Coulaines

« consensus » (les grands réunies par le roi vont donner leur accords à l’adoption des capitulaires). Le petit fils de Charlemagne, Charles le Chauve, va se trouver obliger de négocier avec ses fidèles. (3 grands capitulaires sont restés : le capitulaire de Coulaines 843, de Pitres 864 et de Quierzy en 877) Les deux premiers capitulaires révèlent que l’empereur s’engage à traiter ses fidèles avec honneur et à leur permettre de lui signaler ses fautes et ses manquements. Le premier capitulaire confirme les deux

voix, le jeu o volume3 : l'improvisation • • adaptations théâtrales du mythe d’Orphée (destinées aux adultes) -Eurydice, Jean ANOUIHL, Folio, GALLIMARD -Orphée (scénario), Jean Cocteau, LIBRIO Catherine LEBRETON-IMF- école Camus 72190 COULAINES 19 

établissement entre les compte et les titulaires des commandements de région. Cela traduit un profond cangement entre le Roi et les grands du royaume on peut parler du caractère conditionnel de la fonction royale. b) Royauté contractuelle : Coulaines et ces conséquences sur l’évolution de sa royauté. Après le partage de verdun il y a une réunion a la seul initiative des grands et le roi est absent et n’a pas le contrôle d cette réunion elle doit définir les conditions d’une reconnaissance

déroulé en 2 étapes : d abord il on tenue les irrévocabilité de la fonction des comte puis l hérédité de la fonction des comtes. En 843 sous charle le chauve, le comte obtienne une garantie que ce roi inscrit dans un texte appelé le capitulaire de Coulaines. Charles le chauve octroi une garatie au comte. Aucun compte ne pourra etre révoque sans de juste motif quis eront apprécier par une ass ( plaid général) composé des grands du royaume. Elle devra rendre un jugement sur la légitimité des motifs invoque

très tôt, en Francie occidentale en particulier, sans nul doute parce que l’insécurité du fait des Vikings y est plus grande qu’en Francie orientale par exemple, des tendances à l’hérédité des honores, que marquent en particulier les conciles de Coulaines (843) et Quierzy (877) : le roi Charles le Chauve et sa noblesse y négocient l’attribution et surtout l’hérédité des principaux commandements publics, situés dorénavant dans la zone même de pleine puissance territoriales des grandes familles, donc

juge en dehors de toute accusation de se saisir lui-même d’un délit avec la liberté d’enquêter et d’instruire. Conclusion I- L’assemblée de Coulaines et ses conséquences Charles le Chauve dont la position dans l’Ouest du royaume est contraint de se tenir une assemblée de grands, de laïques et d’ecclésiastiques. Cette assemblée est réunie à coulaines en 843. Elle semble due à la seule initiative des grands. Elle a pour but une concertation entre eux et le prince. Il faut définir les conditions

nous allons en donner deux jalons : • Les engagements de Coulaines en 843 : Juste après le Traité de Verdun qui avait divisé l'empire carolingien en 3, et après 20 ans de guerre civile, les Grands du nouveau royaume de France Occidentale, comtes et évêques veulent poser des limites à leur jeune roi, Charles le Chauve. Par conséquent, ces Grands décident, apparemment de leurs propres initiatives, une assemblée générale à Coulaines. Ayant conclu entre eux un accord sur l'exercice du pouvoir

capitulaires dépend de la période, de la force du roi. Ex de capitulaire qui a vu grand nombre de discussion : Charles le chauve va se trouver obliger de négocier, de composer avec ses fidèles : les capitulaires de Coulaines (843), de Pitres (864), et celui de Quercy (877). Coulaines et Pitres : L'empereur s'engage à traiter ses fidèles avec honneur et sans arbitraire ; à leur permettre de lui signaler ses fautes et ses manquements. Quercy : il reprend les capitulaires précédent et pose le principe

royale ne s’exerce plus de plein de droit. Cette autorité devient contractuelle, c’est à dire qu’elle est soumise à des conditions d’engagement réciproque et personnel entre le roi et les Grands. Cette évolution fut graduelle. Les engagements de Coulaines de 843 Après le traité de Verdun et une guerre de vingt ans, les Grands du royaume de Francie occidentale, comtes et évêques, veulent poser des limites au pouvoir du jeune roi Charles le Chauve. Les Grands décident, apparemment de leur propre

rois. Relation Franco-Allemande très difficile sur toute l’histoire. Qui possède la auctoritas et qui possède la potestas. Monté en puissance des potentes parce qu’ils vont surfer sur la vagues de n’importe quoi. En 843, se tien une assemblée à Coulaines, dans laquelle, les grands demandent au roi de ne pas leurs retirer arbitrairement leurs bénéfices (ne pas leurs confisquer leurs terres), le roi ne peut pas licencier un roi ou un évêques et ne peut pas le priver de ses revenus. Le roi est entrain