Constante gravitationnelle

. . . . . . . . . ee e e 5 5 6 7 2 Principe d’´quivalence e 2.1 R´f´rentiels d’inertie . . . . . . . . . ee 2.2 Principe d’´quivalence . . . . . . . . e 2.3 D´calage vers le rouge gravitationnel e 2.4 Interpr´tation g´om´trique . . . . . e e e 2.5 Effets de mar´e gravitationnels . . . e . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

2015 But Déterminer combien vaut la constante de gravité sur terre et comment elle varie selon la masse de l’objet. Déterminer la relation mathématique existant entre deux variables (la masse et le poids). Variables Variable indépendante : la variable indépendante est la masse variée et identifiée (gramme). Variable dépendante : la variable dépendante est la force notée à la suite de l’expérience avec le dynamomètre (newton). Hypothèse Je pense que la constante de gravité que nous obtiendrons sera

combinaisons différentes et en comparer les résultats obtenues des constantes de rappel. En effet, chaque ressort est soumis à une force de rappel différente caractérisée par une constante de rappel. Nous allons d’abord calculer la valeur théorique de chacune de ces constantes pour pouvoir les comparer avec la valeur expérimentale et en tirer des hypothèses si la valeur est différente. Avant de prononcer les résultats des constantes de rappel, nous commencerons par une bref présentation théorique du

extérieures est nulle, la quantité de mouvement totale ne varie pas avec le temps. On aboutit ainsi à une loi appelée loi de conservation de la quantité de mouvement qui s’énonce comme suit. On en déduit que la vitesse du centre de masse est constante en grandeur et en direction. Le centre de masse a donc un MRU ou est au repos. 3. Théorème de l’énergie cinétique 3.1. Energie cinétique : 3.2. Théorème de l’énergie cinétique : Principe : La variation de l’énergie cinétique totale

pseudo-isolée, tension et poids sont opposées (principe d'inertie). Ces forces ont la même valeur. mg = k(L-L0). L’accélération gravitationnelle sur Terre = g = 9,8N/kg Plus la constante de proportionnalité est élevée, plus le ressort est rigide (difficile à comprimer ou à étirer) Données : Fél = Grandeur de la force élastique exercée par le ressort (en N) k = constante de proportionnalité propre à un ressort donné (en N/m) ∆x = déplacement du ressort par rapport à sa position au repos (en

1 L’attraction universelle ou interaction gravitationnelle Interaction gravitationnelle Chapitre I MF et A CHARLIER 2 Ami lecteur Comme son titre l’indique, ce document décrit de façon assez exhaustive les phénomènes liés à l’attraction universelle. Il résulte des cours et TD de mécanique de Al et MF CHARLIER en Deug et Licence de physique. Dans un premier chapitre l’interaction gravitationnelle est présentée dans le cadre général des interactions à distance. Puis nous étudions le cas

phénomène pour avoir une première approche de la notion de champ. Décrire le champ associé à des propriétés physiques qui se manifestent en un point de l’espace. Caractéristiques d’un champ. Conditions de mise en œuvre Prérequis : interactions gravitationnelles/électriques Durée : plus de 2h Contraintes matérielles : vidéoprojecteur Remarques Auteur ABD-EL-KADER Françoise TEYSSIER Sébastien Académie de LYON FICHE 2 FICHE 3 Fiche pour le professeur NOTION DE CHAMP Les

que  F  c- L'unité SI de force est équivalente à une unité composée des unités SI m, s et kg . Ecrire cette équivalence : 1 N = 1 … (expression en kg m s avec des exposants positifs ou négatifs) 1 N = 1 kg m s-2 G mA mB u AB , apparaît G , la constante de r2 dont la valeur est donnée dans le cours sous la forme : G = 6,67259 10-11 SI. 2- Dans l'expression de la force de gravitation, FA →B = − gravitation universelle, a- A partir de l'expression de la force de gravitation, établir l'expression

trajectoire rectiligne de la lumière, due à un facteur appelé « déflecteur ». Cette déflexion entraîne une déformation de l’image reçue de ce qui est observé. On peut ainsi distinguer deux types de mirages : le mirage atmosphérique et le mirage gravitationnel. Ces phénomènes ont en commun la production d’une vision erronée de l’environnement observé mais leurs origines sont différentes. En effet, le premier type de mirage se produit lorsqu’il y a une forte différence de températures entre celles des

secondes et T f en hertz (Hz). 2. Relativité du mouvement. Référentiel. Trajectoire et vitesse Exemple Trois personnes se croisent dans un couloir de métro : la première (A) est immobile sur un tapis roulant automatique se déplaçant à vitesse constante dans le couloir, la deuxième (B) est immobile dans le couloir et la troisième (C) marche dans le couloir de manière à rester à hauteur de A. Séquence 4 – SP02 3 © Cned – Académie en ligne Si l’observateur est lié au couloir (premier