Chapeau de paille

imperméables plus légers en plastique. Le parapluie sert aussi d'abri pliant contre la pluie. Se protéger du soleil Contre le soleil, un chapeau léger à large bord ou une casquette suffit généralement sous nos climats. Autrefois, les élégantes se protégeaient sous une ombrelle. Les Européens qui se rendaient dans les pays tropicaux et méprisaient les coiffures indigènes en paille, introduisirent le casque "colonial" doublé d'une couche de liège isolant. Les yeux sont protégés par des lunettes de soleil à verres

sou- L OUTILLAGE >. ECONOMIQUE. en sacs 47 o f oy c ténement et les séparations, orges et avoines en sacs, plomb en saumons ou en feuilles, riz .... Seront taxés à la valeur : L'argenterie, bijouterie fausse paille ou fine, fils chapeaux de de laine et en caisses, cochenille en colis, de soie, corail brut ou ouvré, drap en balles ou en : colis, horlogerie en colis, indigo, or et argent ouvrés, soie écrue, grège et en

le haut de l’affiche de la mode 1920.  La femme des années 20 a une nouvelle silhouette : la minceur devient une référence et pour la première fois, le bronzage devient populaire. Elle porte les cheveux courts à la garçonne, qu’elle cache sous un chapeau cloche pour les sorties. La robe chemise fait une entrée très remarquée dans la garde-robe : elle est déclinée par de nombreux créateurs et est portée par toutes dans des couleurs vives.  La mode des années 20 voit naître une petite révolution :

blessé. " Tout à coup, au moment où le housard baissé Se penchait vers lui, l'homme, une espèce de maure, Saisit un pistolet qu'il étreignait encore, Et vise au front mon père en criant: "Caramba! " Le coup passa si près que le chapeau tomba Et que le cheval fit un écart en arrière. " Donne-lui tout de même à boire ", dit mon père. Victor HUGO   (1802-1885) Gordes, que ferons-nous ? Aurons-nous point la paix ? Gordes, que ferons-nous ? Aurons-nous

c’est bataille ou danse ! Belzébuth enragé racle ses violons ! Ô durs talons, jamais on n’use sa sandale ! Presque tous ont quitté la chemise de peau ; Le reste est peu gênant et se voit sans scandale. Sur les crânes, la neige applique un blanc chapeau : Le corbeau fait panache à ces têtes fêlées, Un morceau de chair tremble à leur maigre menton : On dirait, tournoyant dans les sombres mêlées, Des preux, raides, heurtant armures de carton. Hurrah ! la bise siffle au grand bal des squelettes

était peintre de vitraux (Peintre de vitraux P60) ;à Rome, il gagnait sa vie en faisant des gravures de colportage (A Rome il faisait des gravures de colportage. P60). Il n’aime pas montrer son visage et il le cache. (Il portait un grand chapeau de paille sous lequel son visage perdait toute apparence. P61) Avec l’âge, il vit de moins en moins bien. (Sa vue faiblit. P61) il aimait beaucoup peindre de sa terrasse à Rome (il aimait travailler sur la terrasse. P61) Dans le golfe de Salerne, il

rapide et circulaire, un de ces regards de joli garçon, qui s'étendent comme des coups d'épervier. Les femmes avaient levé la tête vers lui, trois petites ouvrières, une maîtresse de musique entre deux âges, mal peignée, négligée, coiffée d'un chapeau toujours poussiéreux et vêtue toujours d'une robe de travers, et deux bourgeoises avec leurs maris, habituées de cette gargote à prix fixe. Lorsqu'il fut sur le trottoir, il demeura un instant immobile, se demandant ce qu'il allait faire. On était

aucune mémoire et ne contrôle pas ses actes. Il est gentil et il aime son ami George de tout son coeur. Slim Slim est un roulier. C'est un homme d'autorité très grand, de 40 ans, (p.76) vêtu d'un pantalon bleu et une veste courte et porte un chapeau. Il a longs cheveux noirs coiffés en arrière (P-75). A l'écoute des autres, compréhensif et calme. Ses mains sont grandes, minces et délicates. C'est le roi du ranch, un maître (P-76 ). Il n'a pas vraiment de manques et de désirs, et on connait

n'est pas dépeint ici comme un homme sur de lui : l'adverbe « involontairement » montre son caractère maladroit. La description se poursuit dans le paragraphe suivant des lignes 5 à 9, avec une progression du haut vers le bas, en partant du chapeau de paille, jusqu'à la robe de mousseline. Ainsi, la description suit le regard de Frédéric, qui prends ici une position de voyeur. Dans toute la description, on nous donne peu de détail sur Madame Arnoux. En réalité, le regard de Frédéric ne semble pas

et se leva. Sur son petit lit de fer, où la place de son corps avait fait un creux, il aperçut ses habits de tous les jours jetés là, vides, fatigués, flasques, vilains comme des hardes de la Morgue. Et, sur une chaise de paille, son chapeau de soie, son unique chapeau, semblait ouvert pour recevoir l'aumône. Ses murs, tendus d'un papier gris à bouquets bleus, avaient autant de taches que de fleurs, des taches anciennes, suspectes, dont on n'aurait pu dire la nature, bêtes écrasées ou gouttes