Charles Philipon

lithographies pour le journal La Silhouette. En 1830, il dessine ses premières caricatures pour La Caricature. En 1832, débute sa longue collaboration avec Le Charivari, journal jouant un rôle important dans la vie politique de l'époque, fondé par Charles Philipon et spécialement dirigé contre Louis-Philippe. L'impudence, alliée à un art consommé du dessin, apporte aux caricatures de Daumier une immédiate célébrité. Elle lui vaut également une condamnation en 1832 à six mois d'emprisonnement, pour la

de ses compatriotes. La valeur de sa peinture a aussi été reconnue, bien qu’à titre posthume seulement1. En 1828, Daumier réalise ses premières lithographies pour le journal La Silhouette. En 1830, durant le règne de Louis-Philippe, lorsque Charles Philipon lance le journal humoristique, La Caricature, Daumier rejoint son équipe, qui comptait aussi Achille Devéria, Auguste Raffet et Grandville, et commence sa série de dessins satiriques, en prenant pour cible la bourgeoisie, la corruption des magistrats

compare la caricature à différentes émissions télévisés depuis le 19ème siècle. Enfin, pour finir, nous analyserons, le document 4, qui est une étude de la caricature de Louis Philippe, parue dans le journal « Le Charivari », en février 1834 par Charles Philippon. Tout d’abord, le terme de la caricature, ainsi que sa pratique, date seulement des dernières années du 16ème siècle, comme nous le montre E. GOMBRICH, dans « L’Art et l’Illusion ». Selon E. GOMBRICH, ce sont les frères Carrache qui seront

leçons de peinture. Il fréquente aussi le Louvre, s’attarde en la compagnie de Rembrandt, de Rubens et de Titien, admire la sculpture antique, et s’essaye à la copie des maîtres. La fortune semble lui sourire: au même moment, en effet, il rencontre Charles Ramelet, un modeste peintre de genre, qui l’initie au métier de lithographe. La première planche connue de Daumier, éditée par G. Engelmann, date de 1822: une voie se dessinait, qui allait permettre à l’artiste de concilier sa vocation avec des impératifs

apogée au XIXe siècle, au moment de la révolution de 1830 (→ journées de juillet 1830). On distingue le « portrait-charge », qui recourt à la déformation physique – comme l'illustrent les têtes de Louis-Philippe en forme de poire, dessinées par Charles Philipon et parues dans la Caricature en 1831 –, de la caricature de mœurs, qui dresse un tableau satirique de certaines couches de la société, comme l'atteste la création de personnages : Robert Macaire, Ratapoil, mis en scène par Honoré Daumier ; Joseph

«excellentes plaisanteries personnifiées [4] » Si l’on compare la caricature de Hugo à sa charge en terre cuite, on remarque que Dantan a accentué l’importance du front en jouant sur l’angle facial, donné plus de volume aux cheveux – suggèreraient-ils, comme on l’a parfois vu, la crinière du lion? – allongé et arqué davantage le nez dont il a modifié aussi l’extrémité, comme en écho à ce que rapporte Juste Olivier [5] : « Son nez est un peu renflé vers le bout, ce qui lui donne quelque chose de

En 1845 et 1846, la célèbre revue Le Charivari publie une série de dessins de Daumier intitulée « Professeurs et moutards » alors que la question des rapports entre enseignement public et privé fait l’objet d’âpres discutions dans la presse comme au parlement. Certains déplorent en effet que le Monopole universitaire institué par Napoléon soit battu en brèche par une école « libre » et à dominante catholique. On dénonce les Jésuites, pourtant interdits depuis l’Ancien Régime. Néanmoins, on ne trouve

LE VENTRE LEGISLATIF Cette image est une caricature crée par Honoré Daumier en 1834, elle est intitulé « Le vente législatif. Aspects des bancs ministériels de la chambre improstituée. » C’est une caricature de 28 x 43,1 cm. Cette caricature représente la réunion fictive de trente-cinq hommes : la majorité représente des ministres et des personnages influents de l'entourage du roi Louis-Philippe ou des députés issus principalement de la magistrature, de l'industrie et de la banque

Analyse de caricature #1 Francophone (Provinciale) Analyse de caricature #2 Anglophone, (Provinciales) La première caricature représente un simple citoyen québécois qui se rend au travail, il y arrive en retard a plusieurs reprise a cause des fréquents bouchons de circulation causé par la construction des ponts, des routes ainsi que sur des autoroutes. Cette situation frustrante ne va pas cesser de ci-tôt car la construction de nos jour prend des années avant d'être complété. La caricature

Support : 3 caricatures (Obama, Sarkozy, Hollande) Nous pouvons dire que oui, l’image est une forme efficace de l’argumentation. En effet, ces trois caricatures dénoncent la société qui ne pense qu’au pouvoir par le biais de différents éléments comme dans la caricature d’Obama où celui-ci porte la coiffure du roi Louis XIV . De plus, cette forme d’argumentation joue sur la subtilité puisque grâce à l’ironie la personne n’est pas directement attaquée comme par exemple dans la caricature de Sarkozy