Commémoration

mémoire diffuse dans la collectivité tout entière se côtoient et s’interpénètrent sans se confondre ; elles puisent dans le vivier des souvenirs directs ou transmis et dans le stock d’informations reçues par des canaux ayant un statut officiel (commémorations, enseignement, médiatisation de la production et des débats scientifiques, etc.), qu’elles s’approprient de façon plus ou moins explicite. S’il existe une inévitable compétition entre mémoire et histoire, entre fidélité et « reconnaissance» d’une

l’historiographie. Il répond également à une forte demande sociale, exprimée tant par les associations de résistants et de victimes de la guerre que par les pouvoirs publics ; elle a donné lieu ces dernières années à une multiplication des actes de commémoration et des lieux de mémoire consacrés au souvenir de la Seconde Guerre mondiale. • Le programme comprend deux dimensions principales : on étudiera, d’une part, l’évolution de la mémoire de la Seconde Guerre mondiale depuis l’époque de la Libération

l'armistice est signé, avec une vigueur sur le front fixée à 11 instant du matin3, et ce pour une faire de 36 semblance qui sera constamment renouvelée2. À la trame de cet armistice est signé le traité de versailles, le 28 juin 1919. hommages et commémorations En 1920 s'avérer l'idée de obtenir offrande aux soldats camarde pour la france mais non identifiés12. Suite à une loi votée à l'unanimité par le parlement, la dépouille mortelle d'un homme parmi moult autres, choisi dans la ville forte de verdun

le World Trade Center du 11 septembre 2001, c'est une commémoration musicale. Elle a été demandée par le New-York Philharmonic (un orchestre), le Lincoln Center (un centre artistique) ainsi qu'un donnateur anonyme. John Adams s'est d'abord rendu sur les lieux à Manhattan avant de composer, il y a rencontré des familles des victimes, et s'est inspiré des messages qu'ils laissaient. La première représentation a eu lieu lors des commémorations du 1er anniversaire de l'évènement. Elle appartient au

que le collectif garde en tête au sujet de son passé. Les Européens, bien que victimes de la culture de masse par la création et la diffusion de nouveaux médias, resteraient plus qu'intéressés par la question de la mémoire historique et par la commémoration de ce passé souvent douloureux. Mais l'auteur soulève alors un point important : quel usage faire de cette mémoire ? Est-ce vraiment bon d'en faire un usage excessif et quel lien doit-on effectuer entre le passé et le présent ? En effet, celle-ci

souvenirs, témoignages, mémoires -> La mémoire est un souvenir affectif qui peut évoluer et n'a pas d'autre support que la parole et le souvenir, elle peut donc être partielle ou erronée. Comment ne pas l’oublier ? Lieux, dates et monuments de commémoration -> traces dans les valeurs contemporaines et le patrimoine national. La mémoire officielle est véhiculée par l’Etat et est utilisée par les professeurs par exemple (qui doivent rester neutres) mais aussi par les historiens. -> Comment l’historien

Devoir : debere = dette Différence ce qui est de l’ordre du fait (oui il y a un devoir de mémoire) et ce qui est de l’ordre du droit (est-il légitime qu’il y ait un devoir de mémoire ?). Quelle est la spécificité du devoir de mémoire par rapport aux commémorations ? Les procès pour crimes contre l’humanité de Klaus Barbie en 1987 (le boucher de Lyon) a éliminé Jean Moulin qui était sous-préfet de Châteaulin avant guerre. Procès Papon en 1997 qui firent entendre la parole de déportés. Qualifiés de « procès

siecle dira : «Le passé ne demande pas à être oublié, mais compris» L'homme malgré tout fait vivre l'histoire ! Nous en avons la preuve tous les jours, grâce aux commémorations qui permettent la transmission de l'histoire, de la mémoire. Commémorer c'est rappeler quelque chose à la mémoire collective, c'est se remémorer. Cette commémoration peut évoluer puisqu'on peut la qualifier d'une lecture au présent du passé. Il y a de nombreuses formes naturellement. Par exemple le feu d'artifice du 14 juillet

reconnaissance aux divinités ou aux esprits que l’on croyait être la cause de l’existence et la survie de la communauté. Selon Larousse Dictionnaire Maxi poche, (mai 2009) “La fête est une célébration ou solennité religieuse ou civile en commémoration d’un fait important”.2 Une periode de fête est une grande période de renouvellement des liens sacrés qui lient les gens et la source de leur existence. Une fête est un moment pour se souvenir, montrer la gratitude et demander plus de bénédiction

France endeuillé. Malgré la victoire, nous allons voir que cette société est hantée par la première guerre mondiale. Nous commencerons par étudier le rappel omniprésent de la guerre dans les esprits puis nous accorderons une seconde partie à la commémoration du sacrifice humain et pour finir nous verrons le sentiment pacifiste qui anime les français. La population française vit avec le souvenir de la guerre qui est rappelé au quotient par toutes sortes de circonstances. Dans les écoles, le professeur