Bazar de l'Hôtel de Ville

expositions un ouvrage Les Grands Magasins parisiens sous la direction de Béatrice de Andia Déléguée générale de l’Action Artistique de la Ville de Paris Le Bon Marché, (détail), Félix Vallotton, huile sur carton, 1898, Collection privée © Fondation Félix Vallotton, Lausanne Caroline François Presse Florence Claval Contact : Action artistique de la Ville de Paris 25, rue Saint-Louis en l’Ile 75004 Paris tel : 01 43 25 30 30 fax : 01 43 25 17 69 www. aavp.com mail : florence.claval@aavp.com

assemblant deux objets usuels. 
 Porte-bouteilles, 1914 (1964)
 (Séchoir à bouteilles ou Hérisson) 
Porte-bouteilles en fer galvanisé 64,2 x 42 cm En 1914, avec le fameux Porte-bouteilles, acheté au Bazar de l’Hôtel de ville, Duchamp élabore le concept des ready-made. (1) ready-made : “objet usuel promu à la dignité d’œuvre d’art par le simple choix de l’artiste”. Fontaine, 1917
 Urinoir retourné, porcelaine 
63 x 48 x 35

chaussures pour femmes qui devient, avec sa superficie de 3000m2, le plus grand magasin du monde en matière de chaussures (derrière Selfriedges à Londres). En 1991, le groupe La Fayette détient la totalité des Galeries Lafayette, du BHV (Bazar de l'hôtel de ville), et du Monoprix. L'achat de ces magasins souligne la richesse financière du groupe.  Stratégie de vente par la publicité : Les Galeries Lafayette sont connu de la majorité des personnes grâce aux publicités qu'elles réalisent.

| |XIVe siècle | |Vers 1360, Charles V s'établit à L'hôtel Saint-Pol, nouvellement construit. | | | | 

d'improvisation, le théâtre expérimental, le théâtre installation performance, la danse-théâtre (ou théâtre-danse), le théâtre de l'absurde et ainsi de suite. Il y a beaucoup de théâtres français connus. Par exemple, Grand Opéra (Paris), Le Lido, Théâtre de la Ville, Opéra Bastille, Le Moulin Rouge. Le Moulin Rouge est un cabaret parisien fondé en 1889 par Joseph Oller et Charles Zidler. Il est situé sur le boulevard de Clichy dans le 18e arrondissement, au pied de la Butte Montmartre1. Son style et son nom

du récit concerne le départ de Rory Stewart. Il quitte l'hôtel et fait la rencontre de ses compagnons de route Abdul Haq et Qasim. Après quelques jours, un troisième homme les accompagnera : Aziz. Avant sa marche, l'auteur (comme la plupart des gens) avait une vision chaotique, voire apocalyptique de l'Afghanistan. Quelques étapes lui ont ainsi permis de faire de belles découvertes. Il écrit « Je n'avais pas prévu la chaleur souriante du bazar ni la beauté paisible de ce jardin raffiné. » De la

vitrées était assez révolutionnaire : les rivets métalliques considérés alors comme vils étaient visibles partout. En 1928, pour la construction du magasin n° 2 situé face à la Seine (et le long de la rue de la Monnaie), la commission esthétique de la Ville de Paris ne voulait pas d'éléments métalliques à proximité du Louvre. Alors les architectes Henri Sauvage et Frantz Jourdain façonnèrent une structure métallique entièrement couverte de pierre de taille et de sculptures Art Déco. L'intérieur a conservé

femmes et des cours d’escrime pour les hommes et des cours d’anglais pour former les gens et aller dans les colonies anglaises et négocier. La magasin a tellement de succès qu’il est copié Boucicaut est d’abord copié sur Paris : BHV le Bazar de l’Hôtel de Ville 1856. Le point fort de BHV est le rayon du bricolage (choix pharamineux). 1665 : le Printemps, 1869 : la Samaritaine, 1895 : les Galeries Lafayette. Le concept s’étend aussi en province. A Reims il y avait les magasins modernes : les

Sédentarisation/villes/corporations • Loi le Chapelier 1791 1850-1950 Les grands magasins • 1852 Le bon marché, Aristide Boucicaut • 1855 Le louvre, Hériot et Chauchart • 1856 Le bazar de l’Hotel de Ville, Xavier Ruel. • 1861 Les Nouvelles Galeries, Aristide Canlorbe • 1865 Le Printemps, Jules Jalouzot • 1870 La Samaritaine, Ernest Cognacq et Louise Jay • 1895 Les Galerie

Dijon, à Bourges, à Angers ou à Moulins. Ainsi, en Angleterre, à Londres ; en Espagne, à Madrid ; dans l'Empire, à Prague avec Charles de Luxembourg. Plus encore en Italie à Bologne, ville marchande imposent leur seigneurie pendant trois générations et fastueux arrogants se conduisent comme les véritables maître de la ville, de même à Florence avec les Médicis, sous Laurent le Magnifique après le retour au pouvoir de la famille, en 1512. Ce triomphe de la société de cour princière tient à plusieurs