Carré blanc sur fond blanc

Culture artistique et publicitaire Kasimir Malevitch - Carré noir sur fond blanc 1913 1. Biographie de l’artiste Kasimir Malevitch est né à Kiev le 23 février 1879 et est décédé à l’âge de 56 ans, le 15 mai 1935. L’artiste est d’origine polonaise et a vécu dans l’Empire soviétique. Il a commencé son parcours par une formation de dessinateur technique à Moscou, à l’âge de 23 ans. Malgré ces études, il développa par lui-même son propre style, s’inspirant des courants tels que le réalisme

culture. la preuve étant que Pour montrer ce nouveau départ, le Carré noir sur fond blanc, exposé parmi d’autres œuvres suprématistes, était accroché dans l’angle de la pièce, à la place habituellement dévolue aux icônes religieuses. On peut considérer que pour Malevitch, cette nouvelle icône « efface et annule » la précédente, ouvrant ainsi la voie à une autre forme de spiritualité. Malevitch peint une toile où sur un fond blanc est représenté un seul pictural : un « quadrilatère » noir qui

échange d’emails à propos du sujet. Débat, donc, entre Anaïs, Manon et Maria. ANAÏS Manon ne comprend pas carré blanc sur fond blanc, pour elle s'est une réaction trop poussée. Pourquoi aller jusqu'à là ? Aujourd’hui, l'art n'est plus beau quand on le regarde, mais ce qui compte c'est l'effet que l'œuvre doit produire sur ce spectateur…  Moi je pense que carré blanc sur fond blanc, était dans la démarche, intéressant. L'histoire de l'art est un cheminement où tout à été construit puis déconstruit

profondeur dans des œuvres qui par exemple nous dérange. Une des ouvres que j'apprécie particulièrement est celle du Carré blanc sur fond blanc de Malevitch. Malevitch était un Russe, il a fait cette œuvre en 1918, on peut alors se poser des questions sur sont œuvre : si elle avait un lien avec son époque, mais encore qu'est ce que veux nous dire ce simple carré blanc sur un fond blanc ? On peut partir alors sur deux pistes : une interprétation sur ce qu'il a voulu nous dire, ou bien, sur ce que ça

(1881-1964) Rayonnisme bleu, 1912[pic] PHASE 2.1 : SUPREMATISME Kasimir Malevitch (1978-1935) Carré noir sur fond blanc, 1915Suprématisme 58[pic][pic] Suprematisme, 1915 Suprématisme magnétique, 1916 Suprématisme dynamique, 1916[pic] Carré blanc sur fond blanc, 1917[pic] Lioubov Popova (1889-1924) Architectonique picturale, 1918 [pic]Olga Rozanova (1886-1918)

ensemble de 39 œuvres qu'il appelle "suprématistes", dont Quadrangle, surtout connu comme Carré noir sur fond blanc que Malevitch instituera plus tard en œuvre emblème du suprématisme. Avec la Révolution de 1917, Malevitch accepta des fonctions institutionnelles comme enseignant (à l'école d'art de Vitebsk puis à Petrograd) et chercheur, et lutte pour la démocratisation. En 1918 il peignit Carré blanc sur fond blanc, qui est considéré comme le premier monochrome de la peinture contemporaine. En 1927

différents, dans les personnages de voyous dormeurs, dans la salle vide et triste, du violet et du bleu. Le rouge sang et le vert jaune du billard contrastent avec le petit vert tendre Louis XV du comptoir, où il y a un bouquet rosé. Les vêtements blancs du patron, veillant dans un coin dans cette fournaise, deviennent jaune citron, vert pâle et lumineux. (...) C'est une couleur alors pas localement vraie au point de vue réaliste du trompe-l'oeil, mais une couleur suggestive d'une émotion quelconque

peinture à été libérée de la représentation.(mimesis) Alors la peinture n'a plus eu comme fonction de représenter le réel. Elle a peu se consacré à elle même, avec l'impressionnisme, fauvisme, cubisme, abstraction, abstraction pure 1912 Carré blanc sur fond blanc Malevitch. Gérard Richter fait un retour sur la photographie avec un effet de réel. Par quel éléments contrait peuvent distinguer une bonne oeuvre d'une mauvaise oeuvre. 2 position possibles: pur subjectivisme (tout est relatif,

nuance et valeur. «Le Carré blanc sur fond blanc» réalisé en 1918 par Kasimir Malevitch est souvent considéré comme le premier monochrome de la peinture contemporaine. Nous devons cette année en proposer un, en adéquation avec une intention personnelle pour un projet inscrit dans une démarche artistique. Nous sommes invités à créer ce monochrome d'une dimensions de 1 mètre sur 1 mètre. Ainsi, je souhaite travailler sur le rapport de la couleur écrue, sorte de blanc-cassé, blanc impur, appliquée

douloureuse. Yasmina Réza a ficelé, en très fine dialoguiste, cette comédie, en réalité très ambitieuse, malgré quelques vannes faciles sur la psychanalyse, les belles-mères et, surtout, l'art (attention au rire gras sur l'abstraction, le Carré blanc sur fond blanc de Malevitch est un chef-d'oeuvre qui a beaucoup marqué Martin Barré, très bon peintre disparu l'année dernière, dont les toiles ont inspiré ici Yasmina Reza). Et nos trois matous déchaînés honorent largement leur contrat. Vaneck, jaloux