Avantage Inconvenient Alliance Peugeot Citroen General Motors

2) Principaux exemples de délocalisation * C) L’industrie automobile en « fusion » * 1) Partenariat des constructeurs * 2) Conséquences sur le marché automobile * Interview d’un ingénieur en R&D chez PSA Peugeot Citroën * Conclusion Le secteur automobile français est au cœur des débats industriels en ce début d’année, en effet face à une diminution considérable des ventes de véhicule sur toute l’année 2011, elle semble se prolonger sur le premier semestre

plupart du temps, au pièces produites par les fournisseurs et les équipementiers). Les douze premiers constructeurs mondiaux en 1998 (Nombre de véhicules particuliers et utilitaires produits en milliers) Constructeur | Monde | Europe | General Motors | 7508 | 1968 | Ford | 6484 | 1835 | Toyota | 4931 | 179 | Volkswagen | 4797 | 3227 | Daimler – Chrysler | 4226 | 1247 | Nissan | 2584 | 386 | Fiat | 2578 | 1685 | Honda | 2328 | 112 | PSA | 2247 | 2130 | Renault | 2201 | 1918

contemporaine, la stratégie a envahi les sphères politique (stratégie électorale), économique (stratégie d'entreprise) et sociale. De spécialité militaire, la stratégie est ainsi devenue transdisciplinaire. Elle consiste d'abord à définir des finalités générales que l'on cherche à atteindre par la combinaison de tous les éléments à la disposition des acteurs, qu'il s'agisse ou non des États. Elle implique également une étroite intégration des facteurs économiques, politiques, culturels et sociaux.

du marché automobile 1. Les trois marchés de l’automobile 1.1. Caractéristiques du marché nord-américain 1.2. Caractéristiques du marché asiatique 1.3. Le marché européen 2. Présentation du marché automobile 2.1. Fusions / alliances 2.2. Les facteurs 2.3 L’accélération de la concentration l’industrie automobile 3. Présentation des différents acteurs présents sur le marché européen 4. Carte de positionnement stratégique Chapitre 3: La distribution automobile

STRATEGIE ET DIRECTION D’ENTREPRISE L’alliance potentielle entre les groupes Renault-Nissan et General Motors I. Analyse des firmes 1. Renault-Nissan Présentation de l’Alliance Renault-Nissan. Renault et Nissan sont partenaires depuis 1999 via un système de participations croisées, le premier détenant 44% du second tandis que le japonais possède 15% du français. Liées par des participations croisées, Renault et Nissan sont unies pour la performance à travers une stratégie cohérente

principaux du marché. A noter que Renault est une marque française et qui appartient donc à ce groupe géographique. Les Etats-Unis regroupe une dizaine de marques (dont certaines sont des groupes qui possèdent plusieurs sous-marques comme par exemple General Motors) et représente 17 millions de véhicules produits. Enfin, le Japon représente près de 11 millions de véhicules produits par an. A noter que Nissan est une entreprise Japonaise. On peut donc dire que l’alliance Renault/Nissan créée un « pont » entre

désormais acheter des voitures quasi parfaites, belles, fiables et bon marché. Rêvons un peu : peut-être qu'un jour les voitures ne pollueront même plus l'air de notre planète. Du point de vue stratégique, cette « perfection » a en revanche un énorme inconvénient pour les concurrents eux-mêmes : comme la plupart des constructeurs font peu ou prou les mêmes voitures, au même coût et avec les mêmes équipements, ils se retrouvent constamment en concurrence frontale entre eux. La compétition est donc très rude

secteur automobile : Bruxelles refuse d'assouplir ses règles sur les aides de l'Etat 14 Annexes VIII 15 Le marché automobile allemand revigoré par la prime à la casse 15 Annexes IX 16 L'Etat va prêter 6,5 milliards d'euros à PSA Peugeot-Citroën, Renault et Renault Trucks 16 Annexes X 17 Un fonds de restructuration et des prêts pour aider la filière automobile 17 Annexes XI 18 L'Allemagne envisage 100 milliards de garanties pour ses entreprises 18 Annexes XII 19

propres capacités de production (croissance interne), nombre de grandes entreprises notamment ont une préférence pour la croissance externe, autrement dit pour le contrôle d'actifs disponibles dans d'autres entreprises. Cette préférence tient aux avantages théoriques associés à ce mode de croissance par les entreprises tels que le gain de temps (achats de capacités de production déjà en fonctionnement, achats de parts de marché rapidement), la réduction du risque de croissance (pénétration d’activités

capital 3. Les avantages et les inconvénients a. Les avantages b. Les inconvénients B. La croissance externe : un regroupement de plusieurs entreprises 1. Définition et caractéristiques a. Définition b. Caractéristiques 2. Les stratégies poursuivies a. La croissance horizontale b. La croissance verticale 3. Les avantages et les inconvénients a. Les avantages b. Les inconvénients II. Faire faire :