Damnation

l'Homme contrairement à Dieu, « le roi de la charité » (cela peut nous faire penser au péché originel qui serait à l'origine de cela, et obsède tous les jansénistes comme Pascal). Enfin, comme tous moralistes, il donne des conseils pour échapper à la damnation « par l'avarice, par la brutalité, par les débauches, par la violence, par les emportements, par les blasphèmes » (énumération et anaphore « par ») comme « mettez votre plaisir à être bienfaisant », « vous agirez en vrai roi de la concupiscence »

rédigé cette préface ? Quel est son but ? Victor Hugo affirme dans la préface des Misérables, la mission morale, sociale, et politique qu'il s'est fixée en créant cette œuvre : "Tant qu'il existera, par le fait des lois et des mœurs, une damnation sociale créant artificiellement, en pleine civilisation, des enfers… tant qu'il y aura sur la terre ignorance et misère, des livres comme celui-ci pourront ne pas être inutiles." Selon Victor Hugo, ce roman a donc pour objectif de contribuer à transformer

vie des fidèles qui souhaitent lui obéir, est-ce réellement de leur propre volonté qu’ils adoptent ce comportement ? En réalité n’est-ce pas une manifestation du pouvoir de l’Eglise qui fait consentir les fidèles par la crainte du péché et de la damnation ? De plus, l’ascèse devrait permettre un perfectionnement physique et intellectuel par un reniement du corps et du doute mais est-ce vraiment ce que cela engendre ? Le doute étant le fondement même du questionnement et de l’esprit critique, le supprimer

discute avec Gusman l'écuyer d'Elvire et lui dresse un portrait de son maître, il le dépeint comme un épicurien sans limite qui peut tirer du plaisir à faire souffrir les autres, « un épouseur à toutes mains » et un impie irrécupérable et voué à la damnation et qui ne peut être raisonné. C'est à travers cet exercice que nous tenterons de démontrer que les propos de Sganarelle se confirment tout au long de l’œuvre. Pour commencer dès la deuxième scène que Don Juan a déjà remplacé Elvire dans ses

romaines l'ont préparé à l'indifférence et à l'incrédulité. En matière religieuse, Montesquieu peut-être considéré comme un déiste* libre-penseur allant parfois jusqu'à l'irrévérence et à l'hostilité envers la foi chrétienne. 1711 : Dans "La damnation éternelle des païens" il montre que les philosophes de l'Antiquité n'ont pas mérité l'enfer. 1716 : Dans "Dissertation sur la politique des Romains", il dénonce la religion comme moyens qu'utilisent les puissants pour rendre durable leur domination

/ Grave et serein, / Guidait à travers la mitraille / L’aigle d’airain. / Il entra sur le pont d’Arcole, / Il en sortit. / Voici de l’or, viens, pille et vole, / Petit, petit. ») ou encore en 1862 dans Les Misérables où l’écrivain dénoncera la « damnation sociale ». Dès lors, Hugo est et restera l’homme qui incarne le mieux le romantisme au XIXe siècle. Victor Hugo (1802-1885) fut le chef de file du mouvement romantique. De ses parents, Hugo hérita une combativité ambitieuse, un esprit de résistance

thèmes «qui ne croit ni Dieu, ni ciel, ni saints» -> thème de la foi religieuse très présent dans l’oeuvre annoncé par l’athéisme de DJ dans cette scène. «Suffit qu’il faut que le courroux du ciel l’accable quelques jours» -> annonce de la damnation de DJ (dénouement de l’oeuvre) -lexique de l’amour -> thème de l’amour important dans l’oeuvre 1. Le mélange des registres 1. Comique -hyperbole caucasse: «il aurait épouser toi, son chien et son chat» -> effet comique donné par les répliques

surnaturelles entretiennent en permanence la spiritualité, différente de l’instant de la matérialité. La 1ère réplique, « sa portée… » est déterminante du destin. C’est une force supérieure, dramatisée à travers la représentation spectaculaire de la damnation du libertin. 3) Une mise en scène spectaculaire de la mort, un double châtiment Le protagoniste est en proie à un double châtiment : il subit l’éternité, ce qui est un renoncement fondamental de la vie du libertin basée sur l’instant présent

jansénisme s'appuie sur une interprétation rigoureuse de la philosophie de Saint-Augustin, il défendait la doctrine de la prédestination absolue. Il estimait en effet que si tout individu peut pratiquer le bien sans la grâce de Dieu, son salut ou sa damnation ne dépend que de Dieu . Il a été développé "théologiquement" par Cornélius Jansen (1385-1638) dit Jansénius. Le jansénisme qui s'est développé aux 17 et 18eme siècle, s'inscrit en réaction contre l'humanisme et le molinisme (Doctrine qui considère

scène Dom Juan essaye de détourner un homme qui a fait vœu de pauvreté de sa foi. Dom Juan propose un échange qui s’apparente au pacte du diable : un louis d’or contre un parjure (il lui promet la fortune contre son âme) son geste n’entraine pas la damnation du pauvre car ce n’est pas le diable mais aggrave son cas peu a peu. Pourquoi don juan agit il ainsi Dans la mesure ou Dom Juan ne croit qu’en « deux et deux sont quatre » or Dom Juan n’est pas complètement athée car il provoque le ciel. Sa réaction