Contre-exemple

La presse : un contre-pouvoir. Le contre-pouvoir est un pouvoir qui s'organise face à une autorité établie. Ce peut être une force politique, économique ou sociale et son rôle a pour effet de restreindre l'exercice du pouvoir en place et de proposer une alternative aux décisions d'une autorité. Par exemple : les élus d'un parti d'opposition, des associations et notamment des syndicats, les médias, des cultes. "Une campagne est une période d'activité, d'affaire, de prospection et de propagande"

contrairement à leurs objectifs, de désinformer ou de déformer, par exemple dans la catastrophe de Tchernobyl. Le public a ainsi tendance à faire confiance a priori aux experts qui s’expriment dans les médias et qui présentent des vérités relatives comme péremptoires. Au cours de l’Histoire les médias ont souvent été compromis et utilisés par le pouvoir politique comme instrument de propagande. Encore aujourd’hui l’Italie offre un exemple vivant de cette collusion pouvoir-médias (Berlusconi) enlevant

Angleterre, le roi Henry VIII rompt avec Rome et se proclame chef suprême de l'Église anglicane. C'est une Église protestante mais qui conserve des évêques et de fastueuses cérémonies religieuses. 3 : La Contre-Réforme. Menacée par le succès de la réforme protestante, l'Église réagit par une contre Réforme. En 1534 est fondé l'ordre des Jésuites qui se met au service du pape et se charge de défendre la foi catholique, notamment par l'enseignement. Le pape Paul III réorganise les tribunaux de l'Inquisition

Le mouvement hippie est une forme de contre-culture qui se développe dans les années 60. On cherche à démontrer comment et pourquoi se produit cette phénomène de mode qui a eu un impact très grand dans la société et qui s’est définit par le contexte historique de leur naissance à nos jours. On peut voir dans la production que tout ce qu’ils refusent est illustré en blanc et noir dehors de la silhouette du hippie ,ses manifestations en contre de la guerre , de la consommation et de la sexualité

autres . Selon Sieyès, les privilégiés sont la noblesse et le clergé, ce qui exclut le tiers état . Il est aussi important de préciser que ces libertés, auxquels on fait référence, sont dites collectives (s’applique à un groupe de personnes) . Par exemple, les villes font parties de ces corps privilégiés (les bourgeois bénéficient d’avantages comme de ne pas payer d’impôts) . Dans l’ensemble, il est clair que sous l’Ancien Régime, tous les Français avaient des privilèges, mais pas tous les mêmes

Chapitre 6 : Parties prenantes, contre-pouvoirs et gouvernance de l’entreprise * Parties prenantes : un individu ou groupe d’individu en relation avec l’Ets qui peut affecter ses activités et ses décisions ou être affecté par elle. * Ce sont : les salariés, les actionnaires, les fournisseurs, les banques, l’état et les collectivités, les autres fournisseurs. Il manque les clients, ONG, les individus dans leur ensemble. * Parties prenantes interne : actionnaires et salariés. Externe :

Valeurs : Idéaux partager par les individus d’une même société ou d’un même groupe. Exemple : la liberté, la justice, la solidarité… Normes : Traduction des valeurs en règles de conduites. On distingue les règles explicites, écrites = les lois (code civil, pénal, da la route…) ; et des règles implicites, non écrites (de politesse, ê. Ponctuelle…). Statut : Position sociale occupé par un individu dans la société Exemple : statut d’élève, d’enfant, de co-équipier sportif… Rôle : Ensemble des comportements

baroque s'exprime tout particulièrement dans l'urbanisme (les places Saint-Pierre, Navone ou d'Espagne, à Rome, par exemple) et dans l'architecture, dans les églises notamment (elles sont souvent caractérisées par des façades ondulées et des colonnes torses). •  Le baroque est un art au service de la religion. Depuis le concile de Trente (1545-1563), l'Église catholique lutte contre la réforme protestante. La magnificence des églises baroques et la richesse de leur décoration intérieure doivent à

Chapitre 6 PARTIES PREMANTES, CONTRE- POUVOIRS et GOUVERNANCE DE L’ENTREPRISE Introduction * Constat : Les différentes parties prenantes, internes et externes à l’entreprise sont sources de contre-pouvoirs et donc peuvent influencer les décisions prises par l’entreprise. La gouvernance de l’entreprise doit alors aboutir si possible à un arbitrage entre des intérêts parfois contradictoires des parties prenantes et de l’entreprise. * Nos objectifs : * 1 apprécier l’influence

I. L’écart entre les générations se creuse de plus en plus (constat): 1/ Un rupture de la transmission: (argument 2) - Les jeunes n’acceptent plus les valeurs transmises par les parents (doc. 2). Exemple: Victor, le fils de Charlie, ne semble pas s’intéresser à l’art (doc. 1), les deux adolescents ignorent l’histoire de leur pays, tourne le dos au passé avec désinvolture (doc. 4) - Ce clivage s’accentue (doc. 2). - On observe un manque de communication entre parents et enfants: Victor