Ballade des pendus

Sommaire 1-Présentation…………………………………….….2 2- La ballade des pendus- F.Villon……………….…3 3- Fatras-G.Flamant………………………………....5 4- Je n’ai plus que les os…-P.Ronsard……………...6 5- J’ouvre mon estomac, une tombe sanglante- T.A d’Aubigné………………………………..…...7 6- Sur la mort d’une dame-G de Scudéry…..............9 7- La mort et le malheureux-J de La Fontaine…......10 8- La fontaine du cimetière- T.Gauthier………...…11 9-Les morts du 4 décembre-V.Hugo…………….......13 10-Une charogne-C.Baudelaire…………………

choisir de parler de choses horribles et macabres qui divergent totalement de ce que les gens ont l'habitude de lire dans les poésies et qui est donc loin du traditionnel et du beau. Par exemple, dans La Ballade des pendus de Villon, il nous décrit d'une manière assez crue la situation du corps des pendus après pendaison, alors qu'il se décomposent. Pour cela il utilise donc des adjectifs forts tels que « piéça, dévorée et pourrie » pour la chair. Il parle également d'« yeux cavés », de barbe et de sourcils

Baudelaire, Les Fleurs du mal, (1857). T4 : La courbe de tes yeux – Paul Eluard, Capitale de la douleur (1926), p. 268. Lectures cursives Comment les poètes décrivent-ils et jugent-ils le monde qui les entoure ? L’épitaphe Villon (ou la ballade des pendus) – François Villon (1489) Les tragiques, VII – Agrippa d’Aubigny (1616) Les fleurs du mal (1857) – section Spleen et Idéal – Charles Baudelaire Documents et activités complémentaires Histoire des Arts : Le surréalisme, un art de l’étrangeté 

une fascination perverse sur les hommes de cette époque. Ce goût pour la pathologie est un trait constant dans les œuvres littéraires du XVe siècle. Ainsi, Villon , le seul grand poète de ce siècle infécond, fait parler des cadavres dans sa Ballade des Pendus :. - page 1/2 - Olivier De La Marche nous rappelle que . Le Roi René D’Anjou présente une prosopopée d’un cadavre féminin :. La femme étant le symbole de la beauté, la décomposition

écrits en français. Le prince poète Charles d'Orléans le prend même un temps sous sa protection mais son tempérament de marginal le rattrape constamment : il est même condamné à mort. Il écrit alors dans l'inquiétude tourmentée la célèbre Ballade des pendus : «Frères humains, qui après nous vivez, N'ayez les coeurs contre nous endurcis, Car, si pitié de nous pauvres avez, Dieu en aura plus tôt de vous mercis. Vous nous voyez ci attachés, cinq, six : Quant à la chair, que trop avons nourrie

la source de la création artistique. Ainsi, pour Baudelaire, ce n’est plus la douleur qui anime le travail du poète mais l’horreur du monde qui l’entoure. On retrouve cette idée au XVIe siècle dans “La Ballade des pendus” de Villon, description morbide de la décomposition lente des condamnés pendus, qui se fait publiquement ce qui accentue le caractère choquant de ce poème. A cela s’ajoutent les images malsaines qu l’on retrouve dans le poème avec, à titre d’illustration, l’idée du pillage de leur

TEXTES COMPLÉMENTAIRES SEQUENCE 4 TEXTE 1 François Villon La Ballade des Pendus TEXTE 2 Charles Baudelaire « Une Charogne » Les Fleurs du Mal 5 10 15 20 25 30 35 Frères humains, qui après nous vivez, N'ayez les cœurs contre nous endurcis, Car, si pitié de nous pauvres avez, Dieu en aura plus tôt de vous mercis9. Vous nous voyez ci attachés, cinq, six : Quant à la chair, que trop avons nourrie, Elle est piéça1

Prévert), la misère (), les discriminations (Etranges étrangers, Grand bal du printemps, de Jacques Prévert, (poème sur les Etrangers et la France), … Le domaine religieux : fanatisme et intolérance (Les pauvres à l’église de Rimbaud), ( La Ballade des pendus de François Villon) Cette fonction peut être liée à la fonction satirique de la poésie qui critique les vices et les ridicules des hommes, qu’il s’agisse d’individus ou de groupes sociaux, ou encore de toute une société (les Satires de

Dieu sait par quels détours, vers vous deux, de très loin ou déjà tout près, mais sois tranquille, elle vient : d'un à l'autre mot tu es plus vieux. Philippe Jaccottet, L'Effraie TEXTE B : François Villon, LA « BALLADE DES PENDU  - Méditation sur la peine de mort » Frères humains qui après nous vivez, N’ayez les cœurs contre nous endurcis, Car, si pitié de nous pauvres avez, Dieu en aura plus tôt de vous merci, Vous nous voyez ci attachés, cinq, six, Quant de

«testaments...tombeaux» Il ne veut laisser aucune trace de sa mort Il ne veut pas que quelqu'un souffre de sa mort. -4 «j'aimerais» Il exprime le désir de ne laisser pas de trace de sa mort. Dans ces vers se trouve aussi une référence à La ballade des pendus de François Villon. Dans ces 2 strophes, il y rédige ses souhaits pour sa mort. Il s'écarte aussi de toute forme de cérémonie contrairement aux gens normaux. Ces strophes représentent la vie, d'où la présence du champ lexical de la nature