Cercle chromatique

début de la première et aboutissant par chromatisme en un sib majeur napolitain (quoique cassé par le si bécarre) qui permet de revenir en la mineur. La transition se fait sur des arpèges montants en triolets de doubles croches suivie d'une gamme chromatique descendante permettant de revenir à la partie principale. La pièce ne comporte pas de coda mais certains pianistes ralentissent à la fin pour donner aux auditeurs une impression d'achèvement.

Cette impression de convergence est renforcée par une montagne haute et pointue. La ligne verticale est figurée par le Christ et cette montagne, les lignes horizontales convergent également vers lui. On constate l’utilisation d’une large gamme chromatique pour représenter toutes les couleurs du paysage, du ciel et des nuages, des personnages. Cependant, le rouge vif n’est utilisé que pour le Christ. On remarque également que le traitement des étoffes est inégal. Les personnages du second plan ont

pour nimber l’espace d’une ambiance d’autant plus inattendue que les sources de lumière demeurent invisibles à l’œil du visiteur. Gamme chromatique plus tranchante également : retour aux couleurs primaires d’autant plus éclatantes qu’elles viennent crépiter à la surface d’un béton grisaille. De fait, ces halos colorés en suspension mystique, ces nuages chromatiques en lévitation, transforment la couleur en matière quasi insaisissable, en dépit de sa forte présence. Sans doute, avec des moyens fort

Eveil et jeux se positionne sur l’ensemble du marché du jouet des 0-12 ans. Le zoning nous le prouve. En effet la segmentation de l’offre, dans le magasin, est faite à partir des sous-ensembles de ce marché. Les produits sont répertoriés dans un premier temps par famille et ensuite plus précisément par sous-famille. Dans le magasin on remarque des regroupements par famille assimilés à une couleur, présents au niveau du plafond. En dessous de chaque famille, des étagères sont présentes avec une

texte nature (type) + auteur (nom, période, courant politique, etc...) + dates, contexte ( => lieu, événement, période) + idée principale + intérêt / destinataire (pour qui ? style ?) Tableau nature (courant pictural, taille, gamme chromatique) + auteur (nom, niveau de célébrité) + dates, contexte ( => période) + idée principale (thème) + intérêt / destinataire (quelle évolution artistique ? quel témoignage ?) carte nature (type et échelle) + auteur (source) + dates,

réalisation Comme pour le croquis, on commence par la légende et le choix des symboles : Les types de signes a) Les symboles 1. Les figurés ponctuels   Pas de symboles figuratifs Uniquement des symboles géométriques : carrés, cercles, triangles, losanges, barres, demi-cercles et ces informations qualitatives mais quantitatives aussi selon les variables utilisées, que l’on peut associer, et qui sont : Taille du symbole Couleur du symbole Epaisseur du trait Couleur du trait Les traits de divers types

fourchettes qui va permettre à la harpe, de rivaliser à nouveau avec les autres instruments chromatiques. Pour des raisons pratiques, en privilégiant de passer une pédale au lieu d'une autre, les harpistes ont souvent recours aux homophones ou notes enharmoniques (homophonie). Pour répondre à ces critiques, en 1894, Gustave Lyon, directeur de la maison Pleyel, essaya de reprendre le principe des harpes chromatiques à double rangées de cordes croisées. Debussy composa pour cet instrument ses Danses sacrées

chez Wagner, et qui n’ont cessé après lui de se diversifier et de s’étendre. Schoenberg abolit l’interdépendance des notes entre elles, et du même coup toutes les notions de tonique/dominante, tension/détente. Il traite les douze sons de la gamme chromatique sur un pied d’égalité. Ce bouleversement de l’écriture musicale remet en question : – la forme musicale car l’élément structurant qui est le thème perd peu à peu son identité au profit du motif. Le philosophe Adorno souligne « ce que Schoenberg

aux anges ». Dans le préambule du mouvement il dit que cela n’a rien a voir: paradoxal. Le motif principal qui est en boucle, ne c’est pas un refrain stricto sensu est essentiellement fondé sur les notes fa dièse la bémol si bécard si do mi. Chromatique et polarisation autour de ses notes. Par mesure (mais pas de chiffrage), équivalent de 17 doubles croches, 17, 21, puis 44 puis 63 : phénomène d’accroissement de valeurs. Il fonctionne sur le plan de la modalité. Mesure 10 et 11 de la pièce:

la gamme classique continuaient à jouer le rôle d’une charpente invisible, les douze notes de la gamme chromatique. Cette évolution devient sensible à partir de la fin de l’époque romantique (Liszt, Wagner, Mahler, par exemple). En 1923, Schönberg, dans une valse qui est la dernière pièce de sa Suite pour piano op. 25, pratiqua l’utilisation systématique des douze sons de la gamme chromatique. Le système qu’il imagina à cette occasion fut appelé «dodécaphonique». Mais il répugnait à Schönberg d’entendre