Babouche

meilleure présentation du produit, l’entreprise doit s’investir davantage sur la créativité, la finition et donner au produit un autre nom. Ceci lui permettra d’être concurrent sur le marché national et même extérieur. Elle peut aussi fabriquer des babouches, des sacs, des ceintures… b. le prix Le prix pratiqué est acceptable pour la pénétration du marché. Néanmoins l’entreprise doit être vigilante sur l’application des prix. c. la communication Comme il s’agit d’un produit

« Quelle cacade, quelle cacade, quelle cacade, quelle cacade… », « Les chiens ont des puces, les chiens ont des puces. » Et d’autres encore, qui, de surcroit, forment des assonances et des allitérations, par exemple en « ouche » : « Bouge pas la babouche. », « Touche ta mouche, mouche pas la touche. », « La mouche bouge. », « Mouche ta bouche. », « Mouche le chasse-mouche, mouche le chasse-mouche. ». Le nombre de points d’exclamation est lui aussi élevé, cela nous indique que les personnages sont

parties furent peu intéressantes : son repas seul, un petit peu de foot à la TV, sa toilette avant de se coucher puis lorsqu’il s’endort. La suite nous fut plus d’utilité : le réveil de notre futur décédé. Il se réveille, descends en mettant ses babouches, sur son chemin, il entrouvre son tiroir et sort le gros calibre. Voilà qu’il entre dans la salle à manger puis …quelques secondes après le voilà qui repasse dans le champ visuel de la caméra. - Mais c’est impossible ! - Quoi donc Mr le commissaire

fille venue d’ailleurs, qui ne parle pas leur langue, qui ne peut pas partager leur joie pendant les fêtes religieuses (le Ramadan, le Mouloud, l’Aïd El Kébir, Achoura...), qui refuse de porter le costume traditionnel (le caftan, la djellabah, les babouches...). Pendant les réunions familiales et les cérémonies, elles se sentent observées, dévisagées, parfois désahbillées du regard. Les différences culturelles et religieuses s’avèrent donc à la base de ces conflits et de ces désaccords, la non-acceptation

crin et que cela te | |serve d'épée. Porte-la suspendue à ton cou". Et la jeune fille fit ce que le cheval commandait. | |- " ... prends ici au coin de ma paupière gauche, un cil, et fais-t'en une paire de babouches". Quand tout ceci fut fait, la jeune | |fille avait pris l'apparence d'un homme. | |

narrateur, elle prétend être une Cherifa. Le narrateur la déteste parce qu'elle inspire le dégoût. Elle a deux pièces au 2 ème étage dans l'impasse de zenkat Hajjama. 13.                       Moulay Larbi : le mari de Lalla Aïcha. Il fabrique des babouches. Il a eu des litiges avec Abdelkader son associé qui était avant son ouvrier. Il s’est remarié avec la fille d'Abderrahman le coiffeur. 14.                       Sidi Mohammed ben Tahar : un coiffeur qui habitait le quartier du narrateur. Sa mort

technologie au niveau local et les difficultés administratives. • Les substituts Un grand nombre de substituts peut être identifié. En considérant que les chaussures de sport n’ont qu’un usage vestimentaire, elles peuvent se substituer aux babouches, souliers, sandales etc. Et si leur utilité n’est que pour la pratique du sport, elles peuvent êtres remplacées par les « tic-tic », les « baba-gualé », les « tiguana » etc. • Les rivalités La Sportmaxi n’est pas confronté sur le plan national

aujourd’hui une plaie ouverte. Début février 2010 on parle de criminaliser la guerre d’Algérie sous un système de génocide). Cette guerre fait passer la IV rép à la V. Pieds noirs (colons) : 1million // babouches : 7 millions (camus, Bruel). Algérien sont souvent musulmans. On demande aux babouches de laisser leurs terres … cette guerre traumatise la France et la France ne veut pas lâcher l’affaire car là-bas : pétrole, gaz et on fait des essais nucléaires dans le Sahara…19.03.62 : fin de la guerre

un manteau noir souvent doublé de | | |rouge à l'intérieur, ses pieds sont chaussés de savates noires ou de | | |babouches à la turque avec les pointes retournées vers le haut. Sur le | | |visage, le masque caractéristique  met en évidence son nez crochu, ses | |

broderie avait atteint au Maroc. Les villes de Marrakech et d'Agadir renvoient pour leur part, à l’illustre civilisation berbère, à travers la fabrication de selles et de ceintures, tissées de fil d’or ou d’argent, ou de soie naturelle. Les babouches, les sacs, les sacoches de selle sont eux aussi, d’une extraordinaire finesse d’exécution. Une étonnante modernité La broderie reste, sans aucun doute, l’une des caractéristiques marquantes de l'artisanat marocain, même si elle est