi, alors que dans la deuxième catégorie, il résulte de la volonté des deux parties, la matière de la responsabilité civile tel qu’aménagé par le code civil reposait sur deux textes. Il la rattachait à la faute. D’abord, l’article 1382 du code civil qui pose que : « Tout fait quelconque de l’homme qui cause à autrui un dommage oblige celui par lequel la faute est arrivée à le réparer ». Cette disposition consacre le délit,

donner ou de vendre un rapport personnel. Actuellement, toute obligation a pour objet une prestation. Cette prestation à une valeur économique. Le créancier peut donc avoir intérêt à tirer profit de ce droit. Il peut céder sa créance. Le code civil admet en son article 1690 le principe de la cession de créance. Le droit commercial a développé la cession de créance et lui a donné des formes particulières. Le créancier peut céder sa créance mais le débiteur ne peut pas céder sa dette pour des raisons pratiques

personnel. Actuellement, toute obligation a pour objet une prestation et la prestation est ce que le débiteur doit au créancier. Ces prestations ont une valeur économique dont le créancier peut avoir intérêt à tirer profit et à céder sa créance. Le Code civil admet à l’Article 1690 le principe de la cession de créance. Le Droit commercial a développé la cession de créance et lui a donné des formes simplifiées. Cette évolution a des limites. Le créancier peut céder sa créance mais le droit interdit la