Clostridium difficile

(nécrose, ulcération) Clostridium perfringens • Inflammation lympho-histiocytaire: Salmonella typhi • Désorganisation architecturale: Salmonella typhi Shigella • Colite granulomateuse: Yersinia Tuberculose Dg différentiel des colites bactériennes RCH - Crohn (1ère poussée évolutive) +++ : en faveur colite bactérienne: architecture cryptes préservée, inflammation superficielle lésions parcellaires + critère évolutif +++ Colite pseudo-membraneuse post-AB/ Clostridium difficile Colite ischémique transitoire

‘CONTACT’ PRECAUTIONS ‘GOUTTELETTES’ PRECAUTIONS ‘AIR’ Service Hygiène et prévention de l'infection LORMEAU-G année 2012 PRECAUTIONS ‘CONTACT’ EXEMPLE DE PATHOLOGIE: Abcès BMR (Infection à bactéries multi-résistantes) Gale Poux Diarrhées à clostridium difficile Varicelle* Zona* (chez patient immuno déprimé) ……… *+ précautions air Service Hygiène et prévention de l'infection LORMEAU-G année 2012 PRECAUTIONS ‘CONTACT’ Sur prescription médicale En complément des précautions standard Mode de transmission:

urgences. Une anémie Une hypokaliémie à 3,3 mmol/L Elle serait constipé depuis son arrivée aux lits portes le personnel n’a donc pas pu effectuer le test du clostridium difficile, l’infirmière hygiéniste qui est venue la voir le lendemain matin et donc parti du principe que comme elle n’a pas eu de diarrhée, elle n’a donc pas de clostridium. Un isolement désormais contact pour la BMR urinaire à était mis en place. Une échographie abdominale a été demandée pour rechercher une porte d'entrée à

Surblouse ou tablier Si risque de soins mouillants ou souillants Contact direct avec le patient ou son environnement Standard Standard Matériel et linge Eliminer au plus près du geste. Emballages fermés. Linge = standard sauf pour parasites et Clostridium : sac hydro-soluble Standard Standard Transport du patient   ! À limiter Patient SHA avant de sortir ! À limiter Patient masque chirurgical ! À limiter Patient  masque chirurgical Entretien au départ du patient Protocole Standard Standard

anticoagulants oraux ont été rapportés chez des patients recevant des antibiotiques. Le contexte infectieux ou inflammatoire marqué, l'âge et l'état général du patient apparaissent comme des facteurs de risque. Dans ces circonstances, il apparaît difficile de faire la part entre la pathologie infectieuse et son traitement dans la survenue du déséquilibre de l'INR. Cependant, certaines classes d'antibiotiques sont davantage impliquées : il s'agit notamment des fluoroquinolones, des macrolides, des cyclines

sensible peut aussi être le siège de contaminations bactériennes largement aggravées par l’humidité et l’agressivité des fèces pour la peau, pouvant alors augmenter la durée d’hospitalisation (3, 6, 7, 12, 17, 20). Aujourd’hui, les infections à Clostridium difficile sont une cause majeure de diarrhées associées à des antibiotiques et leur prise en charge est un réel challenge (13). Les traitements habituels utilisent des alèses, des couches, des poches collectrices, des collecteurs rectaux ; si la diarrhée

liées à des germes d’origine digestive résistants aux antibiotiques (pression de sélection) et/ou épidémiogènes : Entérobactérie à BLSE, Entérobactéries 108 /gr de selles Bactérie Hautement Résistante émergente BHRe :EPC, ERG clostridium difficile: 108 à 109 ufc/g de selles Des virus lors des épidémies de gastro entérite virale : dose infectante < 100 1010 particules/gr de selles vomissement en jet de 20-30 ml : 107 particules de norovirus  Patients / résidents porteurs

rapide après abattage, élimination des matières fortement souillées (gestion des flux dans l'abattoir) – Tube digestif (densité & diversité bactériennes sans égales): éviscération tardive néfaste, et contamination post mortem par excréments (très difficile à maîtriser en abattoir de volailles) * Contamination par l’environnement : cf. les "5M" (cours Hygiène en industrie agro-alimentaire ) @ Mama mit mes mains Matières-I, Matériel, Milieu, Méthode et Main d'oeuvre,Milieu : Bâtiments et locaux (ds cours

Manuportage •Germes pouvant être pathogènes : Staphylococcus aureus (peau), Pseudomonas aeruginosa (environnement), Enterobacteries (Escherichia coli, Enterobacter, Klebsiella…), Streptococoques du groupe A, Enterococcus, spores de Bacillus et de Clostridium (environnement) …. Candida albicans (immunodéprimés ou diabétiques) Transmission de l’infection (1) Le patient, qui est fragile, peut s’infecter : Avec ses propres germes Directement, par un autre patient infecté : tuberculose, gale … Par un autre

Q2 : Quelles sont les indications des mesures complémentaires ? -maladie contagieuse (ex : gale, tuberculose pulmonaire...) -maladie non contagieuse mais les germes en causes risquent de disséminer dans l’environnement (ex : diarrhée à clostridium difficile....) -patient porteur ou excréteur d’un agent multi résistant aux ATB (ex : staphylococcus aureus résistant à la méticilline) Q3 : Qui décide des mesures complémentaires ? Le médecin en charge du patient : sur PM -Définition de la CAT