Baruch Spinoza

parle dans de l'état Civil avec se qu'il appelle le contrat social n'est en réalité pas un vrai changement,dans la mesure où il ne se produit jamais. L'Homme naissant dans une société est immédiatement sujet à la liberté Civil. Et comme l'affirme Spinoza dans Éthique IV proposition XXXV, « ils [les Hommes] ne peuvent guère mener une vie solitaire » il doivent donc tous vivre en société. Mais c'est en étant l'ennemi de la liberté naturelle que l’État peut se permettre d'être le garant de la liberté

Ça aurait pu commencer comme cela. — comme l'exposé et la démonstration d'une thèse. Le sujet est le passage de l'ère classique à l'ère quantique et l'abandon de la métaphysique classique pour libérer une pensée de l'affectif c'est-à-dire une érotique. Le thème est la « pensée du Dehors » ou « pensée du Surpli » comme l'ont nommé et anticipé Foucault puis Deleuze. Il s'agit d'une pensée non métaphysique qui pose les forces et non les formes ou encore la complexité plutôt que la subjectivité. Elle

Développement de la dissertation de philosophie avec comme sujet « Qu'est-ce que perdre son temps ? » « Perdre son temps » est une expression couramment utilisé par l'homme, mais qui nous fait nous interroger sur les implications de cette formulation. Nous allons tout d'abord nous interroger sur le caractère de cette perte de temps, et comment peut-elle être caractérisé. Pouvons nous qualifier cette perte de temps de nécessaire ? Cette perte n'est-elle pas propre au présent ? Le présent étant

lorsque l'on pense sommes-nous nous même, mais au même titre que lorsque l'on ne pense pas. En effet, les déterminismes, les mécanismes inconscients, qui régissent nos désirs, nos volontés, nos actions, sans qu'on le sache ni qu'on le veuille (Réf : Spinoza ), forment un ensemble qui nous est propre et ainsi nous caractérise. Il n'est ainsi pas nécessaire de penser pour être soi-même. (réf : fatalisme et déterminisme : sociaux et biologiques, réflexes conditionnés et absolus, Pavlov) réflexes conditionnés

satisfaire de ce que nous avons. Il est ce médiateur entre les hommes et les Dieux. Voilà pourquoi le désir renaît sans cesse, sa véritable quête est celle d’un objet inaccessible, le statut divin. IV. le désir comme essence de l’homme : Spinoza nous fait remarquer que nos désirs ne portent pas toujours sur un manque mais qu’ils peuvent révéler une quête de surplus d’être, une amélioration de nos conditions d’existence. L’homme est un être naturel et comme tel il est doté d’un appétit

« Le Sage, au contraire, considéré en cette qualité, ne connaît guère le trouble intérieur, mais ayant, par une certaine nécessité éternelle conscience de lui même, de Dieu et des choses, ne cesse jamais d'être et possède le vrai contentement.  Spinoza., « Le bonheur n'est qu'un résultat, il n'est pas le but. La fin, le but, c'est la perfection, le bien. » J. Leclercq.  S’il existe une infinité de "recettes" pour – soi-disant – accéder au bonheur, le mot semble parfois galvaudé et perd de sa signification

arcanes rosicruciens et les nombreux philosophes de la liberté au cours des siècles écoulés. Je ne peux en citer que quelques uns.: une grande partie des philosophes grecs dont Aristote, puis ensuite Lucrèce, Kant, Engels, Descartes, Sartre, Leibniz, Spinoza, Bossuet, Nietzsche, Bakounine, Cournot, Hume, Léon XIII, Rousseau, Pufendorf, Montesquieu, Marx, Valéry, Fourrier, Schopenhauer, Laporte, etc., etc., et j’en oublie de nombreux, bien entendu. De surcroît, Wikipédia et de nombreux auteurs ont déjà

savoir, ce qui laisse aussi une trace de lui après sa mort. Par ces exemples, il est possible de montrer que le désir d’immortalité de l’Homme n’est physiquement parlant pas réalisable, mais par son esprit, l’Homme peut rester en partie. Le philosophe Spinoza à aussi dit : « Le désir est l’essence même de l’Homme ». cette citation montre bien que l’Homme ne peut s’empêcher de désirer et que même le plus sage des Hommes (dont le rôle et de satisfaire uniquement ses besoins et non céder à ses désirs) désir

démontrerait que, d'après les causes données, chaque molécule agit précisément comme elle doit agir, et ne peut agir autrement qu'elle ne fait. » — Paul Henri Thiry d'Holbach, Système de la nature D'Holbach se distingue des nécessitaristes tels que Spinoza ou Hobbes en affirmant la calculabilité de la nécessité. Mais c'est à l'astronome et mathématicien Pierre-Simon de Laplace, que revient d'avoir affirmé le déterminisme universel dans toute sa rigueur : « Nous devons envisager l'état présent de l'univers

vérité dans nos paroles. Au contraire, le fait d’affirmer des propos où l’on a simplement réaliser une hypothèse, donc quand on a aucune confirmation mais seulement une intuition, augmente considérablement le risque d’erreur. Ceci est repris par Spinoza au XVIIème siècle lorsqu’il dit : « - l’opinion est - sujette à l’erreur et n’a jamais lieu à l’égard de quelque chose dont nous sommes certains mais à l’égard de ce que l’on conjecturer ou supposer » confirmant l’éloignement de l’opinion à la vérité