Concubinage

Commentaire d’arrêt Document 5 : Cass. 1ère Civ. 3 JANV. 2006 Par un arrêt en date du 3 janvier 2006, la première chambre civile de la Cour de cassation a eu l’occasion de se prononcer sur la dissolution du concubinage. Les faits étant que Mme X et M. Y s'étant mariés le 13 octobre 1943, ont dissout leur union par un divorce intervenu au Maroc en 1955, à la suite duquel ils ont repris la vie commune et continué à se comporter en mari et femme. L'existence de cette union libre a pris fin,

Mais l'inexactitude de cette déclaration n'est pas sanctionnée. LE juge peut retenir d'autre info. LA vocation successoral d'un époux n'est pas considéré comme une enrichissement prévisible.(1ere Ch civ 21/09/2004). Lorsque les époux ont vécu en concubinage avant de se marier, il appartient au juge de décider s'il doit être tenu compte de la vie commune antérieure pour déterminer le besoin et ressource des époux en vue de la PC.( arrêt 16/04/2008) La révision, suspension, ou suppression

La reconnaissance du concubinage a eu lieu en 1999 : le 15 novembre à l’occasion de la loi sur le PACS. L’art 515-8 du code civil dispose que « le concubinage est une union de fait caractérisée par une vie commune présentant un caractère de stabilité et de continuité, entre deux personnes, de sexe différent ou de même sexe, qui vivent en couple ». Cependant, il existe un silence quant au régime susceptible de s’appliquer à cette union. Ainsi, les juges du fond ont tendance à étendre par assimilation

constitue le mariage. Il apparaît juridiquement justifié que les époux aient plus de droits que les concubins ou partenaires pacsés dans la mesure où le mariage est un contrat au terme duquel d’importantes obligations sont consenties. En effet, le concubinage n’implique pas les obligations que sont celles du mariage c'est-à-dire la fidélité, l’assistance, le respect, le secours (article 212 du Code civil). De même, à l’union libre correspond la libre rupture tandis qu’au mariage correspond une procédure

connu que le mariage, mais les mœurs et le temps ont incité le juge d'abord, le législateur ensuite, à donner une forme juridique aux unions hors mariage. De simple état de fait, elles prennent désormais consistance soit de fait juridique, le concubinage (515-8), soit d'acte juridique, le PACS (515-1). Le codificateur de 1804 estimait superflu de donner une définition du mariage dont il estimait qu'il était une institution de droit naturel. Aujourd'hui, au delà de la solidarité et de l'affection

contenir officiellement le droit au mariage et à l’adoption aux couples homosexuels. Il veut aussi ouvrir des nouveaux chantiers législatifs comme ouvrir l’accès au mariage aux couples homosexuels au même titre que les couples hétérosexuels (le concubinage, le PACS et le mariage), ainsi une ouverture des procédures d’adoptions aux homosexuels et aux couples pacsés et concubins de même sexe. Les écologistes de gauche français dénoncent la discrimination lors de leur  Conseil national interrégional

ensemble exquise un droit européen de la famille. EN France, le JAF est seul compétent avec en surplus de la loi une marge de manœuvre permettant d évaluer les intérêt des protagonistes du conflit familial. CONCUBINAGE 515-8 Union de fait, caractérisée par une vie commune, présentant un caractère de stabilité et de continuité, entre deux personnes, de meme sexe ou de sexe différents, qui vivent en couple. Union Vie commune (cohabitation, résidence commune)

européenne de sauvegarde des droits de l'homme (1950) → elle est exécutée par la cours européenne des droits de l'homme. CHAPITRE I – Les modèles de couples. A l'origine, le seul modèle de couple admis à été le mariage puis il a eu le PACS, le concubinage. Le PACS est définit a l'art 515-1 du CC. Le PACS est un contrat conclut entre deux personnes physiques majeures de sexe différent ou de même sexe pour organiser leur vie commune. Le PACS à été modifié par la loi du 29 janvier 2006, il y à des

l’émergence d’autres formes d’unions, tel que le concubinage et le PACS répondant à une évolution de la société. En raison d’un certains nombres de lacunes résultant de la loi de 1999 relatives à ces deux formes d’union, un travail a été réalisé pour formuler des améliorations. Le 23 juin 2006 une nouvelle loi est promulguée. Depuis quelques années, on assiste donc à l’émergence, de ce qu’on appelle le pluralisme des couples. Quoique plus moderne, le concubinage et le PACS, ne présentent-ils pas néanmoins

C’est un arrêt de la 1ère Chambre Civile de la Cour de Cassation du 27 avril 2004. Dans l’arrêt attaqué, Mr X qui vivait en concubinage avec Mlle Y a été condamné à payer un prêt à la société Cetelem. Ce prêt avait été engagé par Mlle Y et le couple l’avait utilisé pour entretenir les besoins du ménage. Le prêt a été prélevé sur le compte du concubin. La cour d’appel a accepté le principe de solidarité pour les dettes contractées entre concubins. La concubine engage son partenaire au remboursement