Comment Définir L Hyperpuissance Américaine

L’unité des différents peuples sur terre est relative du fait des clivages internes et aussi d’une constitution cosmopolite des populations et enfin du fait de la transnationalisation des échanges, des communications et des conflits. On pourrait définir les relations internationales comme les rapports d’amitiés et d’hostilités entre peuples constitués en unité politique ( états...) avec le droit qui est coordonné à ces rapports. Au XXème siècle, les relations internationales se distillent dans

L’Amérique : puissance du Nord, affirmation du Sud Plan du chapitre : traitement de la problématique Notions clés Repères A- Le Bassin Caraïbe : interface américaine, interface mondiale Interface, tourisme, migrations, trafics (drogue, armes, argent…), paradis fiscaux 5 documents (cartes, texte, photographies) B- Le continent américain entre tensions et intégrations régionales 1- Intégration ou désintégration ? 2- Les tensions Unions, accords, ALENA Frontières, tensions agraires, réformes

internationales» Montchrestien Le Monde (diplomatique) Le Figaro, Libération, Courrier International Revue juridique → «Etudes internationales» INTRODUCTION Comprendre les relations internationales → évolution de son enseignement, enjeux. Approche historique. Comment sont nés les rapports entre Etats. Comprendre les relations internationales A. Définition des relations internationales Il y a débat et divergence sur la définition, ce sont les rapports sociaux et politiques de toute nature qui traversent les frontières

RECHERCHES CONTEMPORAINES: Les recherches se font surtout au XXème. Elles acquièrent un statut universel. Avec une exception : la France car les RI ne forment pas une matière autonome. A) Les écoles américaines Il y a une suprématie des écoles individuelles et aucune coupure entre les matières politiques, de RI et la diplomatie (Kissinger, Kenan,…). Le financement de la recherche est assuré par des fondations privées. C’est un grand atout car elles

P.3 I. Comment les USA sont devenues une superpuissance ? P.6 A) Culture p.6 B) Economie p.10 C) Relations Internationales p.17 II. Dispositif d’un système impérial P.20 A) Impérialisme Américain p. 20 B) Guerre du Viêt-Nam

donne a contrario l’impression que l’américanisation condamne la mondialisation à s’uniformiser. Fatalisme ou schématisme car désormais on s’interroge sur le déclin US, faut-il parler de désaméricanisation avec les symboles de l’hyperpuissance américaine laminés par la crise des subprimes. [ Transition entre présentation DS et annonce problématique ( recentrage sur cœur du sujet] ( Les centres, les puissances (à toutes les échelles de l’analyse) sont-ils condamnés à émerger, s’affirmer puis

auteurs sont qualifiés de négationnistes, ils ne voient pas de relations internationales. Ils ne voient que les États et les RI qu’au travers des conflits. T. Hobbes est le fondateur de la souveraineté au 15ème. Il se demande comment imaginer une société pour les Léviathans, comment créer des règles ? Qui va gouverner le monstre lui-même ? N. Machiavel ou le « Florentin » : il ne rajoute rien à la théorie de Hobbes. Pour lui, plus on est perfide, plus on est autoritaire comme le Prince. L’État n’impose

les questions de politique externe − les relations internationales se situent entre les deux 1) La question de la division interne/externe (la frontière, comme définissant ce que l'on peut considérer comme des RI et qui n'en est pas, mais aussi comment aborder ce qui relève des RI...). Tout acteur ou processus qui traverse une frontière est parti prenante des RI. 2) Le lien conflit/coopération : des organisations internationales telles que l'ONU, les guerres etc... Est-il possible d'établir des

pu se demander si la nation française n’était pas déjà morte sous l’influence de pures raisons endogènes. Ni en raison de la perte de son Empire, de ses colonies, de la boucherie de 14-18, de la débâcle de 1940 ou de la colonisation idéologique américaine, mais tout simplement sous l’effet de son système anthropologique de l’individualisme universaliste, qui aurait dissout de l’intérieur toute forme de principe collectif. Il suffit d’ailleurs de reprendre cette fable de la « nation civique » à laquelle

géoéconomique, géoenvironnementale et géoculturelle. C’est sur cette dernière grille que portent les deux documents soumis à notre analyse. Il s’agit de deux représentations cartographiques du monde découpé en grandes aires de civilisations. Le chercheur américain Samuel Huntington s’est rendu célèbre, en 1996, en pronostiquant l’importance croissante du facteur civilisationnel dans les relations internationales, et en prophétisant l’émergence d’un « choc des civilisations ». Mais cette thèse a subi de nombreuses