Boccace

 Fables humain • La Fontaine, Fables • Une  fable  comporte  toujours  une  morale  et  a  souvent  une visée critique • Récit fictif qui se distingue du roman par sa forme brève • Texte plutôt bref, à visée critique • un récit fictif écrit en prose • Boccace, Le Décaméron • E. Zola, J’accuse • E. Zamiatine, Nous autres Fable Nouvelle Pamphlet Roman © Tous droits réservés Studyrama 2006 Fiche téléchargée sur www.studyrama.com  

imperméable à ce genre littéraire si prisé par les Anglais et les Américains, elle compte de nombreux auteurs qui s'y sont essayés : Maupassant et Villiers de L'Isle-Adam, pour ne citer qu'eux. Le premier grand auteur de nouvelles est un italien, Boccace, auteur du Décaméron, un recueil comprenant cent courtes histoires. En ce qui me concerne, j'ai écrit ma première nouvelle au cours de mes études universitaires. Elle s'intitulait Duel et était sans doute la pire histoire que j'ai jamais déconstruit

Elle est surnommée la dixième des muses. Son recueil de nouvelles, l'Heptaméron, est le plus célèbre de ses ouvrages, il a été publié de façon posthume en 1558. Publié, mais non achevé. En effet, ce recueil est constitué d'après le Décaméron de Boccace : Lecture p.65 et 66. Or il ne contient que 72 nouvelles. Donc chaque journée est constituée de 10 nouvelles. La nouvelle 62 commence donc la septième journée. L'Heptaméron raconte l'histoire de dix personnes de rang social élevé, 5 hommes et 5 femmes

La Comédie ou Divine Comédie (en italien Commedia /komˈmɛdja/ ou Divina Commedia /diˈvina komˈmɛdja/ : l'adjectif Divina (Divine) attribué par Boccace, se retrouve seulement à partir de l'édition imprimée en 1555 par Ludovico Dolce), est un poème de Dante Alighieri écrit en tercets enchaînés d'hendécasyllabes en langue vulgaire florentine. Composée, selon la critique, entre 1307 et 13211, la Commedia est l'œuvre de Dante la plus célèbre et l'un des plus importants témoignages de la civilisation médiévale

XVIe siècle. La nouvelle naît en France à la fin du Moyen Âge. Elle vient s’ajouter, et en partie se substituer, à une multitude des récits brefs : fabliaux, lais, dits, devis, exemple, contes, etc. Directement inspiré du Décaméron (1349-1353) de Boccace, le premier recueil de nouvelles françaises, anonyme, Les Cent Nouvelles nouvelles, est probablement paru entre 1462 et 1466[1]. Mais c’est le XVIe siècle qui voit le véritable essor du genre. En 1558, avec L'Heptaméron, Marguerite de Navarre donne

en forme de vision nocturne, 1533). En 1558, on publie l'Heptaméron qui réunit soixante-douze nouvelles, unifiées par un cadre narratif dont l'unité est la journée. Ces contes ont un but didactique. Cette collection suit le style du Décaméron de Boccace. L'importance des conversations entre les devisants, qui commentent et discutent le sens de chaque récit, permet de mettre en évidence les enjeux des nouvelles, et les liens qu’ils ont tournent autour de l'amour. L’amour du corps, l’amour de l’esprit

protecteurs. Des représentations type fresque ont été retrouvées dans des bâtiments religieux comme par exemple les danses macabres. Tout cet art a permis a aidé la population a conjurer le mauvais sort. La peste inspira par exemple des artistes comme Boccace et Pétrarque. De nombreux tableaux et ouvrages nous permettent de garder une trace de cette période noire. Pour conclure, cette peste qui a tué près de 25 millions d'européens a changé les mentalités, la façon de vivre et de se protéger.

“canards”, racontant des faits divers comme des vols, des tromperies, ou des meurtres. Ces derniers ont donné aujourd’hui le mot argotique désignant le journal, qui lui même rapporte des faits divers. Directement inspiré du Décaméron (1349-1353) de Boccace, le premier recueil de nouvelles françaises, anonyme, Les Cent Nouvelles nouvelles, est probablement paru entre 1430 et 14701. Mais c’est le xvie siècle qui voit le véritable essor du genre. En 1558, avec L’Heptaméron, Marguerite de Navarre donne

parents se trouve déjà chez Ovide (-42, +17 ) : il fait du récit de Pyrame et Thisbé dans le livre IV des Métamorphoses et l'on sait que Shakespeare connaissait bien et appréciait beaucoup Les Métamorphoses d'Ovide. Dans Le Décaméron de Boccace(1350), on peut lire dans la dixième journée un récit au titre évocateur La morte vivante qui raconte comment Gentil de Carisendi arrache au tombeau la belle Catalina que l'on avait crue morte et enterrée et dont il était amoureux. Mais, hors ce motif

nul ne peut échapper au fléau et il trouve pour dépeindre son angoisse et sa désespérance cette frappante expression : « J'écris, dit-il, en attendant la mort au milieu des morts » (inter mortuos mortem expectans) ; il n'y échappa d'ailleurs pas. Boccace, dans l'Intr oduction au Décaméron, décrit les cortèges funèbres collectifs et les grandes fosses communes où sont déposés les cadavres, jointifs, comme des balles de marchandises dans la cale d'un navire. Par tout les cimetières sont trop petits;