Basile Valentin

pas la référence à l’ acide sulfurique dont il est question. Pourtant le vitriol est bien l’élément obtenu par la cuisson du soufre et du sel, dont le coq en est le symbole alchimique. Mais à V.I.T.R.I.O L ? Les initiales de la phrase de Basile Valentin, formule hermétique, qui nous invite à rechercher la pierre cachée. “Visite l’intérieur de la terre, et en rectifiant tu trouveras la pierre cachée”. Tellement de monde s’est répandu en éloges sur ce sel minéral, qu’il est quelquefois difficile

« Aurore » tout comme fera Walt Disney après lui. Si la version de Perrault est la plus connue, elle s'inspire d'un récit plus ancien, Le Soleil, la Lune et Thalie, extrait du Pentamerone de Giambattista Basile, publié en 1634. Perrault en transforme néanmoins sensiblement le ton. Le conte de Basile, écrit pour un public aristocrate et adulte, met l'accent sur la fidélité dans le couple et l'héritage. Perrault quant à lui écrit pour un public de la haute bourgeoisie, inculquant des valeurs de patience

guère plus longtemps qu'un demi siècle. L'une d'elle, la dynastie macédonienne s'étend de 867 à 1056 et occupe l'espace des terres d'une partie de l'Italie et de la méditerranée ainsi que les terres balkaniques et d'Asie mineure. Elle débute avec Basile I° (d'origine Arménienne) après qu'il se soit débarrassé de son bienfaiteur l'empereur Michel III, dont il était le conseillé militaire, en l'assassinant. Le pouvoir restera ainsi dans sa descendance jusqu'à la mort de Théodora. C'est la dynastie

à proprement parler les contes qu'il écrit, mais s'inspire de ces contes populaires et peut-être aussi du récit : Le Soleil, la Lune et Thalie, extrait du Pentamerone de Giambattista Basile, publié en 1634, en n’en sélectionnant qu’une infime partie et en transformant largement le texte et le ton. Le conte de Basile, écrit pour un public aristocrate et adulte, met l'accent sur la fidélité dans le couple et l'héritage. Perrault quant à lui écrit pour un public de la haute bourgeoisie, inculquant des

Sur les trente-trois docteurs de l'Église, il n'y en a pas moins de seize qui appartiennent à l'époque des Pères (Athanase d'Alexandrie [docteur depuis 1568], Éphrem le Syrien [1920], Hilaire de Poitiers [1851], Cyrille de Jérusalem [1882], Basile le Grand [1568], Grégoire de Nazianze [1568], Ambroise de Milan [1215], Jean Chrysostome [1568], Jérôme [1215], Augustin [1215], Cyrille d'Alexandrie [1882], Léon le Grand [1754], Pierre Chrysologue [1728], Grégoire le Grand [1215]

d'origine orale, car de nombreuses versions orales ont été retranscrites En 1634, un autre conte avec un chat trickster comme héros est publié dans le Pentamerone de Giambattista Basile : Gagliuso[Note 4]. Ni le recueil, ni le conte n'ont été publiés en France du vivant de Charles Perrault. Dans la version de Basile, le garçon pauvre est un mendiant du nom de Gagliuso (ou Cagliuso) dont la richesse est assurée d'une manière similaire à l'histoire du Chat botté. Cependant, le conte se termine différemment

C'est l'armée des tagmata, en garnison autour de Constantinople (les Scholes, les Excubites). Ces troupes mieux entraînées, mieux payées, accompagnent l'empereur. L'armée byzantine disposait ainsi d'une force de frappe de 15000-20000 hommes. Sous Basile II, en 989, la formation d'un corps de 6000 Russes (les Varangues) marque un tournant. L'empire crée des corps de mercenaires, « romains » et étrangers. Au XIe siècle, alors que l'armée thématique disparaît, les anciens tagmata perdent aussi de l'importance

d'origine orale, car de nombreuses versions orales ont été retranscrites4. En 1634, un autre conte avec un chat trickster comme héros est publié dans le Pentamerone de Giambattista Basile : GagliusoNote 4. Ni le recueil, ni le conte n'ont été publiés en France du vivant de Charles Perrault. Dans la version de Basile, le garçon pauvre est un mendiant du nom de Gagliuso (ou Cagliuso) dont la richesse est assurée d'une manière similaire à l'histoire du Chat botté. Cependant, le conte se termine différemment

contexte qu´apparait le premier empereur Macédonien, Basile Ier, en 867. Cette période, dite de Renaissance Byzantine ou Macédonienne, est surtout celle de nombreux empereurs lesquels tâcheront de ramener l’ordre à Byzance. Basile Ier est le fondateur de la dynastie (867-886) puis lui succéderont Romain Lécapène (919-944), Nicéphore Phocas (963-969), Jean Tzimiscès (969-976), usurpateurs qui gouvernèrent sous le nom des princes légitimes, Basile II enfin, qui régna tout un demi-siècle (976-1025).

notamment la paix avec la dynastie fatimide en 1001. Au nord, la situation est plus complexe. Cyril et Méthode, « les apôtres slaves » vont convertir les Bulgares au christianisme puis la Russie en 989 avec le baptème de Vladimir de Kiev. Le règne de Basile II marque aussi une apogée militaire de Byzance : le Danube redevient une frontière nord grâce à la conversion des slaves. L’empire redevient un grand un empire au rayonnement sans précédent. La dynastie macédonienne cherche à effacer les traces