Comité polonais de Libération nationale

I) Niassance et stalinisation des démocraties populaires. a. Satellisation. i. Entre 1945 et 1947, Yougoslavie et Albanie sont dirigées par des partis communistes. Communistes y détiennent la totalité des pouvoirs. La libération du joug nazi leur confère une légitimité du pouvoir. Dans les autres pays (Hongrie, Pologne et Tchécoslovaquie, occupés par l’armée rouge, les communistes contrôlent les ministères clés. Une conception se développe, la démocratie populaire. En Pologne, l’alliance avec l’URSS

Houghton Mifflin, Boston, 1954, pp. 226-228 Rencontre entre de Gaulle et Staline : de la Pologne Dans ses Mémoires, le général de Gaulle relate son entretien avec Staline, en 6 décembre 1944 à Moscou, au sujet des deux "gouvernements" polonais, l'un, pro-occidental, à Londres, l'autre, pro-soviétique, à Lublin. "Là-dessus, vint au jour le véritable enjeu du débat. Comme nous nous y attendions, il s'agissait de la Pologne. Voulant savoir ce que, décidément, les Russes projetaient

matières premières, humain, financier et culturel. La pénurie et le marché noir sont le quotidien de l'Europe occupée. B) La solution finale. Dès 1933 des camps de concentration sont ouverts. Les opposants, des tziganes (250000) et des Slaves (polonais) y trouveront la mort à cause des mauvais traitements, du manque de nourriture, d'hygiène et de soins ainsi que du travail forcé. A compter de la conférence de Wannsee (janvier 1942), l'extermination des juifs d'Europe est programmée dans 6 camps

d’internement… L’invasion de la Pologne pose un problème aux nazis, car ce territoire comporte 3 millions de Juifs (sur 11 millions en Europe), qui représentent plus de 10% de la population polonaise. Dans un contexte de répression contre les opposants polonais au nazisme et contre les Juifs, le Reich führer Himmler ordonne la création de ghettos (quartiers fermés où l’on entasse les Juifs) dans les principales villes polonaises (Cracovie, Varsovie…), ainsi que la création de camps de concentration et

La CIA est d’ailleurs créée à cette époque pour servir cette politique. Toutefois, cette politique connait de nombreux excès, complots, dénonciations calomnieuses dont le paroxysme sera atteint lors de la mise en cause de Mc Carty lui-même par le comité des activités anti-américaines en 1956. L’économie aux Etats-Unis repose sur deux piliers fondamentaux, la propriété privée et le libéralisme. La société américaine repose sur l’égalité des chances, c’est-à-dire sur la liberté d’entreprendre

Stalingrad et l’entrée en guerre des Etats-Unis aux côtés du Royaume-Uni et de l’URSS. L’année 1945 marque la victoire des forces Alliées contre les puissances de l’Axe – qui ne compte à cette date plus que l’Allemagne et le Japon – ainsi que la libération de l’Europe occupée ou annexée par le Reich. Après six de guerre, dans laquelle, comme jamais, les droits de l’Homme ont été bafoués, reconstruire le monde tant physiquement que moralement s’impose comme une nécessite. Bien avant la capitulation

demeure cependant, du fait même de sa complexité, contrasté et polémique. Le communisme a fait l'objet de diverses approches historiographiques concurrentes, longtemps handicapées par la difficulté d'accès aux documents et par les contextes politiques nationaux et internationaux. La fin de la guerre froide et l'ouverture des archives du bloc de l'Est ont depuis bouleversé le champ des études sur le communisme, sans mettre fin à toutes les controverses autour de ce sujet. Sommaire [masquer] 1 Définitions

A partir de la Libération, la Confédération française des travailleurs chrétiens (CFTC) est traversée par d'importantes tensions internes. La tendance "Reconstruction" souhaite en particulier que la CFTC se laïcise. D'abord minoritaires, ses idées favorables à l’évolution progressent peu à peu : en 1959, un rapport sur la planification démocratique est adopté en congrès, et en 1961 l'un de ses animateurs, Eugène Descamps, est élu secrétaire général de la CFTC. Il prépare alors la déconfessionnalisation

spécialise dans les problèmes agricoles. Il rencontre Iouri Andropov président du KGB de 1967 à 1982 et secrétaire général du PCUS de 1982 à 1984, en vacance dans la région. Dès lors sa carrière s’accélère, il est élu au Comité Central en 1971 à 40 ans et au Politburo, l’organe suprême du Comité central du Parti communiste de l’Union soviétique qui définit sa politique et sa ligne directrice, en 1980. A cette époque l’URSS est affaiblie par une situation géopolitique nouvelle, dans le domaine économique

nouvelle constitution. Il déclare au cours du Conseil des ministres qu'il a convoqué pour annoncer sa décision : "Le régime exclusif des partis a reparu. Je le réprouve". Le lendemain, il adressera sa démission à Félix Gouin, président de l'Assemblée nationale. Son absence de la scène politique durera 12 ans. * 24 février : dictature populiste du colonel Peron en Argentine * 5 mars : à Fulton discours de Churchill à propos du "Rideau de fer". Le chef de l'Etat britannique déclare : "De Stettin dans