Comité polonais de Libération nationale

pour affirmer sa fermeté sur la question de la Pologne. Il refuse de céder au chantage de Staline. Au départ, Staline acceptait de signer ce pacte franco-russe à condition que la France reconnaisse officiellement l’existence du comité de Lublin (gouvernement provisoire polonais mis en place par les russes). De Gaulle refuse jusqu’au bout car il ne veut pas voir d’influence soviétique en Pologne. Il se présente en champion de l’indépendance polonaise. De Gaulle se met en avant et semble être la figure

nazie et les peuples des anciens satellites de l'Axe en Europe, à résoudre par des moyens démocratiques leurs problèmes politiques et économiques les plus pressants. Le rétablissement de l'ordre en Europe et la reconstruction de la vie économique nationale devront être réalisés par des méthodes qui permettront aux peuples libérés d'effacer les derniers vestiges du nazisme et du fascisme et de se donner des institutions démocratiques de leur propre choix. C'est un des principes de la Charte de l'Atlantique

Présentation PowerPointI) L’Europe de la Sainte-Alliance (1815-1848)Mouvements libéraux et nationaux face à la réaction de la Sainte-Alliance (1815-1823)Quelques rappels : • 26 septembre 1815: l’Autriche, la Prusse et la Russie forment une Sainte-Alliance dont « le but est de coopérer étroitement, y compris militairement, pour écraser toute révolution naissante en Europe » (Robert Frank, art. cit., p. 237) • 20 novembre 1815 : la Grande-Bretagne et la Sainte-Alliance signent un pacte donnant naissance

Les Polonais au XIX et XX siècle Introduction La Pologne est un Etat d’Europe centrale, qui fait partit de l’Union européenne, peuplée par plus de 38 millions d’habitants. Elle est bordée par la mer Baltique au Nord. L’enclave russe de Kaliningrad et la Lituanie sont au Nord-Est, la Biélorussie et l’Ukraine à l’Est, la Slovaquie et la République tchèque au Sud, et l’Allemagne à l’Ouest. Elle partage également des frontières maritimes avec le Danemark et la Suède. Dans ce travaille, je vous présenterai

structurée, une agriculture jamais collectivisée, des intellectuels contestataires et un fort sentiment national anti-russe rendaient les rapports du pouvoir avec la société civile plus difficile encore qu'ailleurs dans les pays de l'Est. Suite aux accords d'Helsinki, un groupe d'intellectuels, le KOR (Comité de défense des ouvriers) apparut en 1976. En 1978, à la surprise générale, un cardinal polonais, Karol Wojtyla, devient pape sous le nom de Jean-Paul II. En juin 1979, son voyage en Pologne est un

avec les nazis; les Polonais ont , quant à eux, fait preuve d'une longue et héroïque résistance. Rien n'autorise donc les Soviétiques, signataires de la Déclaration de l'Europe libérée (Yalta, février 1945), à traiter les Polonais en vaincus, à leur imposer des cessions de territoires, à décider de leur régime politique et social. A Churchill qui soutient les Polonais de Londres et leur volonté de recouvrer une complète indépendance, Staline répond invariablement que l'Etat polonais doit vivre en bonne

politique|Mouvement d’unification| Libération-Sud|Emmanuel d’Astier de la Vigerie|Eté 1941|Zone sud|Lucie et RaymondAubrac|Diverse dont gauche|MUR(mouvements unis de la résistance, janvier 1943)Le Comité directeur est présidé par Jean Moulin.| Combat|Henri frenay|Novembre 1941|Deux zones|Claude BourdetBertie AlbrechtFrançois de MenthonG. Bidault|Divers dont démocrate-chrétien|| Franc-Tireur|Jean-Pierre Lévy|Décembre 1941|Région lyonnaise|M. Bloch||| Front national|Pierre Villon et Georges Marane|Mai

Main d’œuvre Immigrée) et se compose de 23 communistes, dont 20 étrangers, de confession majoritairement juive. La branche des FTP est l’organisation paramilitaire du groupe résistant Front national créée en à la fin de l’année 1941 par le PCF. La branche de la MOI, est elle aussi rattachée au Front National est représente la branche immigrée des FTP. Il s’agit néanmoins d’abord d’une organisation de type syndical regroupant les travailleurs immigrés de la CGTU créée en 1920, permettant aux étrangers

ci-contre, comprend : * un slogan : « Des libérateurs ? La Libération ! Par l'armée du crime » ; * les photos, les noms et les actions menées par dix résistants du groupe Manouchian : * « Grzywacz – Juif polonais, 2 attentats », * « Elek – Juif hongrois, 8 déraillements », * « Wajsbrot – Juif polonais, 1 attentat, 3 déraillements », * « Witchitz – Juif polonais, 15 attentats », * « Fingerweig – Juif polonais, 3 attentats, 5 déraillements », * « Boczov – Juif

français tout dévoués à la collaboration, avaient organisé  une traque géante contre quelques dizaines de jeunes résistants (65 combattants et combattantes à Paris en 1943, estime l’historien Denis Peschanski) qui évoque «des étrangers engagés dans la libération de la France filés puis arrêtés par des policiers français oeuvrant au service de l’occupant». Les nazis tentèrent d’opposer la population française à des «terroristes» étrangers et en majorité juifs. Ils organisèrent une opération de propagande