Aryabhata

étendue de ce traité fut achevé en 1596 par Valentin Otho un élève de Rheticus. · Origine du mot sinus Les développements significatifs de la trigonométrie suivant furent réalisés en Inde. L'astronome et mathématicien indien Aryabhata (476 – 550), dans son ouvrage Aryabhata-Siddhanta, définit pour la première fois le sinus (moderne) à partir de la relation entre la moitié d'un angle et la moitié d'une corde, tout en définissant également le cosinus, le contre-sinus (ou sinus verse), et l'inverse

pas de 30′. Il établit aussi une série de relations à l’allure trigonométrique, par exemple en calculant les cordes correspondant à la somme de 2 angles. Arrive ensuite le personnage qui nous intéresse. Il s’agit de l’astronome et mathématicien Aryabhata, né au 5e siècle en Inde. En 499, il publie un traité d’astronomie en vers, l’Aryabhatiya, dont le 2e chapitre contient 33 vers énonçant chacun (et sans démonstration) une propriété mathématique. On trouve notamment l’énoncé suivant, particulièrement

décède la même année. 1972 : la construction de la fusée SLV3 (Satellite Launch Vehicle c'est-à-dire Engin lanceur de satellite) qui peut placer 40 kg en orbite basse est débutée. 1975 : le premier satellite indien, Aryabhata, du nom du célèbre astronome indien Aryabhata, est lancé par une fusée soviétique Cosmos-3M depuis la base de lancement de Kapoustine Iar. Il emporte en orbite basse des expériences scientifiques et pèse 360 kg mais quelques jours après son lancement le contact est perdu

son élève Regiomontanus. On attribue à Ménélaos d'Alexandrie (fin duier siècle) des développements en trigonométrie sphérique, au moins partiellement présents dans l'Almageste et longtemps attribués à Ptolémée lui-même. Le mathématicien indien Âryabhata, en 499, donne une table des sinus et des cosinus. Il utilise zya pour sinus, kotizya pour cosinus etotkram zya pour l'inverse du sinus. Il introduit aussi le sinus verse. Un autre mathématicien indien, Brahmagupta, utilise en 628 l'interpolation

plus importants de le Chine citons Shen Kuo et Zhang Heng. *Mathématiques indiennes L’humanité est redevable aux Hindous des chiffres arabo-indiens, dont le zéro et l’écriture décimale positionnelle. Les principaux mathématiciens hindous furent Aryabhata qui calcula les 4 premières décimales de Pi (π) et Brahmagupta qui travailla sur les séries de nombres et la définition du zéro. 2) Moyen Age *Sciences et techniques islamiques Au Moyen Age, la civilisation arabo-musulmane

fonction dans l’histoire des mathématiques. C’est à cette époque que les Grecs prennent l’habitude de diviser le cercle en 360°. Aryabatta: il faudra attendre le cinquième siècle après J.-C. pour qu’en Orient, un mathématicien indien du nom de Aryabhata l’Ancien (476 ; 550) eût la bonne idée de considérer la demi-corde de l'angle double ( 2a ) au lieu de la corde de l'angle a, c’est à dire, sur le cercle ci-dessous, le segment AK au lieu du segment AB. Le segment AH crée un triangle rectangle en

550 Archimède (grec) 3,14185 3 − 250 Hon Han Chu (chinois) √10 ≈ 3,16 1 130 Ptolémée (grec) 377/120 ≈ 3,1416 3 150 Wang Fau (chinois) 142/45 ≈ 3,15 1 250 Liu Hui (chinois) 3,14159 5 260 Tsu Chung Chih (chinois) 355/113 ≈ 3,141592 6 480 Aryabhata (indien) 3,14156 4 500 Brahmagupta (indien) √10 ≈ 3,16 1 640 Al Khwarizmi (arabe) 22/7 ≈ 3,1428 ; 3,1416 3 800 Fibonacci (italien) 864/275 ≈ 3,1418 3 1220 Al Kashi (arabe) 16 1430 Von Lauchen (allemand) 3,14159265 8 1550 Viète (français)

0 ) / 0 = a , donnée dans Lilavati , est équivalente à la notion moderne d'un non - zéro " infinitésimale " . Bien que cette affirmation n'est pas sans fondement , peut-être c'est de voir au-delà des idées ce Bhaskaracharya destiné . Aryabhata C'est au 5eme siecle, qu'une mathematicienne au nom de Aryabata qui inventa dix chiffres decimales, 1 à 9. La position d'un chiffre dans l'ecriture d'un nombre exprime la puissance de 10 presente et le nombre de fois qu'elle intervient 2siecle

trigonométriques ». Elles lui servirent à estimer les grandeurs et distances relatives du Soleil et de la Lune. Par la suite, les développements significatifs de la trigonométrie furent réalisés en Inde. L’astronome et mathématicien indien Aryabhata dans son ouvrage Aryabhata-Siddhanta, définit pour la première fois le sinus et le cosinus pratiquement tel que nous les connaissons aujourd’hui. Les travaux indiens furent traduits plus tard et furent améliorés par les mathématiciens islamiques : en particulier

milieu du cercle à la longueur de l’arc qu’il intercepte. Ses travaux furent repris par Ptolémée qui y introduit les premières formules trigonométriques. Plus tard, vers l’an 500, ce fut le début des sinus et des cosinus, trouvés par un indien nommé Aryabhata qui créa des tables avec ses mesures, c’est lui qui définit en premier le sinus, le cosinus, le sinus verse et l’inverse du sinus. Ses tables comportaient toutes les mesures des angle entre 0° et 90° avec des bonds de 3,75°. Les indiens avancèrent