Coulaines

827 : tout le monde se fit alors juge de celui qui, 15 ou 20 ans plus tôt était encore un maître incontesté. Tendance se poursuit et même s’accroît sous le règne de Charles le Chauve (843-877), marquée par deux étapes importantes : L’assemblée de Coulaines (843), prés du Mans. Début de règne très difficile : jeune roi de 20 ans qui n’a pas été sacré (simplement couronné en 838) et doit faire face à une révolte de la Bretagne, à l’insoumission de l’Aquitaine, groupée autour de Pépin II et aux exactions

local se renforce et les comtes vont quasiment se considérer comme étant propriétaires de leur bénéfices, étant titulaires de leur fonction publique ou de leur honor. Par ailleurs, deux textes renforcent la position des comtes. Les Accords de Coulaines en 843 qui définissent les règles modifiant les relations entre la royauté et l’aristocratie. C’est un pacte entre le clergé et la noblesse laïque. Le droit royal est modifié ; le souverain n’est plus le premier d’entre les grands et doit désormais

local se renforce et les comtes vont quasiment se considérer comme étant propriétaires de leur bénéfices, étant titulaires de leur fonction publique ou de leur honor. Par ailleurs, deux textes renforcent la position des comtes. Les Accords de Coulaines en 843 qui définissent les règles modifiant les relations entre la royauté et l’aristocratie. C’est un pacte entre le clergé et la noblesse laïque. Le droit royal est modifié ; le souverain n’est plus le premier d’entre les grands et doit désormais

honores sont les charges publiques dont on peut transmettre l’hérédité aux enfants. Les Grands acquièrent cela au ixe et xe siècle. C’est préparé par deux assemblées qui vont marquées les prémices de l’hérédité. La première étape est l’assemblée de Coulaines (à côté du Mans) de 843. Charles le Chauve s’engage à maintenir les honores et les droits des Grands en échange de leur fidélité et de leur soutien. La conclusion du traité de Verdun en août 843 n’a eu d’effets décisifs que dans les rapports entre

toute leur vie, du fait de la concession viagère, la fonction est donc elle même viagère. La pression de l’aristocratie est forte, elle fait bloc en ce sens pour obtenir le principe d’inamovibilité et le roi finit par accepter dans un capitulaire de Coulaines. Milieu 9ème, le principe est acquis. L’hérédité : de plus en plus, les comtes considèrent leur fonction comme un bien, elle est dans leur patrimoine. Comme elle est dans le patrimoine, ils doivent pouvoir la transmettre à leur héritier. Elle s’impose

n’a pas été détruit au moment de la crucifixion. Dans les sphère proche du pouvoir on en peut pas diviser l’empire car à Rome on ne le faisait pas. 2°L’opportunisme des potentes 843, les potentes se réunissent dans une assemblée appelées Coulaines, sur convocation du roi, et ils vont profiter de cette assemblée pour exiger du roi qu’il promette, de en pas leur retirer leur terres de manière arbitraire. Ils n’ont pas el droit de demander au roi de ne pas retirer ces terres. Le roi est en position

totale aux comtes. A la fin du IXème siècle les rois ne se feront plus obéir. Il existe 3 mesures essentielles qui vont permettre à cette aristocratie d'obtenir l'indépendance : un capitulaire qui est pris à la suite d'un plaid qui a lieu à Coulaines de 843. Charles le chauve va réunir son aristocratie et va réunir un plaid et à la suite de ce plaid et Charles le Chauve fait une concession très importante, il s'engage à conserver les charges publiques (les honores) de son royaume, ce sont essentiellement

froc vous rompt les deux épaules mettez bas. Mon ami, dit le moine, laisse-le moi, car par Dieu je n'en bois que mieux. Il me fait le corps tout joyeux. Si je le laisse, messieurs les pages en feront des jarretières, comme il me fut fait une fois à Coulaines. Davantage 6 je n'aurai nul appétit. Mais si en cet habit je m'assis à table, je boirai, par Dieu et à toi, et à ton cheval, et de hait 7 Dieu gard* de mal la compaJe de l'eau le , ; ; — — ! — — : ! , ! . — i. — Bâfrée, avalée. 2

l'hérédité est un gage d'indépendance. On arrive à l'hérédité des charges publics. Deux textes sont importants. le chauve est en situation de faiblesse en 843, l'aristocratie profite de cette situation et le force un petit peu à prendre le capitulaire de Coulaines. Que dit ce capitulaire ? Le roi s'engage à ne priver personne quelque soit son rang d'un honor (charge publique) qui a était dûment tenu. Il n'y a donc plus de révocabilité. Le capitulaire se présente comme un contrat entre le roi et les Grands

sans être exhaustifs, peuvent être cités l’UCSA de Lannemezan (CH de Lannemezan, CHU de Toulouse et polyclinique de l’Ormeau), l’UCSA de la maison d’arrêt de Paris-La Santé (groupe hospitalier Cochin), l’UCSA de la MA du Mans – Les Croisettes, à Coulaines (CH du Mans), l’UCSA de la maison d’arrêt de Remire (Guyane), l’UCSA de la MA de Nantes (CHU de Nantes), centre pénitencier d’Aiton (hôpital de Chambéry), également avec les CHU de Lille, Béziers, ou Poitiers, et le CH d’Aulnay-sous-Bois... Historiquement