Chute de Robespierre

Après Varennes et la fusillade du Champ-de-Mars, il quitte le club des Jacobins et rejoint celui des Feuillants. Il se prononce contre la déchéance du roi et pour sa remise en fonction après sa suspension temporaire, et s’oppose à la proposition de Robespierre excluant la réélection des Constituants. Le 4 septembre 1791, Merlin est élu président du tribunal criminel du Nord. Un an plus tard, il est élu le premier des douze députés de ce département à la Convention, où il siège parmi les hommes de la

farouchement replié sur ses privilèges et un pôle plus libéral. Cette noblesse est l’objet d’une hostilité certaine au sein de la population. En effet dès le début du processus révolutionnaire, il existe en France un fort courant anti-nobiliste. Robespierre pour la noblesse parlait même de « tâche originelle ». La noblesse, donc, est divisée et confrontée à la haine d’une grande partie de la population. Pourtant, elle ne disparaît pas et survit à la décennie révolutionnaire. On peut donc se demander

Marie-Antoinette guillotinée le 16 octobre 1793. • De juin 1793 à juillet 1794, période déchristianisation et laïcisation de l'État. • Le 8/01/1794 première et unique fête de l'être suprême présidée par Robespierre • Cette période du gouvernement révolutionnaire se termine avec la chute de Robespierre, qui a lieu le 9 thermidor AN II (27/07/1794). Section 2 : la réaction bourgeoise et le Directoire • convention thermidorienne va adopter une loi qui proclame la séparation de l'Eglise

Lyon. En décembre 1793, le meurtre de son secrétaire à Villeurbanne, le pousse à fuir. Il pense que l'anonymat parisien le protégera mais, dénoncé, il fut emprisonné dès son arrivée, le 31 décembre. Il dut son salut, comme beaucoup, à la chute de Robespierre, le 9 thermidor an II (27 juillet 1794). Directoire [modifier] Il se fixa alors à Paris, y reprit l'exercice de sa profession d'avocat et se fit élire[2], le 28 vendémiaire an IV (1795), député de la Seine au Conseil des Anciens. En même

d’interrogation. Il contresigne environ trois cents mandats d'arrestation, traduisant les suspects devant le tribunal révolutionnaire (n’hésitant pas à témoigner contre des amis!). Il fera installer diverses sculptures et œuvres d’art. Lors de la chute de Robespierre, il sera emprisonné à deux reprises. J-L David connaissait Napoléon avant qu’il ne devienne empereur. Il avait envoyé une lettre au général pour pouvoir dessiner la victoire de Lodi. En 1804, il fut déclaré premier peintre de l’empereur

Révolution et entame en parallèle à sa carrière artistique une activité politique en devenant député à la Convention et ordonnateur des fêtes révolutionnaires. Son engagement l'amène à voter la mort du roi Louis XVI, et son amitié pour Maximilien de Robespierre lui vaudra, à la chate de celui-ci, d'être emprisonné lors de la réaction thermidorienne. Ses activités politiques prennent fin sous le Directoire, il devient membre de l'Institut et se prend d'admiration pour Napoléon Bonaparte. Il se met à son

DDHC est velléitaire (sans audace, hésitant, etc.) elle instaure une égalité fictive entre les citoyens. Sous la terreur, il est aussi critique envers Robespierre. En octobre 94, il commence à publier un journal qui s’appelle le tribun ( le porte-parole) du peuple, il veut son journal proche des sans-culottes. Or, alors qu’il était opposé à Robespierre, il critique avec virulence la convention thermidorienne, il est emprisonné à Arras et rencontre ceux qui seront ces complices dans la conjuration des

Maximilien Marie Isidore de Robespierre est né à Arras le 6 mars 1758. Il fait des études de droit dans sa jeunesse et devient avocat. Imprégné des idées réalistes de Rousseau. Élu représentant du Tiers état pour Arras en 1789, Robespierre se fait connaître à l'assemblée constituante comme démocrate: il réclame le suffrage universel,se prononce pour la liberté de la presse,pour l'enseignement obligatoire,contre la peine de mort,et plaide inlassablement la cause du peuple, »cette multitude que

de nombreux succés au plan économique, alimentaire, militaire et politique. B/Fin printemps 1794, la Terreur semble avoir sauvé la République mais ses partisans se divisent : elle est contestée et critiquée. C/Le 9 thermidor de l’An II : la chute de la Terreur.

Maximilien Marie Isidore de Robespierre, né le 6 mai 1758 à Arras (Pas-de-Calais), fut guillotiné le 10 thermidor an II (28 juillet 1794) à Paris place de la Révolution (aujourd’hui place de la Concorde). C'était un homme politique français, chef des Montagnards, il incarna la « tendance démocratique » jusqu’au-boutiste de la Révolution française. Il reste également l’un des personnages les plus controversés de cette période, surnommé « l’Incorruptible » par ses partisans, « la chandelle d’Arras »