Chauvinisme

fétiches, objets auxquels on attribue un pouvoir surnaturel. (s.f.) : attachement exagéré pour une entité, une personne ou un objet. une floraison auguste de pierre : qui inspire le respect, la vénération, que l’on considère un peu comme sacré. le chauvinisme : parti pris excessif pour ce qui concerne son pays et qui peut conduire à la violence. une frustration : sentiment pénible résultant de la privation d’une satisfaction. une exaltation : (langue religieuse) glorification Sens courant : état d’enthousiasme

place importante dans ce tableau. Certains sont empruntés à la mythologie espagnole comme le taureau - animal national de l’Espagne - représentant la force brute, la cruauté ; le cheval, l’image du le peuple. Le chevalier – représentant du chauvinisme dans les tableaux classiques, l’ampoule représentant l’œil - avec un jeu de mot car ampoule se dit « bombia » qui est aussi une métaphore poétique pour la bombe –, la mère et l’enfant sont d’autres symboles significatifs de cette fresque. Description

société occidentale (par rapport à l’orientale) qui met en avant l’apparence ; les vêtements, le physique et l’allure, qui semblent être les seuls paramètres pour juger quelqu’un. Mais c’est également une critique des formes d’intolérance, depuis le chauvinisme à la xénophobie ou au racisme, ce qui n’est pas forcément propre aux français, et enfin une critique de l’hypocrisie sociale, du sens des valeurs et de la versatilité. Cette lettre qui ressemble à une fable, tourne autour des mentalités parisiennes

volonté, …toutes ces valeurs existent sans doute, mais sûrement pas tout le temps ! Le sport n’est pas la potion magique rendant l’Homme infiniment bon. Olympiques ou pas, toutes les médailles ont leurs revers : en sport, ceux-ci ont nom dopage, chauvinisme, corruption, récupération politique, violence, affairisme, mais aussi gloriole, triche, xénophobie, individualisme, machisme, championnite, ségrégation… Les valeurs citées ci-dessus ne sont pas spécifiques au sport mais, parce qu’elles s’y vivent

il le fallait, par le fer et le feu. Ces facteurs se sont exacerbés depuis, notamment ces dernières années, du fait notamment : Des luttes féroces pour la succession de feu Houphouët-Boigny et le contrôle de l’appareil d’Etat, sur fond de chauvinisme et de xénophobie, théorisés à travers le fameux concept d’"ivoirité" (que même le socialiste Laurent Gbagbo a porté et défendu !) ; ces luttent ont conduit à une guerre civile réactionnaire qui a duré 10 an s et qui a ravagé la Côte D’Ivoire ;

gouvernés par un unique pouvoir et les mêmes lois ouvrage de leur volonté par le vote ») Cette collectivité forme un corps: l'état est la personnification de la Nation et gouverne donc en principe légitimement. B)Nationalisme (dérivé) 1) Sens du chauvinisme → nationalisme exagéré conduisant à la xénophobie (extrême droite). 2)Revendications d'un peuple dominé aspirant à l'indépendance. Il existe plusieurs types de nationalismes : -Régionaliste (bretons, corses) -Indépendantiste (décolonisation)

dont les textes sont à la base de la grammaire et de la rhétorique. Là ou la renaissance va vouloir penser en terme de démarcation, le moyen-âge voit en terme de continuité. Au moyen-âge le latin est la langue de référence et il n'y a pas de chauvinisme à l'utilisation de telles ou telles langues même si de nombreux texte comme ceux de Renart et Pathelin sont truffés de passages où on se moque allégrement de la façon de parler propre à chaque régions. La première littérature française est en

l’équilibre européen, puissance navale. En 1914, l’Europe est au sommet de sa puissance mais elle est marquée par des divisions importantes (politique…), contentieux (avant 1970). L’Europe est marquée par la montée du nationalisme (exaspération du chauvinisme) : progermanisme. Minorités qui ne peuvent s’exprimer, contexte très instable. L’Europe se caractérise par une inconscience évidente par une méconnaissance des conséquences de la guerre. Le déroulement du conflit Conflit qui va se

poussent tous ceux qui sont loin de chez eux et qui aspirent à y retourner.L’amour du pays : les anaphores insistent sur le côté familier et simple de l’Anjou, opposé à la glorieuse, mais trop froide ville de Rome. On pourrait presque parler de chauvinisme (le terme est anachronique !) car tout ce qui est « petit », « pauvre » semble préférable au narrateur, simplement parce que c’est chez lui (cf. les adjectifs possessifs « mon petit village », « ma pauvre maison » s’opposent aux articles définis

religieuses, fait dorénavant lever fantasmes et intolérances. Elle nourrit également des symétries simplificatrices : l’universel opposé au particulier, l’aspiration au même congédiant la singularité, l’internationalisme planétaire substitué au chauvinisme identitaire, l’aventure de l’esprit contre l’enracinement naturaliste, la morale mondiale – et bientôt le droit mondial – contre la pluralité des valeurs, etc. Derrière ces dualismes querelleurs, la même question se trouve bel et bien posée. Elle