Bâle

européen bancaire. 1999 : mise en place de la monnaie unique. 2002 : introduction des pièces et billets en euro. 2007 : entrée en vigueur de la directive sur les marchés d'instruments financiers. 2008 : mise en place du ratio européen de solvabilité (Bâle II). 2009 : entrée en application de la 3e directive sur la lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme. 2009 : transposition de la directive sur les services de paiement (DSP). 2010 : création de l'Autorité de contrôle

américano-britannique, réalisé par Christopher Nolan, est basé sur le célèbre personnage de fiction DC Comics, Batman. C'est la suite de Batman Begins, sorti en 2005. Cet opus décrit la confrontation entre Batman, interprété pour la seconde fois par Christian Bale, et son ennemi juré le Joker, joué par Heath Ledger qui est décédé le 22 janvier 2008, avant la sortie du film. Dans la continuité de cette série de films, il s'agit de leur première rencontre, quoique légèrement annoncée à la fin de Batman Begins

contexte, une réflexion a été engagée au niveau international, notamment au sein du Comité de Bâle, afin, d’une part, de mieux appréhender, dans le calcul des exigences de fonds propres, les risques autres que les risques de crédit et de marché et, d’autre part, de formuler des propositions spécifiques quant aux modalités de contrôle du risque de non-conformité. Le document consultatif du Comité de Bâle du 27 octobre 2003 sur la fonction de conformité dans les banques —Consultative Document on

Le risque de crédit – VaR I. Introduction de la VaR La Value at Risk, ou « valeur en risque », est un instrument de mesure du risque extrême, issue du cadre de J.P .Morgan. Créée par le comité de Bâle II, elle fixe le montant minimal de capitaux propres dont doivent disposer les banques. Elle est largement utilisée pour déterminer l’exposition aux risques de marché d’un portefeuille, c’est-à-dire qu’elle va identifier les pertes probabilisées du portefeuille. Ce dernier sera alors modélisé

III/ LES RISQUES OPERATIONNELS : - les risques opérationnels proviennent d’une inadaptation ou d’une défaillance des procédures, des membres du personnel, des systèmes internes ou des événements extérieurs (grèves, inondations, attentats…). Bâle II a étendu ce risque aux prestataires à qui la banque confie ses activités externalisées, et il comporte également les risques juridiques et de non-conformité. - les risques juridiques proviennent de tout litige avec une contrepartie, conséquence

en place d’un PCA ayant était retracées, il semble important de déterminer les risques couverts par le PCA. Le PCA et la Gestion du risque Risque opérationnel : une des limites de Bâle I était la non prise en compte des risques opérationnels dans les allocations de ressources en couverture des risques. Bâle II, dans son second pilier (Amélioration du processus de surveillance prudentielle) a rendu obligatoire l’intégration de facteurs aléatoires (risques météorologique, accidentel, faute humaine

bancaires a été due, d’une façon ou d’une autre, à une concentration du risque de crédit. À la suite de l’examen préliminaire de cette question à la cinquième Conférence internationale des responsables du contrôle bancaire en octobre 1988, le Comité de Bâle a mis au point un document de travail pour la sixième Conférence internationale à Francfort en octobre 1990. Ce document a été largement approuvé et, compte tenu de diverses observations présentées à cette occasion, il est de nouveau publié sous forme

N° du Sujet : 10CE20 Page : 1/7 ► QUESTION 1 (9 points) a) 3 points b) 3 points c) 3 points I a) TRAVAIL À EFFECTUER Définissez le risque opérationnel dans la banque. Pour quelles raisons ce risque s’estil accru depuis Bâle I ? Définition du risque opérationnel : Un risque opérationnel dans la banque correspond aux risques de pertes résultant de carences ou de défauts attribuables à des procédures, personnes et systèmes internes ou à des évènements extérieurs. Le risque

solvabilité pourtant imposés par les accords Bâle I puis Bâle II, ce qui a eu des conséquences dramatiques sur la stabilité du système économique et financier international. Aussi, les banques ont alors été considérées comme les responsables directs de la crise financière qui a démarré en 2007. C’est pourquoi, les autorités de contrôle prudentiel se sont attachées à renforcer et à durcir les exigences en matière de fonds propres des banques (accords de bâle III) et ce, afin de limiter voire éliminer

Partie III – Historique………………………………………………………….23 – Actionnariat………………………………………………………24 – Organisation……………………………………………………….25 Chapitre II : Les risques liés à l’activité Crédit…………………………………..29 SECTION I – Rappel du risque crédit & du comité de Bâle II……………………..29 SECTION II – Les composantes du risque de crédit…….…………………………..35 SECTION III – Les conséquences du risque crédit……….. ……………………….40 Chapitre III : La gestion du risque crédit pratiquée au sein d’Attijariwafa Bank………………………………………………………………