Bâle

la fin des années 1980 sur les marchés financiers aux États-Unis par la banque Bankers Trust et popularisée par la banque JP Morgan en 1993 et son service (gratuit et public) Riskmetrics puis adoptée sous une forme embryonnaire par le Comité de Bâle (Bâle II) pour les banques et Solvabilité II pour les assurances. Principales caractéristiques La VaR d'un portefeuille dépend essentiellement de 3 paramètres : * la distribution des résultats des portefeuilles. Souvent cette distribution

professionnelles ou la méthode de Z-score pour déterminer le risque de défaillance des entreprises, le Comité de Bâle II propose le système de notation interne comme un nouveau moyen de gestion de risque de crédit qui servent à l’évaluation des risques de crédit, à l’attribution des notations internes et à la quantification de l’estimation des pertes . La banque d’Etat du Vietnam a traduit ces exigences de Bâle II par la décision 57/2002/QD-NHNN portant sur les règles de base pour la construction d’un système

Le comportement du consommateur Low Cost  HASSOUNI Kenza  2007 La conception du Tableau de bord de la Direction Générale de BETOMAR  AFQIR Hassan  2007 Lancement d’un nouveau vaccin : ROTARIX  Hassabou Dounia  2007 Enjeux Bâle II sur les établissements de crédit marocains pour la gestion du risque de crédit: Cas de BMCE BANK  MARJANE Hasna  2007 Conception d'un tableau de bord prospectif pour le groupe INIMER  HARMAK Reda, HRAR Mehdi  2007 Alternatives

les fonds propres disponibles. 9. La Banque entretient et développe de façon continue sa culture et ses compétences en matière de gestion des risques. Elle s’oriente en particulier sur les pratiques de référence et les recommandations du Comité de Bâle. 10. La Banque veut maîtriser elle-même l’ensemble des techniques de gestion des risques qu’elle utilise. Rapport annuel 2009 145 1.3 Structure des risques La Banque surveille quatre catégories de risques pour l’ensemble de ses activités

sur l'utilisation des filets dérivants. Greenpeace avait révélé le caractère destructif de cette méthode de pêche[réf. nécessaire]. 1991: Signature du traité de l'Antarctique interdisant l'exploitation minière pour 50 ans8. 1994 : la convention de Bâle interdit l’exportation de déchets toxiques, des pays OCDE vers des pays non OCDE[réf. nécessaire]. 1995 : Shell se résigne à ne pas couler la plateforme pétrolière de Brent Spar en Atlantique après les actions de Greenpeace8. 1997 : après une longue

nécessité de mettre en place des plans de continuité d’activité. → Annonce du plan I. Le PCA, élément essentiel de la Gestion du risque opérationnel : La méthode d’évaluation, dite ratio Mc Donough, du nom de l’ancien président du comité de Bâle, est entré en vigueur début 2008. Elle intègre, élément nouveau, le risque opérationnel, qui désigne les risques imputables au facteur humain, aux systèmes et procédures, aux causes extérieures. → Le PCA est issu du CRBF 97-02, complété par un règlement

économiques mondiaux s’accordent sur le nécessaire renforcement de la règlementation et du contrôle des banques et des acteurs financiers en général. Cette exigence a notamment été exprimée par le FMI, le G20 et le Comité de Bâle. Ce dernier l’a concrétisé par les accords Bâle III sur la règlementation bancaire en prônant une amélioration qualitative et quantitative des fonds propres des banques. Ainsi, est mise en lumière la nécessité de mettre en place des outils macro-prudentiels. II/ Toutefois

établissements de crédit cèdent, sous forme d’obligations, les crédits donnés. Ce procédé, qui ne concerne pas seulement les crédits immobiliers mais aussi, par exemple, les prêts pour l’achat d’une voiture, s’appelle la titrisation. Ce sont les accords de Bâle I (Ratio Cooke) qui ont incité les établissements de crédit à titriser leurs crédits afin d’alléger leur besoin en capitaux propres. Ratio Cooke: (Capitaux propres)/(∑▒〖actifs pondérés par le risque〗)≥8% La diminution du besoin en fonds propres amenait

comme plus spécifiquement des professionnels de l’intermédiation financière. En effet, tant l’acclimatation des normes comptables internationales (IAS ou IFRS) en Europe dès 2005, que le raffinement progressif des documents consultatifs du Comité de Bâle, deuxième du nom, au sujet de la réforme du ratio de solvabilité bancaire, participent de l’accompagnement de la mondialisation des transactions financières. Force est aujourd’hui de reconnaître que la Tour de Babel comptable, où chacun des organes

seconde partie : A l’ origine de ses moyens se trouve les banques centrales qui se sont organisées depuis 1974 pour favoriser l’harmonisation des règles et contrôle des opérations bancaires. Normes de gestion Bâle II Ces normes de gestion sont maintenant appelées sous le nom de Bâle II elle repose sur trois piliers : * Pilier 1 : L’exigence minimale de fonds propres doit couvrir le risque opérationnel, le risque de crédit et les risques du marché. Notion du ratio de solvabilité : qui établit