Cotte de mailles

heureux. La psychologie du personnage Plusieurs sentiments chez Lorenzo : • L’angoisse, la nervosité : Lorenzo est obsédé par l’heure. Il craint de nouveaux obstacles : « pourvu qu’il n’ait pas imaginé quelque cuirasse nouvelle, quelque cotte de mailles ». • L’amertume : les républicains sont incapables d’agir. Les hommes ne sont capables que de bavardages. Lorenzo ne se fait pas d’illusions sur l’utilité de son acte : « Si les républicains étaient des hommes, quelle révolution demain dans

toujours un proche du Pharaon. Beaucoup de fresques décrivent deux Egyptiens conduisant un char comme ci-dessous : Plus tard, les soldats de Pharaon adoptent bon nombre d’armes et d’équipements : casque, cotte de maille et glaive recourbé. La broigne se compose d’une veste en cuir à manches courtes garnies de plaques de métal. Les armes de bronze sont améliorées en qualité, le mélange étain-cuivre étant mieux proportionné. Les armes en fer bien qu’existantes

Xème et le XIIème siècle ce sont des guerres de courte haleine qui dominent. Les temps féodaux sont aussi ceux où s'imposèrent un peu partout les cavaliers lourds, armés de la lance et de l'épée, protégés par le casque conique et le haubert de mailles. La description dans le sirventes de Bertran de Born, le montre aux vers 31/32 « Masses, épées, couleur des heaumes, Ecus trancher et dégarnir ». Monopolisant à leur profit la technique et le prestige guerrier, les guerriers ne sont pas seulement

scène 9. [La pièce se passe à Florence, au XVl` siècle. Lorenzo de Médicis a décidé d'assassiner son cousin Alexandre de Médicis, duc de Florence, qui gouverne en tyran. Le moindre détail de ce meurtre a été prémédité : Lorenzo a volé la cotte de mailles d'Alexandre, a arrangé un faux rendez-vous galant avec sa tante Catherine Ginori pour attirer Alexandre dans sa propre maison où attend en embuscade Scoronconcolo, un ami dévoué à Lorenzo. Lorenzo erre dans les rues, attendant l'heure du rendez-vous

préparé du personnage. Il nous montre d’ailleurs que celui-ci à penser à tout avec l’énumération de différents accessoires qui pourrait s’opposer ou du moins embêter le déroulement du plan. Nous pouvons alors citer « cuirasse nouvelle » (l.23), « cotte de mailles » (l.24), « épée » (l.27). Le dramaturge, qui est metteur en scène à la fois, n’omet pas la direction des acteurs. Le déroulement du plan étant si détaillé, Lorenzo peut se permettre d’effectuer un jeu d’acteur prémédité par celui-ci, il nous

Acte IV, scène 9 La pièce se passe à Florence, au XVl` siècle. Lorenzo de Médicis a décidé d'assassiner son cousin Alexandre de Médicis, duc de Florence, qui gouverne en tyran. Le moindre détail de ce meurtre a été prémédité : Lorenzo a volé la cotte de mailles d'Alexandre, a arrangé un faux rendez-vous galant avec sa tante Catherine Ginori pour attirer Alexandre dans sa propre maison où attend en embuscade Scoronconcolo, un ami dévoué à Lorenzo. Lorenzo erre dans les rues, attendant l'heure du rendez-vous

dépit de L. 5 Palais Strozzi. Une salle. Inquiétude de P, en présence de LS, LéS et L. Entrent PS, TS, FP. PS annonce avoir tué S et refuse de se cacher. 6 Palais ducal. TF fait le portrait d’A en présence de G et L, qui interroge A sur sa cotte de maille et la subtilise. Soupçons de G. 7. Devant le palais ducal. S blessé réclame vengeance. 1 Chambre de L. L et Sc font des armes ; Sc comprend que son maître prépare une vengeance et lui promet son aide. 2 Palais Strozzi. Dépit de PS d’avoir

dans la prose poétique. 2) Des termes poétiques Dans sa description de cet animal fascinant, Huysmans utilise des termes à connotation poétiques. Il appelle, par exemple, le hareng « O miroitant et terne enfumé ». Il utilise les termes « cotte de maille » ou « robe » pour parler de ses écailles. En plus, de la typographie du texte (petits paragraphes courts), ces expressions font de ce texte, un texte infiniment plus poétique que certains autres présents dans ce recueil. Le « hareng » est

La grande épée de bronze était la plus répandue. Il y avait aussi l’épée à lame courte et à un tranchant, semblable à une dague. Le chevalier avait aussi une hache, une masse d’arme et une arbalète. Pour se protéger, le chevalier portait une cotte de maille, une armure et un bouclier. Les armures étaient fabriquées en Italie et étaient très lourdes (20 à 30 kilos). Les boucliers étaient solides et portaient les armoiries du château. Les chevaliers étaient transportés sur de solides chevaux. |La

dans les campagnes au Moyen Age (calendrier des travaux) Le monde paysan Le vilain et le serf Les Paysans Les paysans au Moyen Age Pétronille, paysanne B- Armée féodale 1- Les armes Armes et armures au Moyen Age Fabrication de la cotte de Maille Le combat médiéval Les épées de légende Les armes Les engins de guerre au Moyen Age Machines de guerre médiévale 2- Sièges et croisades L'attaque d'un château fort Les croisades Les croisades : tableau général C- Vie quotidienne